• Le samedi nous sommes partis en direction du Cap de Bonne Espérance, à une cinquantaine de kms de Cape Town. Nous avons fait un premier arrêt dans le port d'Hout Bay, où nous avons pris un bateau pour aller  observer "l'île des otaries".

     

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    Pas besoin d'aller bien loin pour en voir : l'une jouant avec un pêcheur qui mettait de la nourriture dans sa bouche. l'otarie saute pour aller la chercher. Désolée mais je n'ai pas pris la photo au moment exact.

     

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    Plus loin d'autres faisaient la sieste sur des flotteurs ou batifolaient dans l'eau.

     

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    L'île aux otaries est très proche du port. En les voyant agglutinées les unes sur les autres nous nous sommes demandé pourquoi elles avaient choisi cet endroit en particulier. Le guide nous a dit qu'il y en avait partout;

     

    - Pourquoi aller voir cette île-là alors ?

     

    - Parce que c'est la plus près du port...

     

     

     

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    Je me demande comment ceux qui vont se baigner retrouvent ensuite les leurs dans cette foule entassée...

     

     

     

    Mes autres articles sur l'Afrique du Sud ( "Le circuit", "Les préparatifs", "Le Waterfront à Cape Town", "Signal Hill et les pintades", "Le quartier Malais à Cape Town", "La plage de Camps Bay", "Qui c'est ? C'est le caissier..."...)


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  • En septembre j'ai participé au concours de Price Minister. J'ai reçu deux livres comme promis : l'un dont je dois faire la critique : " La grâce des brigands" de Véonique Ovaldé, et le second en cadeau pour avoir parrainé d'autres aminautes : "Rome en un jour" de Maria Pourchet.

     

     

     

    lagrace.jpgLa quatrième de couverture :

     

    Maria Cristina Väätonen a seize ans lorsqu’elle quitte la ville de son enfance, une bourgade située dans le grand Nord, entourée de marais et plongée dans la brume la plupart de l’année. Elle laisse derrière elle un père taciturne, une mère bigote et une soeur jalouse, pour s’installer à Santa Monica (Los Angeles). C’est le début des années 70 et des rêves libertaires.

     

    Elle n’a pas encore écrit le roman dans lequel elle réglera ses comptes avec sa famille, et qui la propulsera sur la scène littéraire. Et elle n’est pas encore l’amante de Rafael Claramunt. Séducteur invétéré, cet excentrique a connu son heure de gloire et se consacre désormais à entretenir sa légende d’écrivain nobélisable. Est-il un pygmalion ou un imposteur qui cherche à s’approprier le talent de Maria Cristina ?

     

     

     

    Ma note (sur 20) pour Price Minister : 12. 8/20 pour les 2/3 du roman et 18/20 pour le dernier tiers.

     

     

     

    Mon ressenti : J'ai commencé "La grâce des brigands" quelques jours après l'avoir reçu, mais je n'ai pas vraiment accroché, ni à l'histoire ni aux personnages.

     

    Maria Cristina n'a pas choisi sa famille : un père illettré qui ne dit pas un mot, une mère bigote et hargneuse, une soeur définitivement arrêtée à l'âge mental de 14 ans, vivants dans une maison rose, à Lapérouse, bourgade entourée de brume la plupart du temps. Pour échapper à ses proches Maria-Cristina se plonge dans la lecture, avant de les quitter à 16 ans et d'écrire un livre "La vilaine soeur". A Santa Monica elle va trouver une amie, sa colocataire, Joanne, puis un amant Rafael Claramunt qui use de produits illicites tout comme de jeunes femmes.

     

     

     

    Jusqu'à la page 215 (La haine) il ne se passe pas grand chose et je me suis ennuyée. Puis brusquement tout s'accélère, et surtout Maria-Cristina rencontre deux fois l'amour avec Judy Garland, homme à tout faire de Claramunt, tondu et tatoué et avec son neveu, Peeleete, cinq ans qui ne rêve que de fuir l'abominable "maison rose" avec sa "vilaine tante".

     

    Après une enfance particulièrement pénible, un viol, un entourage de plagiaire et brigand comme Claramunt, Maria-Cristina aurait mérité un peu de bonheur avec les deux hommes avec qui elle était en osmose, Garland et Peeleete, mais Véronique Ovaldé en a décidé autrement... 

     

     


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  • Dans l'hôtel où nous avons dormi 4 nuits à Cape town, nous avons été étonnés de voir à l'accueil un superbe perroquet se promener sur le comptoir...

    J'ai pensé bien sûr au sketch de Fernand Raynaud "Qui c'est ? C'est le plombier..."

    Cet ara là ne parlait pas mais nous a fait bien rire.

     

    Comme nous l'observions, il s'est mis à reculer sur le comptoir, s'est positionné les pattes sur le bord du, comptoir, l'arrière train au dessus du sol et a lâché des excréments. Ni vu ni connu, comptoir tout propre...

     

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    C'est pourquoi ? Combien de nuitées ? Le code wifi ? 20 rands pour toute la durée du séjour...

     

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      Vous avez oublié mon pourboire. Le service n'est pas compris, ici...

     

     

     

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    Helix est un bouchon en liège (microgranulés agglomérés) que l'on peut enlever et remettre à volonté, grâce à un système de filetage de l'intérieur du goulot de la bouteille. Les deux parties sont en parfaite complémentarité et assure,nt l'étanchéité

    Il a été conçu par le leader de l'emballage en verre, l'Américain O-I et le leader du bouchon en liège, le Portugais Amorim.

    Avec Helix plus besoin de tire-bouchon pour déboucher une bouteille de vin : il suffit de dévisser. La bouteille peut se conserver deux ans et ce système ne nécessite aucun équipement particulier sur les chaînes d'embouteillage... Il ne peut être utilisé que pour du vin non effervescent, à boire jeune et pour des bouteilles de 75 cl.

     

     

     

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    photo prise sur le net

    L'invention me parait intéressante pour des utilisateurs avec peu de force, et le nom attribué au bouchon me parait très bien choisi. Mais c'est pour moi surtout un moyen pour les deux industriels de renforcer leur monopole sur ces marchés du bouchon et de l'emballage en verre. Et s'ils arrivaient à imposer ce nouveau système de faire couler leurs concurrents...

    Qu'en pensez vous ?

     

     

     


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  • Le samedi nous sommes partis en direction du Cap de Bonne Espérance, à une cinquantaine de kms de Cape Town. La route côtière offre des points de vue superbes. Nous sommes passés au dessus de la plage de Camps Bay, présentée comme une des plus belles plages du monde dans les guides sur l'Afrique du Sud. J'étais du bon côté dans le bus et j'ai pris des photos à travers les vitres. J'espérais que nous allions nous arrêter mais cela n'a pas été le cas.

     

    Quel dommage !

     

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    En décollant de Cape Town vers Durban, j'ai guetté par le hublot pour essayer de revoir cette belle plage...

     

     

     

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