• Mon fils aîné vit en appartement à Perpignan, avec Célia. Depuis plusieurs mois ils ont une chatte noire baptisée Cerise, dont je vous ai déjà parlé. Mon fils l'adore et se déclare prêt à tout donner, même sa voiture, pour payer la rançon de Cerise si on la lui enlevait.

    Une de ses nouvelles collègues quittant la France pour un an avait un chat qu'elle ne pouvait pas emmener et pour lequel elle cherchait un gardien provisoire. Julien s'est proposé pensant que sa Cerise aurait ainsi de la compagnie, sans problème car ledit chat était (selon ses maitres) castré.

    J'avais prévenu Julien que cela allait leur faire des dépenses et du travail supplémentaires, mais cela ne l'effrayait pas.  Avant de s'engager à le prendre chez eux ils ont quand même voulu faire un test pour voir si les deux chats allaient s'entendre.

    Quand j'ai rappelé la semaine d'après, Julien m'a annoncé qu'ils ne prendraient pas le chat, ce qui m'a surprise. "Il est tout le temps en train de monter Cerise, et je trouve qu'elle est trop jeune pour ça !".

    J'ai d'abord ri et puis j'ai demandé : "Tu es sûr que le chat est castré ?

    - Oui, oui pas de soucis de ce côté-là mais il est trop gros et il lui saute toujours dessus... On ne peut pas le prendre, car à deux ils feraient trop de bêtises..."

     

    J'ai trouvé que c'était une sage décision.

    La semaine dernière quand j'ai appelé Julien, il m'a annoncé que Cerise attendait des chatons...

    Le chat n'était donc pas castré : problème de vétérinaire ou miracle de la nature, en tous les cas problèmes en perspective pour mon fils.

    Je lui ai dit : "Il faudra que tu t'en débarrasses à la naissance.

    - Pas question. Je ne pourrai pas les tuer. Je les donnerai. Tu en prendras bien quelques uns ? Et peut-être Pascale ?".

     

    J'ai déjà 2 chatons et ma soeur en a six qu'elle a tous fait stériliser ou castrer. Nous avons refusé.

     

    Julien et Célia ont décidé d'aller chez le vétérinaire (pas le même que celui qui a castré le chat) pour faire avorter Cerise, ce qui sera plus onéreux mais plus sage pour tous.

     

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    Cerise il y a quelques mois, photo de Julien


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  • Ce matin, c'est Ecureuille qui a sauté fièrement de la mezzanine sur le toit de la pendule. Je dois avouer que j'étais contente de pouvoir la prendre en photo haut perchée et je savais comment l'aider à descendre (voir "Chat perché").

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    Je suis montée sur une chaise en paille, et j'ai failli passer à travers. J'ai tendu mon carton vide mais Mademoiselle n'a pas voulu sauter !

    Non, elle a fait mieux. Elle a pris son élan pour sauter de la pendule vers la mezzanine !

    Environ 1 mètre dans le vide et des barreaux en face ! Ces chats sont fous !

    Je n'aurais jamais dû l'appeler "Ecureuille". Elle se prend pour ce petit animal agile !

    Bref, elle a sauté sur la mezzanine et est descendue à la vitesse de l'éclair dans l'escalier...

     

     


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  • Depuis que j'ai accueilli les deux chatons, je comprends mieux l'origine du jeu "Chat perché".

    Ecureuille et Squirel adorent se percher le plus haut possible, et sauter de meuble en meuble.

    Il y a quelques semaines Ecureuille avait sauté de la mezzanine sur le toit d'une armoire que j'ai mise dessous. Le bruit m'avait impressionnée.

    Avant hier, Squirel a fait mieux.

    Il a sauté de la mezzanine sur le toit de mon horloge comtoise, celle dont je vous ai déjà parlé lorsque je souhaitais la vendre, avant de déménager. Finalement je l'ai gardée et installée dans le salon, à quelques mètres de la mezzanine.

