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A Lisbonne, nous avons visité l'Océanario, plus grand aquarium d'Europe, sur le "Parque das Naçoes", site où eut lieu l'Exposition universelle de 1998, recyclé en parc de loisirs.
Comme toujours j'ai pris beaucoup de photos et j'ai été déçue par le résultat obtenu. Il y avait des poissons de toute taille et de toutes couleurs, différents types de requins, de superbes raies, des tortues marines... Mais les poissons nagent trop vite par rapport à la luminosité très faible. Celle-ci, floue, comme les autres, a un côté surnaturel...
Rêve de poissons :La vitesse de déplacement des poissons et le manque de lumière ont donné cette photo floue où petit poisson naviguant vers la droite et gros poisson fonçant vers la gauche n'en font plus qu'un...A moins que le petit poisson ne soit déjà dans le ventre du gros...
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A Lisbonne, les rues montent et descendent. Pour ménager les mollets, des transports en commun sont disponibles : quatre lignes de métro, de nombreuses lignes de bus et les tramways électriques, très prisés par les touristes. le prmier "électrico" de Lisbonne a été inauguré en 1901. Des 17 lignes en service autrefois iln'en reste plus que 5, dont la plus célèbre est la ligne 28 qui parcourt les plus beaux quartiers de Lisbonne. Ces trams jaunes ont un habitacle de bois et des banquettes en moleskine, et offrent de beaux points de vue sur la ville et ses ruelles. Toutefois ils sont à éviter aux heures de pointe...Il existe aussi un tram rouge, touristique, pour sillonner la ville.
Seul bémol : ils sont de plus en plus recouverts de publicité... Cette photo prise du tram montre le réseau aérien de fils électriques.
Arrivé au terminus le conduscteur descend et va s'installer de l'autre côté du tram...
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Pour ce 29ème café thé je vous propose de broder autour d'un monument cher au coeur des Lisbonnais, le monument des découvertes l'imposant « Padrão dos Descobrimentos » qui, de ses cinquante mètres de haut domine la place en contrebas, le quartier de Belém, ainsi que l'embouchure du Tage.
Pour jouer, il vous suffit de m'envoyer par mail avant le 16 juin 2012 votre participation : poème, texte, dessin, scrap, photos, blague, vidéo...
à ecureuilbleu33@live.fr. Vous pouvez broder autour du thème général des découvertes, ou bien des explorations maritimes, ou bien choisir un personnage de cette fresque...
Du 16 juin au 15 juillet les votes seront ouverts pour déterminer le gagnant.
Pour préserver l'annonymat des votes, les joueurs ne pourront publier leur participation sur leur blog qu'à partir du 16 juillet.
Quelques informations sur ce monument des découvertes (Source : Source Bloc.com : http://www.bloc.com/article/voyages-et-tourisme/tourisme-a-l-etranger/le-monument-aux-decouvertes-de-lisbonne.html#ixzz1vFHbZibn )
Ce monument des découvertes représente la proue d’un navire prêt à partir pour le large (une caravelle modernisée, aux voiles gonflées), emportant avec lui d’illustres personnages historiques. Il rappelle le rôle essentiel que joua le Portugal au XVème siècle dans la découverte des territoires méconnus de la planète. Il est un magnifique hommage aux grandes expéditions portugaises.
Le monument des découvertes a été construit en 1940 à l'occasion de l'exposition mondiale. 1960 fut l'année de la célébration des cinq cent ans de la mort de l'infant Enrique, surnommé Henri le navigateur : le monument fut inauguré à cette occasion, en hommage au célèbre navigateur portugais. C'est le Prince Henri qui fut à l'initiative des premières expéditions portugaises. Gouverneur de l'Algarve en 1419, il fit construire à Sagres une école dédiée à la navigation. L'édifice représente le navigateur, à la proue, tenant dans une main une petite caravelle, dans l'autre un planisphère, et portant les armoiries du Portugal.
