• J'ai lu cette information étonnante dans Sud-Ouest : "Elizabeth II, 86 ans, et le prince Philip, 91 ans ont fait pour la première fois un voyage en camping-car..."

    Ce début de phrase m'a sidérée, et mon esprit s'est mis à délirer en les imaginant tous les deux au Camping des Flots bleus avec Patrick Chirac (films Campings I et II) ou dans Camping Paradis avec Laurent Ournac, ou même sur le parking du Moutchic, garé près du camping-car de mon frère, se préparant pour pique-niquer...

    Et puis j'ai lu la suite : "..., un périple de 200 m autour de l'usine qui les fabrique à Bristol. Au terminus ils ont fait les remarques pertinentes attendues. "On s'y sent comme à la maison", a dit Liz (note : Buckingham Palace = 77 000 m²), "Les couchettes c'est plus pratique dans le sens de la longueur" a dit Philip..."

    Cela m'a rappelé les vacances d'été passées à 5 dans une caravane, lorsque j'étais enfant. Avec mon frère et ma soeur nous dormions tous dans le même lit, un des trois couché en sens inverse. Et après quelques petites disputes nous dormions très bien...

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    Photo trouvée sur Wikipédia

    Elisabeth II a fêté cette année ses 60 ans de règne. A 86 ans elle est encore très élégante...


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  • Lors de ma dernière promenade au Jardin Public de Bordeaux, à la recherche des arbres remarquables, j'ai été intriguée par cet arbre dont les fruits miroitaient au soleil, prémisses des sapins de Noël... Si vous le reconnaissez... arbre à cadeaux arbre à cadeaux3 arbre à cadeaux2 Selon son humeur, on peut y voir des surprises accrochées aux branches, ou bien des fléaux, armes de guerre du Moyen-Age... (fléau : arme composée d'un manche de bois muni d'une chaîne métallique à laquelle est accrochée une masse de fer, généralement sphérique et munie de pointes plus ou moins longues).


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  • Je me suis réveillée ce matin en plein rêve comme cela m'arrive parfois, de bonne humeur, avec plein d'espoirs et de couleurs dans la tête...

    Voici ce dont je me souviens...

    J'étais dans une maison blanche, qui n'était pas la mienne, avec d'autres personnes dont mes enfants. Je suis entrée dans la chambre d'une personne, un monsieur grand et souriant (que je ne connais pas, ou alors c'est un assemblage de différents proches). Il y avait un joli petit chien noir, cocker de toute petite taille avec une sorte de "palmier" (petite couette) sur le côté de la tête attaché par un chouchou de couleur vive.

    "Tu le laisses sortir ?" ai-je demandé au Monsieur.

    - Non, non. Elle se perdrait", m'a-t'il répondu.

    Mais la petite chienne en a profité pour s'échapper. Nous l'avons d'abord cherchée dans la maison. Les autres occupants ne l'avaient pas vue.

    Alors nous sommes partis la chercher, par une petite route de campagne entourée de forêts. Parfums de champignons et couleurs d'automne, bruyère en fleurs et fougères rousses. La route s'est transformée en un chemin cahoteux formé de cailloux et de terre orange. Trois voitures sont passées assez vite et je me suis dit qu'ils étaient fous.

    Nous sommes entrés dans un petit hameau. Sur la gauche j'ai remarqué un arbre magnifique, très coloré avec de nombreux fruits dans les branches, comme des petites balles avec beaucoup de rouge mais aussi du rose, de l'orange, du jaune et du vert. J'ai reconnu des mangues.

    Pour délimiter le terrain une dizaine de pots contenaient chacun une superbe mangue plus grosse que nature, sans doute en céramique ou porcelaine (Aude,du blog "Créaterre" est-ce toi qui les as faites ?).

    Le manguier était magnifique et des jeux d'ombre jouaient sur lui. J'ai pensé : "Un bel article pour mon blog !" et j'ai voulu le photographier, ce que mon compagnon de promenade faisait déjà avec son téléphone portable.

