• J'ai trouvé ce roman, dans la "bibliothèque solidaire" installée dans le centre commercial Leclerc, sur le principe des boites à livres, et l'ai emprunté pour son auteur, dont j'ai lu la plupart des romans.

    Informations pratiques : Paru en 1999 chez Plon et aux éditions France Loisirs. 410 pages.

    4ème de couverture :

    Henri et Adam, émigrés trente ans plus tôt au bout du monde, prennent le vol Sydney-Paris le 19 décembre 1999. Henri, traité jadis comme un bon à rien par sa famille, avait choisi de fuir en Australie. Il revient en France, déterminé à éblouir ceux qui l'ont piétiné et, en utilisant sa fortune pour les faire souffrir, à prendre sa revanche. Adam, informaticien de haut niveau, a été dépossédé d'un programme qui lui aurait assuré la renommée et l'argent. Lui, il rentre à Paris pour s'offrir un séjour de grand luxe. La ville sera à lui pendant deux semaines. Henri va passer quelques jours dans une ancienne maison à Marly. Adam a réservé dans un palace. Or, à la suite d'un changement de place dans l'avion, leurs destins vont s'entrechoquer. Trois femmes se trouveront mêlées à leur sort. Liz - dix-huit ans, délicieuse et roublarde ; Clotilde - vingt-neuf ans ; Eliane, en pleine reconquête de sa vie à quarante-neuf ans. Rien ne leur résiste, et surtout pas les hommes. Une extraordinaire tension nourrit chaque seconde de ce récit, dont l'action psychologique et physique avance au rythme de notre temps. Ce roman est dédié à tous ceux dont on a pillé l'imagination, volé les idées, parfois même l'honneur, donc la dignité, pour un profit sinon pour un malin plaisir. Pourtant, il arrive de récupérer les objets et les rêves dérobés, si l'on a la chance de vivre plus longtemps que le voleur.

    Mon ressenti :

    Ce roman se déroule dans la seconde quinzaine de décembre 1999, juste avant le passage à l'an 2000.

    Adam Fournier, informaticien talentueux, vivant en Australie depuis 30 ans, s'assoit dans un avion entre Sydney et Paris à côté d'un homme de son âge qui lui ressemble, Henri Moret, homme d'affaires très riche et malhonnête, qui s'est approprié une de ses inventions. Henri boit beaucoup, prend des médicaments, est odieux. Leurs destins vont se trouver mêlés-emmêlés. L'un va mourir laissant à son épouse une assurance vie de 2 millions de dollars. Un détective entêté, Samuel Mann, embauché par la Compagnie d'assurance va tenter de démêler l'affaire et prouver que c'est une escroquerie

    Les personnages sont bien décrits. Il y a du suspense, des histoires de famille et c'est très prenant.

    J'ai été happée jusqu'à la dernière page, et là j'ai cherché -en vain- les pages suivantes, ou au moins l'annonce d'une suite, car ce n'est pas une fin, juste le passage à l'an 2000 à Las Vegas !

    Les personnages sont laissés en vrac, à la belle étoile, et le lecteur est abandonné, sur sa faim, sans savoir ce qu'il va advenir du héros, de son poursuivant et des femmes qui l'entourent.

    En cherchant sur le net, j'ai trouvé que ce roman était sorti l'année d'après, avec le même résumé, sous le titre "Complot de femmes", chez Fayard. Je ne comprends pas ce nouveau titre (ni le premier d'ailleurs). Il y a bien des femmes, roublardes, intéressées, manipulatrices, mais elles ne se connaissaient pas (sauf la mère et la fille) et n'ont rien comploté..

    Si quelqu'un peut m'éclairer...

    Quelques extraits :

    -  Le directeur pensa à sa soeur, une femme assez sévère et d'une vertu inattaquable, et à sa fille, avec ses mèches multicolores, toujours de bonne humeur, chaque année changeant de faculté. Actuellement, elle faisait sa sixième année d'une sixième variante d'histoire de l'art.

    - Bientôt ils se rangèrent près du flanc d'un avion que même un amateur n'aurait pas pris au sérieux. La passerelle n'était pas ajustée à la porte d'entrée de la carlingue, les marches en métal étaient cabossées, un membre d'équipage, assisté d'une hôtesse, semblait étudier, comme un mode d'emploi, un vieux volume dont les pages tenaient à peine ensemble.