A sa suite d'autres grands découvreurs, missionnaires, gouverneurs, chroniqueurs, écrivains, poètes, mathématiciens ou aventuriers des mers sont représentés, parmi lesquels Alfonso V, mécène, le célèbre Vasco de Gama, Pedro Álvares, découvreur du Brésil, Fernão Magalhães, plus connu sous le nom de Magellan. Le navire porte au total trente trois passagers, trente trois représentations sculptées de personnages ayant participé aux grandes découvertes portugaises, dix sept de chaque côté du bâtiment.
Amusez vous bien !
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Pour ce 27ème jeu Café Thé, je vous ai proposé de nous raconter à votre manière quel est le poisson d'avril le plus amusant que vous ayez fait ou que l'on vous ai fait ( photo, scrap, texte, poème, blague, dessin...) .
photo empruntée sur le site :http://www.linternaute.com/Il s'agit maintenant de voter pour votre participation préférée jusqu'au 15 juin 2012, en utilisant le module de vote en haut à gauche.Les participants ne pourront publier leur participation sur leur blog qu'à partir du 16 juin.J'ai reçu 5 participations.Participation n° 1 :
Le poisson d'April
MorteDe rireQuand par plaisirA la porteDu premier avrilJe« fish » crénomMon poissonDans l'dos d'AprilQuelle idéeAussiD'avoir baptiséAinsiMa soeurette pardiEt mon frère... ColinQui plus malinVoit venir la plaisanterie...C'est un barbueQue je lui colleA l'écoleA son insuOu poisson chatAu bout du filQui se trémousse débileEn cha-cha-chaMalgré les sourires en coinJetés sur elle à la récréPoint très futéeApril ne se doute de rien...Participation n° 2 :Djibouti samedi 1er avril 1967
Ce samedi 1er avril 1967 paraît sur le journal de Djibouti l’annonce du passage de Jean-Paul Belmondo et Ursula Andress. Ils sont en vacance sur une île de l’Océan Indien et feront escale à Djibouti le dimanche (l’heure est précisée mais je l’ai oublié). Bien sûr on peut penser à un poisson d’avril puisque nous sommes le 1er mais leur venue étant prévue pour le lendemain nous pensons que l’annonce est vraie. Donc je veux y aller et j’entraîne mon mari, les ami(e)s et nous voilà tous à l’aéroport à attendre l’avion. Djibouti est alors une ville de garnison, donc beaucoup de militaires sont là pour voir la très belle Ursula, des civils comme mon mari et moi et des familles entières sont venues. L’aéroport est bondée, il est petit ce n’est pas Roissy.Après quelques bonnes minutes d’attente enfin voici que se pointe à l’horizon un petit avion en provenance d’Addis Abéba , le seul vol annoncé ce jour là. Et cet tout ébahi qu’un monsieur en descend tout étonné par la foule qui l’entoure et qui clame bien fort «c’est pour moi tout ça ?». Certains ont eu le fou–rire, d’autres comme moi étaient tous penauds de s’être fait avoir.Participation n° 3 :Une fin de journée, une petite fille rêve dans sa chambre en regardant par la fenêtre ! Elle imagine les animaux en liberté dans la savane ! Quand tout à coup, sa maman crie en bas : «viens vite, dépêche-toi c’est génial ». La petite fille déboule les escaliers, limite de tomber « quoi maman quoi ? ». « Viens vite dehors un éléphant se promène dans la rue » La petite fille sort en trombe dans la rue, elle qui est depuis toujours fascinée par les éléphants, elle qui a toujours pensé que c’est eux les rois des animaux ! « Où ça maman, où ça ! », elle tourne la tête dans tous les sens pour trouver ce fameux éléphant ! Et là, elle réalise que s’il y avait éléphant elle aurait vu sans chercher ! Elle tourne la tête vers sa maman qui sourit et dit « poisson d’avril ! »Participation n° 4:
La chute de la maison (à) eux chère,z'ont pas eu de Poe!!!!
(clin d’œil rapide à Edgar Poe et sa "chute de la maison Usher")
une chaleureuse maison engloutie dans une marnière
glissement de terrain, caprice de la terre
un superbe jardin transformé en gruyère
trou noir ce qui fut paradis hier
une telle injustice me broyait le coeur
Pauvre aminaute,pour vous deux, comme j'ai eu peur!
sur des terrains instables
tant de demeures à la va-vite bâties
par des sans-scrupules vous laissant à l'agonie
on en a vu des jamais habitables,
économies d'une vie
ainsi englouties
rêves denrées négligeables
adieu veau vache couvée
travaux jamais achevés!!!