    Nous n'étions pas seuls à admirer ce superbe manguier, et à le photographier. Je n'avais moi aussi que mon téléphone portable et je me suis dit que je reviendrai plus tard avec mes appareils photos.

    Il y avait toujours quelqu'un devant moi qui m'empêchait de le photographier correctement : une tête ou un bras me gênaient. Je me suis décalée mais je ne le voyais plus. Je suis passée par le côté mais il était caché par un pan des bâtiments alors je suis revenue devant, je l'ai contemplé émerveillé et j'allais le photographier pour vous quand je me suis réveillée...

    Je me suis réveillée avec plein de petits bonheurs en tête, beaucoup de couleurs, une impression de bien-être. Cet arbre était peut-être magique ? Alors j'ai eu envie de le peindre ou faire un montage pour vous le montrer... Et chaque mangue sera dédiée à une belle personne, un ami ou aminaute qui traverse des difficultés, pour lui insuffler ondes positives et énergie, et beaucoup d'amitié et de soutien.

    Il y aura une mangue pour Sophie de "La petite maison dans la prairie" et une autre pour Yolande du blog "Mémé Yoyo" qui vient de se faire opérer, une autre pour Mimi et Sonia la gentille "Petite Fourmi"...

    Et j'en rajouterai pour vous si vous le souhaitez...

    Le dessin ou collage viendra plus tard, et vous pouvez m'aider aussi...


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  • Je l'avais déjà vu sur le blog de Mamazerty, et dans les articles de Sud-Ouest comparant les villes de Nantes et Bordeaux.Je l'avais également aperçu lors de précédentes visites, enfermé dans son hangar. Aurélien et Céline me l'ont fait découvrir plus longuement samedi 13 octobre, lors de ma venue à Nantes.Quelques informations issues du site "Les Machines de l’île" (http://www.lesmachines-nantes.fr/elephant.html) :  Les Machines de l'Ile à Nantes est un projet artistique né de l’imagination de François Delarozière et Pierre Orefice, qui se situe à la croisée des « mondes inventés » de Jules Verne, de l’univers mécanique de Léonard de Vinci et de l’histoire industrielle de Nantes, sur le site exceptionnel des anciens chantiers navals.Le Grand Éléphant est le plus célèbre de ces Machines de l'Ile. Il peut recevoir 49 passagers, qu'il transporte du hangar qui l'abrite jusqu'à l’embarcadère des Mondes Marins.

    Caractéristiques

    • 12 mètres de haut, 8 mètres de large et 21 mètres de long
    • 48,4 tonnes
    • Bois : tulipier de Virginie
    • Carcasse métallique irriguée par 2 000 litres d’huile hydraulique
    • Moteur 450 chevaux
    • Un salon intérieur avec portes-fenêtres et balcons
    • Une terrasse accessible par des escaliers
    • 3 différents parcours : environ 30 minutes
    • Vitesse 1 à 3 km à l’heure
    • Mise en mouvement par 60 vérins, dont 44 hydrauliques, 6 pneumatiques et 10 à gaz

    Et voici quelques photos de ce superbe animal articulé qui barrit, ouvre et ferme les yeux, bouge ses oreilles et arrose les spectateurs :

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  • Cette nuit j'ai fait un rêve étrange, mélange de fable et de différents morceaux de réalité.

    J'étais dans une ville et j'attendais un bus avec des collègues pour rentrer sur Bordeaux. La plupart des collègues attendaient au bord de l'eau. Océan, lac ou estuaire, je ne sais...

    J'y suis allée aussi et puis je suis revenue vers des bâtiments. J'ai voulu prendre mes précautions pour un voyage de 3 heures et j'ai cherché les toilettes dans une sorte de hall. Il y avait une sorte de boite ronde comme une grande boite à chapeaux posée sur un cube et une sorte de tourniquet autour. J'ai attendu car le voyant "Occupé" était enclenché.