    Ce sont les miaulements qui m'ont alertée. Squirel ne pouvait plus descendre de l'horloge qui mesure plus de 2 mètres de haut.

    Comment le sortir de là ? J'aurais pu aller chercher une échelle, mais j'ai eu une autre idée. Je suis montée sur une chaise et je lui ai tendu les bras. Il n'a pas voulu sauter.

    J'aurais pu lui tendre un drap comme le font les pompiers mais il aurait fallu être plusieurs pour tenir le drap.

    J'ai pris un carton vide, je suis remontée sur la chaise et j'ai tendu le carton. Squirel a sauté dedans sans plus se faire prier, et j'ai pu le reposer sur le sol.

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  • C'est le titre d'un article de Sud-Ouest du 10 décembre 2010. Ce titre accrocheur m'a fait sourire, évoquant pour moi la petite Cosette des Misérables...

     

    Il ne s'agit pas de l'écrivain bien sûr, mais du cours Victor Hugo à Bordeaux, privé cette année d'éclairage au moment de Noël !

    Par mesure d'économie dans un budget d'illuminations de 500 000 euros pour la ville de Bordeaux, ce cours très commercial, mais considéré comme suffisamment éclairé en permanence, est privé de guirlandes de Noël.

    Les commerçants de ce quartier sont bien sûr furieux. "Les lumières attirent les clients, disent-ils. Un Noël sans guirlande, c'est terrible, non ?".

     

    "Nous ferons un Noël économique, écologique et solidaire" avait annoncé le maire de la ville, Alain Juppé. Pas solidaire pour ce cours et ce quartier qui se sent mal aimé, délaissé alors que 42km de guirlandes, 400 000 ampoules et 300 arbres enrubannés, décorent actuellement la ville. La mairie renvoie la balle aux associations de commerçants du quartier qui ne l'auraient pas sollicitée...

     

    Dommage en tous les cas qu'un cours de cette importance n'ait pas le moindre sapin de Noël...  

     

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    Une des illuminations de Nôël 2008 à Bordeaux


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  • Le pilote d'un boeing 737 reliant Dubaï (émirats Arabes) à Pune (Inde), au sud est de Mumbai et transportant 113 passagers était aux toilettes quand le copilote a poussé le manche de pilotage par inadvertance faisant chuter l'avion de 2.000 mètres. Le copilote agé de 25 ans tentait d'ajuster son siège. Il a alors complètement perdu ses moyens au point de ne pas être capable de laisser entrer dans le cockpit le pilote, parti aux toilettes pendant l'incident, alors que l'appareil poursuivait sa descente en piqué. Le pilote n'a réussi à sauver le Boeing 737 qu'après avoir utilisé un code d'urgence pour ouvrir la porte du cockpit et reprendre le contrôle de la situation.

     "Qu'es-tu en train de faire ?", a vociféré le pilote, 39 ans, en réussissant à pénétrer dans le cockpit, alors que les hôtesses ordonnaient aux passagers terrifiés d'attacher leur ceinture. Après cet incident, le pilote a tenté de calmer les passagers en leur expliquant que l'avion avait été victime d'un trou d'air. Quatre jours plus tôt, un avion d'Air India Express s'était écrasé à l'aéroport de Mangalore, dans le sud de l'Inde, tuant 158 personnes. (Source Europe1)

     

    Cette information lue sur le portail SFR m'a fait penser aux films pastiches comme "Y-a-t'il un pilote dans l'avion ?". Mais ça fait froid dans le dos. Comment les autorités de l'aviation civile ont-elles pu confier le copilotage d'un avion à un jeune homme maladroit, vraisemblablement inexpérimenté et surtout incapable de réagir et  de garder son sang-froid ?  Quant au pilote j'ai pensé au début qu'il aurait pu prendre ses précautions avant le décollage mais j'ai changé d'idée en regardant la distance    (2 052 km) et la durée du vol (minimum 7h40).

    Heureusement pour les passagers et membres d'équipage que le pilote, tel Zorro ou Superman, a repris la situation en main !

     

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