Je vous ai plusieurs fois parlé des imprimantes 3D, depuis mars 2014 : "une mini-usine à la maison", "une entreprise spécialisée dans l'impression en 3D", "l'impression 3D et les tisserands du vivant", "une main imprimée en 3D", "votre portrait en 3D", "Les imprimantes 3D en grande surface", "Les imprimantes 3D à l'école", "Une tarte au citron meringuée imprimée en 3D"....
L'impression 3D se démocratise. Il est désormais possible d'imprimer ou de faire imprimer en 3D des pièces de rechange grâce à des machines en libre-service ou des entreprises spécialisées, et des patrons et tutoriels mis à disposition sur le net. Le site Happy 3D, lancé par Boulanger, permet notamment de télécharger des modèles de pièces détachées ou de commander leur impression en 3D
(poignées, boutons, molettes, clapets, capots, etc...)
Je viens de découvrir l'utilisation de l'impression en 3D, pour sauver des animaux.
Grecia est un toucan vivant au Costa-Rica, battu en 2014 par une bande d'ados qui lui ont cassé une partie du bec. Grecia ne pouvait plus manger, ni chanter :

Grecia a été soigné au refuge du ZooAve. Ses soigneurs ont fait un appel aux dons sur internet. Grâce à l'argent collecté, ils ont pu collaborer avec des ingénieurs travaillant sur des imprimantes 3D et réaliser un nouveau bec sur mesure pour le toucan.
Avec sa prothèse, Grecia a pu à nouveau attraper des choses, manger, chanter, se lisser les plumes.
6 ans plus tard, elle se porte à merveille...
En France, à Clermont-Ferrand, la Ligue pour la Protection des Oiseaux s'est équipée d'une imprimante 3 D et réalise prothèses et attelles pour sauver les oiseaux blessés.
Source : Positivr.fr