Pendant mes trois semaines de vacances en juillet, j'ai lu 3 livres, écrits par deux femmes dont j'apprécie les romans.

La 4ème de couverture : L'Enveloppe a valu au jeune romancier Nicolas Kolt un succès international et une notoriété dans laquelle il tend à se complaire. C'est en découvrant la véritable identité de son père et en fouillant jusqu'en Russie dans l'histoire de ses ancêtres qu'il a trouvé la trame de son premier livre. Depuis il peine à fournir un autre best-seller à son éditrice. Trois jours dans un hôtel de luxe sur la côte toscane, en compagnie de la jolie Malvina, devraient l'aider à prendre de la distance avec ses fans. Un week-end tumultueux durant lequel sa vie va basculer...

Mon ressenti : Je n'ai pas eu d'affinités avec les personnages de ce livre. Le héros, Nicolas est imbu de lui-même. Malvina, sa compagne, m'a semblé assez superficielle. Le secret de famille que va découvrir Nicolas va lui permettre de mieux comprendre son père. L'accident du paquebot (référence au naufrage du Concordia) à quelques encablures de l'île où ils passent des vacances, dans les 30 dernières pages du roman, me semble arriver comme "un cheveu sur la soupe".

La 4ème de couverture : Juillet 4968 : Juliette, Martine et Bénédicte quittent Pithiviers pour venir vivre à Paris. 18 ans, des défis plein les poches, une certitude : la vie leur appartient. Mais le monde ne se laissera pas conquérir comme ça. La vie n'est ni un conte de fées, ni un film sur grand écran. Ce roman d'apprentissage raconte les rêves et les appétits de toute une génération.

Mon ressenti : Katherine Pancol donne vie à ses personnages : de jeunes provinciales qui découvrent la vie Parisienne et sont prêtes à tout pour réussir, à la fin des années soixante. Il y a des histoires d'amour, d'amitié, des meurtres, des rêves et des appétits, pas mal de sexe... Ce roman écrit en 1985 par Katherine Pancol, bien avant "Les Yeux jaunes des crocodiles (2006) se lit bien. Je n'ai pas accroché avec les personnages féminins. Quant aux hommes ils sont quasiment tous déplaisants. L'auteur ne doit pas les porter dans son coeur... 

La 4ème de couverture : Elle rêvait d'orages et d'absolu. A 21 ans, Anne est enfermée dans un mariage doré et gaspille ses journées dans des aventures sans passion. Tout l'afflige et l'ennuie. C'est donc ça, la vie ? Un jour un télégramme du Maroc lui annonce la mort de son père. Elle ne sera plus jamais la même.

Mon ressenti : Je n'ai pas aimé ce livre écrit en 1981 par Katherine Pancol. L'héroïne, Anne, a 21 ans et un mari qui l'aime, mais tout l'ennuie. A la mort de son père qu'elle n'a pas revu depuis 13 ans elle part au Maroc, retrouve Serge un ami de son père, chrirurgien, avec qui elle va vivre une passion dévorante. Elle va saccager la vie de Serge et celle de sa femme Alice.

Ces 3 livres sont bien écrits mais ne me laisseront pas un souvenir impérissable, et ne m'auraient pas incitée à lire les autres romans de ces auteurs. 

Pour ce 53ème Café Thé, racontez nous votre plus belle découverte (ou votre meilleur moment) de cet été. Cela peut-être un lieu, une activité, une fleur, un arbre, un animal, une personne, ou autre...

Les consignes : Ecrivez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

Que vous soyez blogueur ou pas, envoyez moi votre participation avant le 31 août 2014 à ecureuilbleu33@live.fr...

Au plaisir de vous lire...

Pour ce 52ème Café Thé, je vous ai proposé de nous raconter pourquoi vous bloguez, ou les petits bonheurs que vous apporte la gestion de votre blog.

Les consignes étaient : Ecrivez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

Vous êtes 7 à avoir participé.

Il s'agit maintenant de voter pour vos 3 participations préférées, en utilisant le module de vote en haut à gauche, jusqu'au 31 août 2014.

Voici les participations :

Participation n° 1 :

Confidences



Pourquoi blogue-je, ah...

Bonne question Brigitte !

Un beau jour ma foi

Les enfants vous quittent...


Il faut meubler à la maison

Le libre temps après corvées

Chacun a ses façons

Etudie la chose et puis l'Idée...


On se lance un matin

En avant la musique

Travaux manuels pour les uns

Pour d'autres artistiques...


Avec trois fois rien

Juste des mots, bienheureuse,

Un blog en guise de calepin

Je remplis les heures creuses...


La plume, l'encre et la muse

Font si bon ménage

Que je m'en amuse

A les mettre en partage...


De défi en défi

Si je suis toujours là

Vos bonjours et mercis

Sont ma motivation à cela...


Pour combien de temps encore

Dieu seul le sait mes amis

Les mots et vous êtes mon or

Autre soleil dans ma vie...