Mais c'était mal connaitre Cerise Violette
qui a plus d'un tour dans sa p'tite tête!!!!
ce n'était certes qu'un poisson d'avril
mais j'ai pour elle vécu des nuits difficiles
l'imaginant à la rue, tous ses rêves enfouis
à jamais anéantis
dans cette ingrate terre
ces terribles marnières!!!!
moi qui t'ai crue,
ma belle tu m'as bien eue!!!
Poisson d'avril fort réussi
après coup j'en ai bien ri!!!!
Participation n° 5 :Les chenilles s'adaptent au réchauffement climatiqueJ'ai ouvert mon micro ce matin-là et ma boitaméls. Un mél de l'Internaute magazine avec du vert flash, sur la mutation des chenilles :Le CO2 transforme les chenilles en arbres : Le réchauffement climatique oblige certaines espèces à s'adapter. Les chenilles l'ont bien compris et muent en papillon peuplier ou chêne-liège.
J'ai gobé tout de suite, sans lire la suite de l'article, qui m'aurait alertée "Dubaï achète la Tour Eiffel pour 12 milliards d'Euros".
C'était le 1er avril 2009. J'ai gobé le 1er poisson d'avril de la journée...
C'était trop mignon, cette petite chenille sur le dos de laquelle poussait des arbustes formant une haie mouvante.
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Pour ce 27ème jeu Café Thé, je vous ai proposé d'illustrer la photo suivante à votre manière : photo, scrap, texte, poème, conte, blagues, dessin... Il s'agit d'un bateau amarré à Camaret (Bretagne) qui doit avoir de belles histoires à raconter...
Vous êtes à 7 avoir participé et 36 à avoir voté.
Vous avez désigné comme gagnant Jean-Marie (13 voix), suivi d'Annie (12 voix), d'Ecureuil bleu (11 voix), Jill Bill et Lady Marianne (5 voix), Sylvianne (3 voix) et Catcent (1 voix).
Merci aux votants et bravo aux participants !
1er) Jean-Marie du blog "La traversée de la passion" :
rêverie sur le port…
les marins sont croyants le danger les menace
mon père de Royale en navires marchands
découvrit des secrets pour des rêves d’enfants
dont le moindre rafiot me remet sur la trace
Voici le vieux bateau si triste abandonné
reposant quelque part dans un port de Bretagne
s’il avait pu parler il aurait raconté
son voyage jadis aux pays de cocagne
nous le voyons rouillé ça donne le cafard
on oublierait qu’un jour il avait fière allure
allant au point du jour dans un épais brouillard
de marins étrangers partager l’aventure…
pêche miraculeuse et retour triomphant
une morne rentrée quand la cale était vide
mais le soir sur le pont on buvait inventant
des fortunes de mer de l’air le plus candide
les vieux bateaux ainsi pour l’amant de la mer
qui sommeille en nos cœurs révèlent une histoire
de mystères remplie que l’on a peine à croire
quand on voit dépérir leur carcasse de fer
2ème) Annie du blog "Ici et ailleurs" :
Fin du voyage?Jamais bateau n'a fini de naviguerLa rouille ne saurait le condamner.Vers le paradis des bateaux il s'envoleSon ancre ne reste pas longtempsRetenue au fond de l'océan,Tant la liberté est son symbole.Deux ailes d'ange l'emportent pour le meilleurVers un monde nommé Ailleurs.3ème) Ecureuil bleu :
Si vous savez écouter le chant du vent
Qui fait cliqueter les haubans,
Alors approchez vous plus près
Je vais vous raconter...
J'ai connu des jours meilleurs,
De vrais moments de bonheur...
Ma mise à l'eau a été joyeusement fêtée
Sur mon pont les marins ont chanté
Les filles de Camaret
Ils ont bu et dansé.
Le capitaine et son second,
De ma dunette repéraient les bancs de poissons...