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  • Le 1er mars, c'était la journée du Compliment, alors je modifie l'alternance de mon jeu Café Thé entre photo et thème, et propose à nouveau un thème, alors que cela aurait dû être une photo.

     

    Pour ce 167ème Café Thé,  je vous propose de nous raconter dans quelles circonstances,

    vous avez adressé un joli compliment, à un proche ou un inconnu

    ou avez reçu un compliment qui vous a ému (e) et/ou boosté(e).

     

     

    Les consignes : Ecrivez, fabulez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

    Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant la parution des participations (le 2 avril 2024)

     

     

    Que vous soyez blogueur ou pas, envoyez moi votre participation 

    avant le 31 mars 2024 à ecureuilbleu33@live.fr...

    Au plaisir de vous lire...

     

     

    Amusez vous bien !

     

    Logo créé par Renée du blog "Envie de"


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  • Pour ce 166ème Café Thé,

     

     je vous ai proposé d'écrire un bout de fable ou un mini conte à la manière de Jean de La Fontaine ou bien d'illustrer une de ses fables, par tous les moyens à votre convenance : poème, texte, photo, dessin, 

     

    Les consignes étaient : Ecrivez, fabulez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

     

     

    Logo créé par Renée du blog "Envie de"

    Vous êtes 8 à avoir participé (Jill Bill, Rose,

    Renée, Bernie, Bridg, Marine, Colette et Livia)

     

    et je vous en remercie.

     

     

    Bravo à tous et toutes !

     

    "Le vieux Mathusalem" de Jill Bill du blog "Melting-pot" :

     

     

    Sieur Hibou habite un chêne

    Avec sa chouette compagne

    Dame Hulotte sa belle...

    Oh pas n'importe quel chêne

    Planté esseulé en rase campagne...

    Non !! Celui du bois aux tourterelles !

     

    Vénérable vieillard

    Par deux siècles façonné

    Ridé mais coeur lisse d'un sage

    Protège du filou renard

    Le petit peuple ailé

    Qui dans sa ramure lui offre cage...

     

    Tout rusé qu'il est

    Goupil n'a jamais eu à son menu

    Cuisse d'oiseau au doux ramage

    Vieux Mathusalem bien amusé

    Sourit de le voir à son pied aussi têtu...

    Comme chez La Fontaine, en restera au fromage !!

    "Belphégor" de Rose du blog : "Golondrina63" :

     

    Derrière son rideau vieilli par le temps

    Tel Satan monarque du quartier 
    Faisait passer en revue ses voisins enviés 
    Elle jetait éternellement son lance flemme 
    Il lui été aisé d'enrichir sa langue de vipère 
    Sans
    Qu'aucun démon plein d'art et de prudence 
    Villageois à ses frais , soit pour ses mauvaises pensées 
    Premièrement je ne sais pire chose 
    Que comme elle vivre dans son âme empoisonnée
    Secondement si pour une bonne raison 
    Son homme  à son hymen lui fait défaut
    Surtout n'épousez pas d'Honnesta s'il se peut 
    Et de lui dire
    N'est pas pourtant une Honnesta qui veut !
    L'autre peine est à mon avis plus cruelle 
    Aurait-t-elle pu faire durer quelques saints du quartier?
    Son job de scrutatrice lui fit tourner la cervelle
    De tout ce ci je vous laisse inférer ...
     

    Note de Rose :

    Belphégor est la vingt-septième fable du livre XII de Jean de La Fontaine situé dans le troisième et dernier recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1693. Dans les éditions modernes, cette pièce est classée parmi les Contes et nouvelles. L'histoire provient d'un conte de Machiavel

    Belphégor 
    Nouvelle tirée de Machiavel
    Pardon Monsieur  
    C'est à la demande de BRIGITTE 
    Que j'ai emprunté qq passages pour bafouiller
    Dans un village il y en a toujours une pour vous habiller à peu de frais ... 
     
