Pas de bonnets d'âne. Quoique...

Histoire de bonnets en laine...

Depuis que ma voiture est bloquée -cela va faire bientôt un mois- je prends les transports en commun matin et soir pour effectuer le trajet domicile-travail.

La première semaine j'ai pris un bonnet gris en polaire, doux et chaud, qui protégeait bien ma tête du froid et du vent. Mais le vendredi soir il faisait du soleil et j'ai gardé le bonnet à la main.

En arrivant à la maison je ne l'avais plus...

Le samedi je suis allée acheter un nouveau bonnet, bleu, un peu plat. Je trouvais qu'il me vieillissait beaucoup. Mais est-ce pour cela que je l'ai perdu la semaine suivante, en faisant mes courses à Leclerc ? Je m'en suis aperçue en quittant le magasin et je suis revenue demander à l'accueil si personne ne l'avait trouvé. Puis j'ai refait le tour du magasin pour le chercher. Rien !

Le lendemain je suis allée acheter de la laine et j'ai crocheté un nouveau bonnet, couleur lavande avec des petites perles de rocaille blanche.

Je ne manque pas de châles, d'étoles, de chauffe-épaules, que je porte plus ou moins.

J'ai fini ces jours-ci un châle bleu commencé en janvier 2014 et abandonné lorsque j'ai appris la future naissance d'Alice.

Le fil brillant est superbe mais il faut faire attention au changement de pelote pour attacher les fils qui ont tendance à ne pas tenir et partir chacun de leur côté.

C'était le premier Noël d'Alice, ma petite-fille de 4 mois, et bien sur elle a été très gâtée : vêtements, livres, doudous, jeux d'éveil, etc...

J'avais tricoté pour elle cette robe chasuble et les chaussons assortis.