Ensemble nous avons affronté des tempêtes,
Je n'ai pas toujours été à la fête.
Mais j'étais bichonné,
Frotté, nettoyé...
J'étais chaque année
Repeint de frais...
Nous rentrions les cales pleines,
La pêche terminée
Suivis par les mouettes affamées,
Pistant la bonne aubaine...
Les années ont passé,
Il fallait pousser de plus en plus loin...
Le capitaine se plaignait de ne plus y arriver.
Il a fini par me laisser dans ce coin...
4ème ex-aequo) Jill Bill du blog "Melting-pot" :
Sur la béquille
O rage ô désespoir
O vieillesse ennemie
Echouée sur un banc
De sable.... Soupirs
Epave rouillée... Dépérir
Ici... Loin des océans
Perdue dans des souvenirs jolis
Vieux loup de mer dans le soir...
Excitante existence marine
Bourlingueur de fer
Par maints et maints flots
Sous maints et maints cieux
Il en gémit le vieux
Sur sa béquille, coeur gros
Pied à terre c'est l'enfer
Pour qui côtoyait sirènes divines...
Il revoit ces eaux poissonneuses
Un fier capitaine
A sa barre
Lançant les filets au large
Point une vie de barge
Sur canaux sans histoire
Il se donnait de la peine
Pour une cale miraculeuse...
Il a fait son temps
Usé par le travail
Par son ennemi le sel rongé
The end la belle aventure
Ah la retraite dur dur
Même si Camaret
Offre aux vieux épouvantails
Le meilleur des bancs...
4ème ex-aequo) Lady Marianne du blog "Chienne de vie" :
bateau rouillé
à marée basse désormais
que de secrets tu as gardé
il ne faut jamais dire jamais
tu avais encore de belles années
tu as du déclarer forfait
la rentabilité a primé
il ne faut jamais dire jamais
ils se sont concerté
un autre chalutier leur plaisait
tes services rendus oubliés
de tous les maux on t'accusait
à marée basse tu es restéil ne faut dire jamais
6ème) Sylvianne du blog "Messire Merlin" :
‘’La Mouette rieuse et le Bateau’’
Du haut de son perchoir,
La mouette regarde ….
Ce bateau amarré au quai de la « réalité »
Lui, affamé de voyages, de Liberté
Le voilà désormais condamné à l’immobilité……
L’imagination, carburant des rêves secrets,
A délaissé ses réservoirs à jamais.
Enchaîné aux rivages de l’indifférence,
Au gré des vagues, il se balance.
Il vit au jour le jour appréhendant les nuits.
Nuits habitées d’angoisses et d’ennuis.
La rouille témoigne de son grand âge
A l’image des rides sur nos visages.
Si peu connaissent son illustre passé !
Son avenir, nombreux peuvent l’imaginer.
La Mouette le contemple…
Elle l’invite presque tendrement à la confidence,
« Raconte tes voyages, tes errances. »
Le bateau, timide n’ose se livrer,
Puis, peu à peu il s’abandonne à raconter.
Le récit est rythmé par le clapotis de l’eau
Sur la coque du vieux Bateau….
Il raconte : La mer Egée, l’Atlantique…
Il raconte : La Méditerranée, La Mer Baltique…
Soudain, Le Monde entier
S’invite à Camaret !
Certes, dans le feu de l’action
Il en rajoute un peu… sur ses tribulations…
Il revit, s’enflamme et revoit,
Ces pays visités autrefois !
Les ciels étoilés,
Les mers déchaînées.
Les chants des marins,
Le ballet des dauphins.
Les brumes du matin,
Les quais lointains.
Les baleines, les requins,
Peuple sous marin.
La Mouette rieuse est heureuse…..
A peu de frais elle voyage
De rivages en rivages
Puis, fatigué,
Le bateau se tait.
La Mouette le salue et s’envole…
Demain, c’est promis,
Elle reviendra avec ses amies
Avide de nouveaux récits…
Le bateau, serein, s’endort bercé par les flots,
Au loin, raisonnent les chants de vaillants matelots.
Stendal a écrit :
‘ Donner une âme à tout, c'est le secret des anciens.’
7ème) Catcent du blog "CatcentII" :
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