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Je vous ai montré le châle en mohair que je tricote actuellement, pour éviter d'avoir froid au bureau.
Ecureuille est intriguée par cette activité et les aiguilles dont le bout brille.
Elle les mordille mais -heureusement- ne cherche pas à défaire la pelote. Par contre elle adore se coucher sur mes genoux, testant le moëlleux de ce futur châle presque terminé, et m'empêche bien sûr d'actionner les aiguilles.
Mais qui est la plus douce, Ecureuille ou la laine mohair du châle ?
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Pour photographier l'écureuil en peluche envoyé par Chris du blog "Coincoin et Coincouinette", je l'ai déposé sur une petite commode à la lumière. Squirel est arrivé, s'est perché sur la commode et a poussé l'écureuil.
Pourquoi se gêner puisque ça marche ? C'est ce qu'il fait avec Ecureuille quand il veut la place sur le canapé. Il lui saute dessus et elle s'en va.
L'écureuil : Pourquoi tu ne m'aimes pas ?
Squirel : Laisse-moi tranquille ! J'ai envie d'aller dehors...
L'écureuil : Moi aussi j'aimerais bien aller dehors...
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La semaine dernière, j'ai trouvé dans ma boite aux lettres une enveloppe en papier kraft un peu volumineuse. J'ai découvert à l'intérieur une carte de Chris, mon aminaute du blog "Coincoin et Coincouinette" et un écureuil en peluche.
Si vous ne connaissez pas le joli blog "Coincoin et Coincouinette", je vous invite vivement à aller le découvrir...
Mes autres écureuils : "A Béziers, les écureuils ne sont pas bleus", "Nestor, l'écureuil de Claouey" et "Les écureuils noir et brun du Canada" et "L'écureuil-girouette des Pays de la Loire", "Les écureuils de Jean-Marie", "L'écureuil en bois de Marie La Joconde", "L'écureuil de Geny", "l'écureuil de Mahabalipuram", "L'écureuil curieux de Martine", "L'écureuil corse de Fanfan","l'écureuil timbré de Mary, "L'écureuil timbré de Tex Avery","L'écureuil frileux de Lilas", "Les écureuils et leur panache" de Bernard","L'écureuil bleu" de Maminou et "Ecureuil gris Américain et écureuil roux de Laure", "L'écureuil en chocolat d'Hugues", "L'écureuil en art topiaire", "L'écureuil équilibriste de Joëlle", "L'écureuil de Colette", "L'écureuil Audois de Mistigris", "L'écureuil en quilt", "L'écureuil en pièces détachées", "L'écureuil en tricot de Danaou", "L'écureuil girouette de Virjaja", "Les écureuils amoureux", "L'écureuil bleu et les Tipois" , "L'écureuil de Katara", "L'écureuil qui voulait devenir photographe", "L'écureuil Berrichon qui aimait les fleurs", "Les bébés écureuils envoyés par Nicole", "L'écureuil de Cologne qui jouait à cache-cache", "Mon écureuil en bois flotté", "L'écureuil photographe de Renée", "L'écureuil Ecossais en céramique", "L'écureuil en carte postale de Violette", "L'écureuil de Courchevel" de Laure, "Les écureuils décoratifs de Phypa", "L'écureuil du Kenya, "L'écureuil Boule de Flammes" de Sonia, "Les écureuils de Charléa", "A table, les écureuils !", "L'écureuil gourmand de Marie", "L'écureuil girouette de Virjaja", "L'écureuil au rayon de Noël de Chris", "L'écureuil frileux de Laure", "L'écureuil à plat ventre de JJ", "Cacahouète, l'écureuil de Plume fragile", "L'écureuil d'Elysée", "L'écureuil bannière de Martine", "L'écureuil qui se balance de Yolande", "L'écureuil qui aimait les cacahouètes de Mary", "L'écureuil qui aimait le Nutella de Martine", "L'écureuil en feutrine de Ninou...", "Les écureuils du Doubs", "L'écureuil du Parc de la Tête d'Or", "Les bébécureuils" de Joëlle et "Une aquarelle d'écureuil" de Chantal, "L'écureuil taillé d'Eyrignac" de Quichottine, "Le swing de l'écureuil" de Philippe, "L'écureuil Canadien de Mireille", "Transport d'un bébé écureuil", "L'écureuil de Saguenay", "L'écureuil curieux de Joëlle", "Attention aux écureuils en fuite", "Les écureuils en pierre de Marie", "L'écureuil au fusain de Sylvianne", "Les écureuils de Kensington Park" et "Les écureuils d'Istanbul"...
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Cette nuit j'ai fait un rêve étrange, mélange de fable et de différents morceaux de réalité.
J'étais dans une ville et j'attendais un bus avec des collègues pour rentrer sur Bordeaux. La plupart des collègues attendaient au bord de l'eau. Océan, lac ou estuaire, je ne sais...
J'y suis allée aussi et puis je suis revenue vers des bâtiments. J'ai voulu prendre mes précautions pour un voyage de 3 heures et j'ai cherché les toilettes dans une sorte de hall. Il y avait une sorte de boite ronde comme une grande boite à chapeaux posée sur un cube et une sorte de tourniquet autour. J'ai attendu car le voyant "Occupé" était enclenché.
Il y avait une dame dans l'engin. On voyait sa tête dépasser. Le Monsieur Pipi lui a demandé de baisser la tête et a fermé le couvercle en zinc. Un monsieur est arrivé et s'est placé au bon endroit, juste en face de la porte. Quand elle s'est ouverte il est entré dans l'engin, me piquant la place. Je me suis rapprochée de la porte, mais quelqu'un m'avait encore devancée.