     

    "Prenez garde..." de Renée du blog : "Envie de" :

     

    Pourquoi amasser tant de biens
    Alors qu'il faudrait partager comme de bon chrétiens
    Toujours plus, vous nous prenez pauvres, que nous sommes 
    Pourtant nous ne demandons que peu, pour notre consomme
     
    De votre piédestal vous vous pavanez 
    Devant nous, votre peuple affamé
    Un jour pourtant la roue tourne
    Et c'est vous messieurs, qui mordrez la tourbe
     
    Beaucoup à ce petit jeu ont perdu fortune
    Même la tête pour certains, personnage augustes
    Méfiez vous de ce peuple que vous méprisez
    Bientôt le jour sera, ils vous feront payer! 
     
    N'oubliez surtout pas, que si vous êtes si haut
    Vous pavanant dans de beaux châteaux
    C'est grâce au soutien de tous vos vassaux
    Prenez garde ils n'ont qu'une envie, vous voir maintenant au bas du ruisseau!
     
     
    "Le Chat et le Rossignol..." de Bernie du blog : "Rainfolk's diaries" :
     

    Dans une clairière où dansaient les feuilles,

    Étaient réunis, sans trêve ni cueille,

    Un Chat malin, rusé et plein de verve,

    Et un Rossignol, au plumage d'émerveille.

     

    Le Chat, avec un air de grand maître,

    S'adressa au Rossignol, l'invitant à paraître.

    "Cher ami à la voix mélodieuse,

    Ecrivez avec moi une histoire fabuleuse."

     

    "Rimez nos vers avec art,

    Dessinez des images avec égard.

    Brodez les mots avec finesse,

    Scrappez les idées dans une belle ivresse."

     

    Le Rossignol, joyeux de cette proposition,

    Entama un chant, une douce composition.

    "Chantez l'amitié, l'entraide et la joie,

    Délirez ensemble dans cette belle foi."

     

    Brodez une toile, tissez des rimes

    Ils chantèrent des refrains avec une belle étoile.

    Ils dessinèrent des images dans l'air,

    Scrapèrent des moments à en faire pâlir.

     

    Ainsi naquit une fable à nulle autre pareille,

    Où le Chat et le Rossignol, sans pareil,

    Ecrivirent, fabulèrent, rimèrent, dessinèrent,

    Broderies et scrapbooking, ensemble ils prirent.

     

    Et dans la clairière, le conte s'envola,

    Portant avec lui la magie de ce duo.

    Chantez, délirez, amis du savoir,

    Car les mots ont le pouvoir de toujours bien savoir.

    "Robert, sa meuf et sa berline..." de Bridg du blog :

    "Les divagations de Bridg" :

     

    Robert était si fier

    De sa grosse voiture !

    Il se disait c'est sûr,

    Je serai populaire !

     

    Robert était marié

    A un beau brin de fille.

    Robert est un futé :

    Il aime ce qui scintille.

     

    Et là il est ravi :

    Il les sort aujourd'hui,

    Sa meuf et sa berline,

    Il faut voir comme il frime !

     

    Jour de merde et malchance,  

    Autoroute...imprévu !

    Bande d'arrêt d'urgence,

    Le pneu il est foutu !  

     

    Il est vénère Robert,

    Changer la roue, il sait pas faire !

    Alors il lâche l'affaire,

    Pour sa meuf la galère !

     

    Et sans aucun souci,

    Il reste là, assis,

    Fumant sa cigarette,

    Lui laissant sa charrette.

     

    Vous restez ébahis

    D'une telle situation ?

    Vous l'avez bien compris !

    Robert est un gros con.

     

    Mais l'histoire finit bien

    Car une femme, c'est malin !

    Une fois la roue changée,

    En voiture s'est tirée !

     

    Plantant là son Robert  

    Sur le bord de la route

    Elle file vers un Norbert

    Plus délicat sans doute !

    "Le rat des villes et le rat des champs..." de Marine du blog : 

    "Dans les voiles" :

     

    Cette fois le rat des champs

    Invita le roi de ville

    Sans chichis, près de l'étang

    En un lieu des plus tranquille

     

    Exempt de tout falbala

    De manière fort rustique

    Mais au niveau du tralala

    Il fut piqué par une tique

     

    Ouille ouille ouille

    S'écrie le snob vivement

    Qu'est ce donc qui me chatouille?

    On m'a mordu le fondement !

     

    Je vais vous frotter la morsure

    Avec des feuilles de plantain

    Mais gouttez cette nourriture

    Bien  relevée de brins de thym

     

    Personne ne viendra nous la prendre

    Vous pourrez tout à votre guise

    Digérer comme bon vous semble

    La paix vous est toute acquise!

