Pour ce 153ème Café Thé, je vous ai proposé de nous parler du cadeau de Noël qui vous a le plus marqué, offert ou reçu, dans votre enfance ou plus tard...
Les consignes étaient: Ecrivez, fabulez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...
Logo créé par Renée du blog "Envie de"
Vous êtes 4 à avoir participé (Jill Bill, Jean-Luc, Vagamonde et Colette).
et je vous en remercie.
Bravo à tous et toutes !
Voici les 4 participations :
"Le cadeau de Noël" de Jill Bill du blog "Melting-pot" :
J'ai reçu, quelques petites années
Ma Saint Nicolas
Mais à la Noël
On fêtait l'enfant Jésus
A la messe de minuit...
J'ai eu quelques étrennes
Au jour de l'an
Mais côté Père Noël...
Alors, une fois adulte,
Je me suis offert des chocolats
A la Mer du Nord
Comme une tradition
Le 24 décembre, balade en famille,
Nos enfants choisissaient
Un truc de leur côté, tout simplement...
Aujourd'hui on revend ses cadeaux de Noël
Sur le Bon Coin... !
Qu'en penser... !?
Est-on plus heureux,
Je me pose la question....
"Ma guitare" de Jean-Luc du blog : "LindeparSylvieJL2" :
Je ne sais pas si c’était mon plus beau Noël, j’ai retrouvé ça dans mes archives, à l’époque après le repas tu te couchais tôt, et juste après minuit quand tu dormais très bien, et pof on te réveillait pour te dire qu’il était déjà passé, mais qu’il n’avait pas le temps de t’attendre, grr
"Mon vélo rouge" de Vagamonde du blog "Vagamonde bis" :
Quelle surprise pour moi, en ce jour de Noël, sous l’arbre, à travers les cadeaux empilés, de découvrir ce présent souhaité sans l’avoir demandé et, pourtant, tant désiré.
Voilà, c’est de ma veste toute légère aux boutons satinés dont je veux vous parler.
Elle était rose tendre, tout comme l’était, ce temps de mon adolescence. Son fil de soie était de toute douceur. Point n’est besoin de vous dire qu’elle fit corps avec moi.
Le printemps venu, j’aimais m’en revêtir, lorsque je sortais de la maison, tôt le matin. C’est surtout le dimanche que cela m’arrivait.
Comme je m’y sentais bien !
D’admirer le paysage, je ne m’en lassais pas. Devant les gros arbres face à la maison, je rêvais. Je faisais des rêves des plus fous et des plus réalistes. Je m’entretenais, à n’en pas voir le temps passer. J’y étais heureuse et vraiment rêveuse, comme nous le sommes à cet âge.
Cette veste, est le vêtement qui m’a le plus marquée. Jamais, je ne pourrai oublier ma veste rose, douce et légère aux boutons satinés ; elle qui m’a occasionné tant et tant de petits et grands bonheurs durant ces courtes années.