Je n'étais pas contente et quand la personne est sortie, je suis montée sur le cube et me suis glissée dans le carton à chapeau, aidée par Monsieur Pipi, qui a ensuite rabattu le couvercle sur ma tête. Il faisait noir mais j'ai trouvé l'interrupteur. C'était sommaire. Juste un trou dans le cube qui semblait en carton.
Je n'ai pas pu uriner. Tant pis, j'irais dehors.
Je suis ressortie de l'engin par le haut, aidée par Monsieur Pipi.
Dehors la nuit était en train de tomber et toujours pas de car...
Je suis revenue vers l'eau mais l'on n'y voyait absolument rien, alors retour vers les bâtiments.
Les bus étaient arrivés. Ils étaient trois.
J'ai pris mon sac et suis entrée dans le premier bus. Il était spacieux, sentait le neuf et semblait très confortable. Ls premiers arrivés s'étaient installés chacun sur plusieurs sièges pour pouvoir s'allonger et dormir. Certains avaient réservé des places pour les copains. D'autres s'étaient aménagés des sortes de salon pour jouer aux cartes. Les places étaient rares et je ne voyais personne avec qui j'aurais plaisir à discuter.
Je suis sortie du premier bus et je suis entrée dans le suivant. Le suivant était un bus classique et je me suis dit qu'il ferait bien l'affaire si je trouvais des places libres et des gens sympas. Peut-être que je pourrais m'allonger et sommeiller. Il restait encore quelques places mais disséminées.
Je suis sortie du second bus et je suis entrée dans le 3ème, une vraie catastrophe ambulante, mélange de vieille micheline d'autrefois et d'autocar déglingué aux senteurs d'huile de vidange. Des ouvriers étaient en plein travail pour rajuster des banquettes en skaï orange qui avaient dû être arrachées. Il y avait beaucoup de places vides.
Je suis sortie de ce bus par la porte de derrière et j'ai suivi un ouvrier en combinaison de travail bleue qui entrait dans un bâtiment, avec l'intention de remonter dans le premier bus. Mais je me suis perdue dans le bâtiment, véritable labyrinthe. J'ai fini par ressortir et j'ai vu le premier bus qui partait.
Je me suis dit que je lui ferai signe quand il passerait devant moi, mais il a disparu en sens opposé. Je ne voyais pas les autres bus. Je n'étais pas du même côté de la place. Je suis rentrée dans le bâtiment et quand j'ai retrouvé le bon côté tous les bus étaient partis.
Je n'avais ni sac, ni papiers, ni téléphone, et aucun numéro en mémoire à appeler si quelqu'un avait l'obligeance de me prêter son portable...
Heureusement, je me suis réveillée !
Ce qui est vrai, c'est que vendredi prochain je dois prendre le bus avec mes collègues pour faire Bordeaux-Pau et Pau-Bordeaux. Et hier soir j'ai regardé "Le plus grand cabaret du monde" présenté par Patrick Sébastien, tout en bloguant. Il y avait un numéro de magie où un jeune homme faisait disparaître sa complice dans une boite ressemblant à ma sanisette. Pour le bus que je vois partir, cela m'est déjà arrivé lors d'une excursion à Séville où accaparée à photographier des azulejos magnifiques je n'ai pas vu que le groupe s'éloignait...
Quant aux trois bus ils me confortent dans l'idée que l'herbe n'est pas plus verte ailleurs, et qu'il faut savoir se contenter de ce que l'on a sans toujours chercher mieux.
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L'île d'Aix est une île Française au large des côtes de la Charente-Maritime, dans l'Océan Atlantique. Elle est située entre l'île d'Oléron et Fouras, à l'extrémité Nord de l'embouchure de la Charente.
C'est une petite île de 129 ha environ, qui a la forme d'un croissant de 600 m de large sur 3 km de long. L'accès se fait exclusivement par voie maritime, l'île étant séparée du continent par un petit détroit de 6 km.
Toute l'année, un service quotidien de bacs transbordeurs assure la traversée depuis Fouras. Pendant la saison estivale, des liaisons maritimes sont assurées depuis La Rochelle ou les îles voisines de Ré et d'Oléron.
Plus de 250 000 voyageurs transitent en moyenne chaque année entre l'île d'Aix et le continent.
Source : photo et infos issues de Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele_d%27Aix
Je n'y suis allée qu'une fois, hors saison et il y a bien longtemps. J'avais trouvé l'endroit très décevant : un peu triste et éteint. pas un seul café ou restaurant ouvert. Il faudra que j'y revienne...
J'ai lu dans Sud-Ouest un article selon lequel cette petite île croûle sous les demandes de mariage et surtout sous les enterrements, à tel point que le maire a dû interdire cette mode par décret. Seule alternative désormais : mourir sur place !
Cette île abrite 219 habitants permanents et un millier d'autres en résidence secondaire.
Pour pouvoir se marier dans l'île il suffit d'y résider au moins un mois avant le mariage, mais certains soudoieraient une vraie-fausse adresse postale pour arriver à leurs fins, et de mai à septembre les mariages se succèdent sans discontinuer, à la Mairie et la petite église Saint-Martin.
D'autres rêvent d'être enterrés dans le cimetière marin, tout comme Brassens sur la plage de Sète. Mais Monsieur le Maire a mis le hola en publiant un décret : "Dorénavant les 400 places du cimetière sont limitées aux seuls résidents permanents, les autres ne pouvant plus réserver une tombe à l'avance par le biais d'une convention obsèques".
Le journaliste, Syvain Cottin, conclue avec beaucoup d'humour que la seule solution est de "calancher sur place, car on ne peut refuser une sépulture à quelqu'un qui meurt sur place..."
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