    Il y avait une dame dans l'engin. On voyait sa tête dépasser. Le Monsieur Pipi lui a demandé de baisser la tête et a fermé le couvercle en zinc. Un monsieur est arrivé et s'est placé au bon endroit, juste en face de la porte. Quand elle s'est ouverte il est entré dans l'engin, me piquant la place. Je me suis rapprochée de la porte, mais quelqu'un m'avait encore devancée.

    Je n'étais pas contente et quand la personne est sortie, je suis montée sur le cube et me suis glissée dans le carton à chapeau, aidée par Monsieur Pipi, qui a ensuite rabattu le couvercle sur ma tête. Il faisait noir mais j'ai trouvé l'interrupteur. C'était sommaire. Juste un trou dans le cube qui semblait en carton.

    Je n'ai pas pu uriner. Tant pis, j'irais dehors.

    Je suis ressortie de l'engin par le haut, aidée par Monsieur Pipi.

    Dehors la nuit était en train de tomber et toujours pas de car...

    Je suis revenue vers l'eau mais l'on n'y voyait absolument rien, alors retour vers les bâtiments.

    Les bus étaient arrivés. Ils étaient trois.

    J'ai pris mon sac et suis entrée dans le premier bus. Il était spacieux, sentait le neuf et semblait très confortable. Ls premiers arrivés s'étaient installés chacun sur plusieurs sièges pour pouvoir s'allonger et dormir. Certains avaient réservé des places pour les copains. D'autres s'étaient aménagés des sortes de salon pour jouer aux cartes. Les places étaient rares et je ne voyais personne avec qui j'aurais plaisir à discuter.

    Je suis sortie du premier bus et je suis entrée dans le suivant. Le suivant était un bus classique et je me suis dit qu'il ferait bien l'affaire si je trouvais des places libres et des gens sympas. Peut-être que je pourrais m'allonger et sommeiller. Il restait encore quelques places mais disséminées.

    Je suis sortie du second bus et je suis entrée dans le 3ème, une vraie catastrophe ambulante, mélange de vieille micheline d'autrefois et d'autocar déglingué aux senteurs d'huile de vidange. Des ouvriers étaient en plein travail pour rajuster des banquettes en skaï orange qui avaient dû être arrachées. Il y avait beaucoup de places vides.

    Je suis sortie de ce bus par la porte de derrière et j'ai suivi un ouvrier en combinaison de travail bleue qui entrait dans un bâtiment, avec l'intention de remonter dans le premier bus. Mais je me suis perdue dans le bâtiment, véritable labyrinthe. J'ai fini par ressortir et j'ai vu le premier bus qui partait.

    Je me suis dit que je lui ferai signe quand il passerait devant moi, mais il a disparu en sens opposé. Je ne voyais pas les autres bus. Je n'étais pas du même côté de la place. Je suis rentrée dans le bâtiment et quand j'ai retrouvé le bon côté tous les bus étaient partis.

    Je n'avais ni sac, ni papiers, ni téléphone, et aucun numéro en mémoire à appeler si quelqu'un avait l'obligeance de me prêter son portable...

    Heureusement, je me suis réveillée !

    Ce qui est vrai, c'est que vendredi prochain je dois prendre le bus avec mes collègues pour faire Bordeaux-Pau et Pau-Bordeaux. Et hier soir j'ai regardé "Le plus grand cabaret du monde" présenté par Patrick Sébastien, tout en bloguant. Il y avait un numéro de magie où un jeune homme faisait disparaître sa complice dans une boite ressemblant à ma sanisette. Pour le bus que je vois partir, cela m'est déjà arrivé lors d'une excursion à Séville où accaparée à photographier des azulejos magnifiques je n'ai pas vu que le groupe s'éloignait...

    Quant aux trois bus ils me confortent dans l'idée que l'herbe n'est pas plus verte ailleurs, et qu'il faut savoir se contenter de ce que l'on a sans toujours chercher mieux.

      w7gc7567


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