     

    Sachez qu'en toute circonstance

    Rien ne sert de se vanter

    Chacun dans son existence

    Juste à sa place doit rester

     

    "Grisette et Rougette" de Colette du blog : "En toute simplicité" :

     

    Petite souris grise eut la hardiesse de prendre un tout petit grain tombé de sous le nid de la vieille poule rousse, qui de sa suffisance, y alla de son bruyant cot ! cot ! cot ! Ce qui mit tout le poulailler en alerte. Les autres volailles, en effervescence, battirent des ailes, reprenant en chœur la même ritournelle, de ce bavardage inutile.

    Pendant ce branle-bas de combat, la courageuse Grisette, par son discret passage, profita à plein bord du plaisir d’avaler moult grains, jetés sur le pavé. Audacieusement de son i … i … i … salua respectueusement la Rougette et toute la compagnie, en partance de ce lieu.

    Plus du tout volubile, la vieille poule rousse regagna son perchoir suivi de près de ses congénères aphones.

    "Le logis perdu" de Livia du blog : "Livia augustae"

     

    (Inspiré très librement de la fable  de Jean de La fontaine « Le chat, la belette et le petit lapin »)

     

    Imaginons qu’un jour, comme Jeannot lapin,

    Sortis pour aller nous promener,

    En laissant l’huis, par inadvertance ouvert.

    Nous rentrions le soir venu

    Fourbus et affamés,

    Pour trouver céans des importuns,

    Aussi sournois et rusés que la belette de Jean,

    Ne voulant point, rendre le logis !

     

    Sachant bien qu’aujourd’hui

    En toutes circonstances

    Jamais justice n’est rendu en âme et conscience.

    Que l’on donne toujours raison

    Aux plus indélicats !

    Que pourrions-nous faire alors ?

    Aller chez Gripeminaud cet hypocrite

    Pour nous faire dévorer ?

    Ou combattre avec vaillance

    Et  reprendre de force notre logis ?

    Ce dernier point mérite d'être étudié !


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  • J'ai trouvé cette recette sur You tube

     

    Ingrédients pour 8 muffins :

     

    • 2 pommes
    • 1 tasse de flocons d'avoine
    • quelques amandes (facultatif)
    • 30 ml d'eau
    • 1 cuillère à soupe de vanille liquide ou jus de citron ou jus d'orange

     

    La recette :

    1. Préchauffer le four à 200°
    2. Peler les pommes, enlever le trognon et les couper en petits morceaux
    3. Les mettre dans un mixeur, ajouter 30 ml d'eau et mixer jusqu'à obtenir une compote. La verser dans un saladier
    4. Mixer les flocons d'avoine et les verser dans le saladier
    5. Mixer les amandes et les verser dans le saladier
    6. Rajouter dans le saladier la vanille ou le jus de citron ou d'orange et bien mélanger
    7. Verser la préparation dans des moules à muffins huilés ou beurrés
    8. Enfourner pour 30 minutes : le dessus doit foncer légèrement.

    Je n'ai pas mis les amandes. Ces gâteaux sont croquants et peu sucrés.

     

    Dans une autre version, on peut rajouter1 cuillère à soupe de sirop d'agave, ne transformer qu'une pomme en compote et couper l'autre en tous petits morceaux, remplacer les amandes par 50 g de noix. 

     

    Petits gâteaux pomm'avoine...
    Petits gâteaux pomm'avoine...

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  • Alors que je photographiais un rassemblement d'oies bernaches, près de la jetée, à Arès, sur le Bassin d'Arcachon, certaines se sont envolées pour aller un peu plus loin.

    J'aimerais voler comme elles, au ras de l'eau...

     

    Vous pouvez cliquer sur les photos pour les agrandir et les faire défiler

    Oies bernaches en vol - février 2024...
    Oies bernaches en vol - février 2024...
    Oies bernaches en vol - février 2024...
    Oies bernaches en vol - février 2024...
    Oies bernaches en vol - février 2024...
    Oies bernaches en vol - février 2024...
    Oies bernaches en vol - février 2024...
    Oies bernaches en vol - février 2024...
    Oies bernaches en vol - février 2024...
    Oies bernaches en vol - février 2024...

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