• Ces photos ont été prises par ma soeur Pascale. Dans ce panier prévu pour un, maximum deux, ils sont trois chats bien serrés : Kahouette, la mère de mes deux chats et des deux dans le panier, Kamboui dessous et Cartoon dessus.

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    Encore mieux : 5 chats dans une boite. En haut : Calypso et Cannelle et dessous Cartoon et Kamboui autour de leur mère.

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  • Ma soeur Pascale a pris ces photos de 4 de ses 6 chats installés dans l'escalier, chez elle.

    Du haut en bas, voici Kamboui, Cartoon (frères d'Ecureuille et Squirelle), Calypso et Kakaouette, la maman de mes chats.

    Ils attendent sagement l'arrivée de Roméo qui doit leur chanter la sérénade...

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    Une petite sieste peut-être avant l'arrivée de Roméo ?

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    Les deux plus âgés sont les plus patients :

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    Cambouis tape sur l'épaule de son frère : "Je crois bien qu'ils se sont moqués de nous... Personne ne va venir nous chanter la sérénade..."roméo2-copie-1


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  • A quelques jours d'intervalle j'ai lu deux articles annonçant l'utilisation d'urine comme source d'énergie.

     

    Au carnaval de Rio (Brésil) tout d'abord, les batteries de quelques "trios electricos", énormes camions surmontés de hauts-parleurs, accompagnant la foule dansant la samba ont été alimentées par de l'urine humaine. Cela présente deux avantages : éviter que les fêtards n'urinent partout et faire des économies d'énergie.

    Les flux d'urine sont récupérés dans un réservoir qui entraîne une dynamo produisant de l'énergie, emmagasinée dans les batteries. (Source : rubrique Insolite du journal Sud-Ouest). Pour les hommes, pas de problème, mais comment les femmes peuvent-elles contribuer à cette production ?

     

     

    Au Nigéria, des collégiennes de 14 ans ont mis au point un générateur d'électricité qui carbure à l'urine plutôt qu'au diesel. En faisant pipi dans une bouteille et en y plongeant une cellule electrolytique on pourrait couvrir les besoins en électricité d'un foyer ordinaire (quelques ampoules, un ventilateur et une télévision pendant 6 heures), tout cela avec un seul litre d'urine. Sur une année cela permettrait de faire rouler un véhicule sur 2 700 kms.

     

     

    Des recherches sont menées depuis plusieurs années, en Europe et aux Etats-Unis pour utiliser l'urée (présente à 2 % dans l'urine). Chaque être humain produisant de 1 à 2 litres d'urine chaque jour, il serait plus judicieux d'utiliser cette capacité énergétique plutôt que de gaspiller de l'énergie à la retraiter.

     

    Pour en savoir plus : http://www.lefigaro.fr/sciences/2013/03/07/01008-20130307ARTFIG00553-de-l-urine-dans-le-moteur-quatre-nigeriannes-y-croient.php ou http://www.fournisseurs-electricite.com/fournisseurs-etrangers/actu-des-producteurs/1432-lurine-source-denergie

     

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    Le célèbre Manneken-pis à Bruxelles - photo Wikipédia


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  • Vous avez bien lu. Il n'y a pas de faute de frappe. Il s'agit bien de "poisson tanné" et non de "poisson pané".

     

    Le stand le plus innovateur du Salon des femmes créatives, à La Teste de Buch présentait un atelier de tannage de peaux de poisson.

    Monique Philip, présidente de l'association "Femmes de mer" va créer le premier atelier de tannage de peaux de poisson dur le Bassin d'Arcachon, pour -dit-elle- "valoriser un déchet et apporter une valeur ajoutée au poisson".

    Ce tannage du poisson est pratiqué en Suède et sert à la confection de manteaux et vestes.

    Monique Philip récupère des peaux de poisson auprès des poissonniers et des grandes surfaces du Bassin d'Arcachon (congre, roussette, lotte, saumon) et les tannent en utilisant des produits naturels : décoctions d'écorces locales (mimosa, chataignier, chêne).

    La peau de poisson a une qualité particulière : elle est étanche.

    Ce premier atelier devarait voir le jour dans une cabane du port de La Teste de Buch.

    Le nom est déjà trouvé "Femer".

    J'ai discuté sur le stand avec une des animatrices pour connaître le nom des poissons ayant servi à confectionner les peaux présentées qui -rassurez-vous- n'ont aucune odeur.

     

     

     

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    Une peau de lotte :

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    Un porte-cartes fait main :

     

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  • Pour la journée de la femme de jolies initiatives ont vu le jour à Bordeaux le 8 mars 2013 :

     

    - Le Salon Profession'elles : le premier salon de la Reconversion Professionnelle, dans les salons de l'hôtel de Ville de Bordeaux pour "aider les femmes qui souhaitent donner un nouvel élan à leur carrière professionnelle, en leur apportant écoute et réponses personnalisées sur les thèmes phare de la reconversion : la formation, la recherche d'emploi, la création ou la reprise d'entreprise, l'accompagnement individuel."

     

    - Une intiative plus festive dans le quartier des Chartrons à Bordeaux :

    "The end of the bobonnes" autour d'une cinquantaine d'artistes, commerçants, bénévoles, dans un état d'esprit, plein d'humour... Avec au programme : une expo «Pinces à Linge», des clowns, lectures, concerts, théâtre, démonstration de Qi Gong, dégustations de vins, danses...

     

    N'ayant pu assister à aucune de ces manifestations car vendredi je travaillais , et pas dans le centre-ville, j'ai visité samedi le "Forum des femmes créatives" à La Teste de Buch, au parc des expositions (entrée gratuite les 9 et 10 mars). Pendant deux jours l'association "Femmes solidaires" propose des conférences, des débats et une exposition de créations de femmes, avec pour fil rouge cette année : "L'éducation non sexiste".

     

    Je suis arrivée vers midi au moment de l'inauguration par les Officiels, ce qui m'a permis de déguster quelques huîtres délicieuses. Une fillette d'une dizaine d'années s'était placée au bord de la table et ingurgitait huître sur huître sans bouger d'un pouce, et sans que personne ne lui dise rien...

    J'ai parcouru toutes les allées et retrouvé les stands traditionnels de ce genre de salon : bijoux, photos, peintures, tricots, patchwork, écharpes. Il semblait y avoir plus de promeneurs comme moi que d'acheteurs. N'ayant pas assisté aux conférences et débats, j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de poupées, de bijoux et de colifichets, mais -heureusement- pas de matériel de cuisine ou de ménage.

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