• Lundi j'en ai eu assez d'avoir une jungle de pissenlits à la place du jardin, non tondu depuis près d'un mois. La dernière fois que mon fils a voulu tondre, la tondeuse à essence, achetée il y a 6 ans est tombée en panne. Elle démarre mais s'étouffe tout de suite après. Aurélien a démonté plein de pièces : nous avons nettoyé le filtre mais toujours rien. Il m'a conseillé d'aller chez un réparateur. Oui, mais cette tondeuse est trop lourde et trop encombrante pour que je puisse la mettre dans ma modus et l'apporter à réparer. D'ailleurs même quand elle marchait je n'arrivais pas à la démarrer. Pas assez de force pour tirer sur le fil du démarreur.

    Alors j'ai été acheter une tondeuse électrique, pas trop chère et maniable. Quand j'ai déballé le carton, j'ai vu la légèreté, rien que du plastique vert et rouge. Presqu'une machine jouet, une tondeuse Barbie... Mon ex-mari m'a aidé à la monter mais au moment de m'en servir, impossible de retrouver la rallonge rouge qui était accrochée dans le garage. J'en avais une autre noire, très grande mais impossible d'entrer la prise mâle de la machine dans la prise femelle de la rallonge...
    Il a donc fallu acheter une rallonge. A la supérette du coin j'ai acheté les deux dernières rallonges qui restaient : 25 mètres chacune. J'ai commencé à tondre,  impeccable. Enfin une tondeuse légère, qui démarre au doigt et à l'oeil et se déplace très facilement. Derrière la maison je n'ai eu aucun souci avec la rallonge de 25 m, faisant passer le fil d'un côté à l'autre. Pour tondre devant, j'ai rajouté la seconde rallonge et là j'avais trop de fil. Au début tout allait bien et puis ce qui devait arriver arriva. J'avais presque fini quand j'ai tronçonné le second fil. Le compteur a disjoncté. J'ai été le re-enclencher après avoir enlevé le fil électique de la lame et la machine est repartie me laissant achever le petit carré d'herbes folles... 


    Ce qui est très amusant c'est que j'avais raconté mon achat par mail à mon ami Hugues avant de commencer à tondre. Quand j'ai eu fini, j'ai lu mes mails. Il me répondait "Une tondeuse électrique, pourquoi pas, mais ATTENTION AU FIL..."
    Trop tard !


    23 commentaires
  • Voici la preuve qu'il existe bel et bien :

    En voici deux exemplaires : mâle et femelle, mère et fils... Ne me dites pas que c'est un renard ! Un renard bleu, ça n'existe pas !
    Par contre, dans "l'arrache coeur", Boris Vian parlait déjà de l'écureuil bleu, en décrivant Citroën, l'un des trois enfants de Clémentine : "il sourit à son tour d'un sourire timide comme un écureuil bleu"...

















    En prenant des photos de ci de là, en Corse, j'ai glané deux autres écureuils.
    D'accord vous voyez un chat roux mais regardez dans le pot de fleurs...

    Et maintenant qui vous regarde, à la fenêtre ?



    P.S : Sur les deux premières photos : il s'agit de la mascotte de l'hôtel, soi-disant un renard, costume revêtu par mon fils pour fêter l'anniversaire d'une dame. Je n'ai essayé que la tête : on a l'impression d'étouffer, c'est lourd et on n'y voit rien.
    Pour l'accompagner dans la salle de restaurant j'ai dû le tenir par la main, surtout dans les escaliers où il a manqué tomber trois fois, pas aidé en plus par les "chaussures". En sortant il était en nage et il n'était resté qu'une quinzaine de minutes...
    Regardez un peu le panache : pour moi c'est plus celui d'un écureuil bleu que celui d'un renard...