Participation n° 2 :

Les bonheurs du blogueur

Dans le confort de sa demeureA l'abri derrière son ordinateurIl parcourt le monde entier Sans sortir de son quartierC'est un lecteur très baladeurUn grand bavard bateleurIl reçoit la terre entièreSans inquiéter sa banquièreLe quotidien du blogueurC'est de l'humaine chaleurIl partage les émotions Les mots sont sa religion.

Participation n° 3 :

      Car compter est très important ! Regarde cette cartonnette : des points, des fils, des lettres :

Tant de toiles, tant defils font mon bonheur !

Tant de motifs, tant de maîtres sont dans mon coeur !

Regarde cette broderie, cadeau pour Lyvia. Elle en sourit.

Bloguer, oui, oui !

Bloguer n'est que du bonheur !

Le sujet étant broder ! Du bonheur !

Depuis tout temps, je suis une brodeuse.

Auparavant, broderie traditionnelle,

Etait ma devise personnelle !

Dès lors, le point compté,

Soit le point de croix ! Donc compté !

Mon blog = blog d'une brodeuse,

Comme tant de brodeuses !

Tant de modèles, tant de broderies en cours !

Tant de plaisirs toujours et toujours !

Que l'âge ne fasse point de mal aux doigts,

Ni à ce petit cerveau, très important pour moi !

Pour ma fille, rien n'est trop beau !

Brode, brodons, brodez !

Blogue, bloguons, bloguez !

Participation n° 4 :

Comment dire? Comment expliquer? Ce besoin d'ainsi voyager. Ce besoin de prendre des nouvelles d'inconnus que l'on reconnaît. Ce besoin de créer pour distraire, émouvoir ou étonner ses lecteurs. L'une a une plume très intense, l'autre un style humoristique, l'une a un oeil de poète pour photographier notre monde, l'autre a un pinceau de velours pour métamorphoser nos jours. L'une nous abreuve de gentillesse, l'autre a l'imagination fertile. L'une communique son énergie, l'autre stimule la création. Un petit quizz sympathique, un jeu d'écriture stimulant. Comment dire? Comment expliquer? Ce besoin d'ainsi partager ses bonheurs et ses humeurs, ses soupirs et ses soucis. Ce besoin de donner des nouvelles à des inconnus qui nous reconnaissent. 

Participation n° 5 :

Nos blogs sont des magnolias fleuris

visités par nos nombreux amis

D'élégants papillons roses et blancs, 

Brefs préludes à l'éphémère printemps, 

Tournant leur calice vers le ciel 

Pour, dans l'azur, quêter l'éternel, 

Avant de s'étolier et mourir.

Avec un imperceptible sourire. 

Quelque part, ils renaîtront demain, 

Avec au cœur un triste parfum, 

Pour fleurir d'autres jardins secrets, 

De corolles d'émotion et de paix.  

Participation n° 6 :

Lorsqu'en 2012, mon amie Brigitte m'a dit qu'elle écrivait des articles sur internet, j'ignorais ce que pouvait être un blog. Sans expérience informatique c'est en tâtonnant que je parvins petit à petit à lire les articles et déposer des commentaires.

C'est avec plaisir que je vis que ces commentaires suscitaient des réponses que je me mis à guetter car j'avais l'impression que mes écrits ne laissaient pas indifférent.

Puis lorsque je compris qu'en cliquant sur les noms des autres auteurs de commentaires j'arrivais sur leurs blogs, je découvris tout un petit monde de gentillesse, d'humour et d'humanité. Je déposais des petits mots pour donner mon avis sur les articles proposés et me rendis rapidement compte que soit je n'avais jamais la moindre réponse car n'ayant pas de blog on devait me considérer comme étranger à la communauté, donc sans intérêt, soit j'avais toujours un petit mot gentil qui voulait dire je vous ai bien lu.

Je privéligie donc maintenant les blogs où mes réactions suscitent un certain intérêt, et je m'y sens bien. J'ai la sensation d'avoir été en quelque sorte adopté.

  Ce que je trouve particulièrement attrayant c'est la variété de ce que proposent les aminautes. Certains sont émouvants, d'autres très drôles, d'autres encore sont des sources d'information inépuisables. 

J'ai maintenant des amis que j'estime beaucoup plus que virtuels et je suis persuadé qu'il m'en reste encore bon nombre à découvrir.

C'est un réel plaisir, chaque jour, d'entretenir ces relations  amicales auxquelles je n'imagine pas mettre un terme tant elles m'apportent.

Si internet a parfois des côtés pernicieux, les blogs que je fréquente assidûment sont la preuve que cet outil peut également apporter de nombreux petits bonheurs

Participation n° 7 :

Vous avez vu les bébés guépards jouant avec leurs parents, voici quelques portraits réalisés à travers le grillage.

Deux bébés guépards sont nés en mai au Zoo de La Palmyre. Je les ai d'abord aperçus de loin, dans leur enclos, essayant de jouer avec leur père dont ils étaient séparés par un grillage. J'ai supposé que c'était pour les protéger des griffes paternelles.

Ils jouaient ausssi entre eux et avec leur mère...

Superbes peluches craquantes tant qu'ils sont tout petits (moins de deux mois).

Un guépard adulte :

Les bébés guépards et leur père :