    15 commentaires
  • Voici le surnom donné hier soir par mon fils, après la journée en bateau entre Bonifaccio et les îles Lavezzi...
    Ecrevisse ou homard auraient mieux correspondu à la couleur de mon nez et de mes bras, mais j'aime bien aussi "calamar"...
    Je ne me suis pas assez méfiée en bateau et enduite de crème : beaux coups de soleil et pas d'eau des Abbatilles pour les faire passer... L'eau des Abbatilles est une eau minérale puisée et mise en bouteille à Arcachon, eau possédant des vertus thérapeutiques. Il y a quarante ans mon grand père maternel était venu en vacances à Arès avec nous et peu habitué au soleil avait été brûlé tout de suite. Mes parents l'avaient accompagné chez le docteur qui lui avait conseillé de boire beaucoup d'eau des Abbatilles...
    Le calamar Bordelais rentre demain...


    8 commentaires
  • Lu dans Sud-Ouest du 17/05/2009 : "Dans le Queensland (Australie), le surfeur Neil McCallum vient de sauver héroïquement un kangourou qui s'était jeté sous ses yeux dans une eau infestée de requins-marteaux".
    Alors là, fermez les yeux et imaginez la scène : une mer infestée de requins : ce n'est pas le gentil "les dents de la mer", car il n'y avait qu'un requin, c'est le cran au dessus : des dizaines et des dizaines d'ailerons qui s'entrecroisent sur la mer...
    Que faisait Neil à surfer parmi eux ? Inconscient, suicidaire, bigleux ?
    Le journaliste parle de la poche ventrale du kangourou dans laquelle il peut "ranger l'huile solaire et la monnaie pour les chichis"...
    J'aurais aimé écrire cela. C'est vrai que c'est drôlement pratique quand on va à la plage d'avoir une poche pour porter ses petites affaires, si elle est ventrale c'est encore mieux, comme ça personne ne peut vous la voler !
    Vous avez donc une plage avec plein de requins , un surfeur inconscient et un kangourou en string avec des lunettes de soleil, de l'huile solaire et de l'argent pour les chichis. Donc il doit aussi y avoir sur cette plage un vendeur de chichis et de chocolats glacés, peut-être un poste de secours et une grande pancarte "interdit de se baigner", mais voilà le kangourou ne sait pas lire.
    D'abord : petit bain de soleil après s'être enduit de crème...

    Et puis ...

    Il fait chaud, il plonge. Attention : l'argent des chichis risque de tomber au fond de l'eau...
    Le surfeur le voit et se jette à l'eau -au péril de sa vie- pour sauver le kangourou... A moins que ce ne soit pour lui piquer ses sous !
    L'histoire ne dit pas si le kangourou a pris le bus pour venir ou a fait du stop, ni comment il est reparti : peut-être sur la moto de son nouveau pote, le gentil Neil...

    Il est temps que j'aille me coucher...


    4 commentaires
  • Une femme a dû prouver son âge à l’aide d’une pièce d’identité pour acheter des petites cuillères dans un supermarché Anglais. Le vendeur a justifié sa demande en invoquant le fait qu’un homme avait déjà été assassiné à l’aide d’une petite cuillère. Source : Zigonet.com


    Alors là, je dis comment ? Comment peut-on assassiner quelqu’un avec une petite cuillère ?

    Quand nous étions jeune, ma sœur m’a planté une fourchette dans la main (planté, j’exagère, juste un peu plus que piqué) suite à une dispute , mais une cuillère ?

    Quel mal peut-on faire avec une cuillère à dessert ou à café ? Assommer, non… Etrangler, non… Noyer, non… Poignarder, non… Etouffer, non… Brûler, non… Découper, non…

    Au mieux avec beaucoup de force et une victime consentante, on pourrait peut-être la faire avaler…

    Ou s’en servir pour gaver la personne à condition de disposer de beaucoup de temps et là-aussi que la victime soit consentante…

    Je brûle : empoisonner, mais un verre ou une cuillère à soupe sont tout aussi dangereux dans ce cas…

    Avec deux cuillères il est vrai que l’on peut faire des œillères. A condition d’arriver à les faire tenir, on peut ensuite pousser la victime dans le vide, d’un toit ou d’une fenêtre, mais un foulard serait plus pratique…

    Déguster à la petite cuillère… Mais là il faut que la victime soit très tendre et très consentante…

    J'ai beau chercher : je n'imagine même pas comment un homme a pu être assassiné avec une cuillère à café. S'il y a un inspecteur Columbo parmi vous...


    4 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique