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Pour ce 172ème Café Thé,
je vous ai proposé de broder autour de cette photo, prise en juin à Andernos, dans le centre-ville, près de la Poste :
Vous pouviez nous raconter ce que vous inspire cette photo.
Qu'est-il arrivé à cette grille devant la Cave des vignobles Corporandy ?
Qui a façonné ce coeur et pourquoi ?
Pas de dénonciation mais laissez parler votre imagination...
Les consignes étaient : Ecrivez, fabulez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...
Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant la parution des participations (le 2 septembre 2024)
Vous êtes 6 à avoir participé (Jill Bill, Renée, Jean-Luc, Colette, Livia et Rose)
et je vous en remercie.
Bravo à tous et toutes !
J'ai publié dimanche 1er septembre les 5 premières participations. Voici celle de Rose :
"Nuit étoilée" de Rose du blog : "Golondrina63" :
Mes QQ élucubrations
Quand septembre s'en vient
Les feuilles dorées dansent
Le vent se fait douxLa vie serait simple
Si le monde arrêtait de
Tourner à l'enversTourner à l'envers
Les rêves se perdent en l'air
Le chaos s'invitePortail défoncé,
la voiture file sans freiner
excès de vitesseVoir rouge soudain
Les riverains fustigent
La colère grondeLa voyouserie reste impunie
Qui redressera ce portail
Hélas picorette s'est sauvée
Pourquoi se compliquer
Quand la vie offre douceur
Simplicité d'orJaune d'œuf fondant
Dans la sauce tomate rouge
Douce alchimieQui vole un oeuf
Vole un boeuf ...
6 commentaires -
Pour ce 173ème Café Thé, je vous propose de broder autour du thème de la rentrée scolaire.
Racontez nous une rentrée scolaire qui vous a marqué : une des vôtres, ou bien de vos enfants petits-enfants ou autres, en tant qu'élève, ou que professeur...
Photo prise en 2007 à Carcassonne
Les consignes : Ecrivez, fabulez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...
Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant la parution des participations (le 2 octobre 2024)
Que vous soyez blogueur ou pas, envoyez moi votre participation
avant le 30 septembre 2024 à ecureuilbleu33@live.fr...
Au plaisir de vous lire...
Amusez vous bien !
6 commentaires -
Pour ce 172ème Café Thé,
je vous ai proposé de broder autour de cette photo, prise en juin à Andernos, dans le centre-ville, près de la Poste :
Vous pouviez nous raconter ce que vous inspire cette photo.
Qu'est-il arrivé à cette grille devant la Cave des vignobles Corporandy ?
Qui a façonné ce coeur et pourquoi ?
Pas de dénonciation mais laissez parler votre imagination...
Les consignes étaient : Ecrivez, fabulez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...
Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant la parution des participations (le 2 septembre 2024)
Vous êtes 5 à avoir participé (Jill Bill, Renée, Jean-Luc, Colette et Livia)
et je vous en remercie.
Bravo à tous et toutes !
Voici les 5 participations :
"Le fugueur..." de Jill Bill du blog "Melting-pot" :
Quoi, il s'est encore échappé
Gare au gorille...
Ses propriétaires n'en sont pas maîtres,
Qu'elle idée aussi d'adopter un « sauvage »
En rentrant d'Afrique...
Que voulez-vous, z'ont pas eu d'enfants
Alors, un singe, pouvait faire l'affaire
Tout petit habillé en gamin
Mignon et affectueux...
Adulte une autre paire de manches
A poil et belliqueux !!!
Il a encore fait du dégât
En tordant la grille comme un Hulk !!
Moui et z'avez vu comment, en forme de coeur...
Il doit avoir la maladie d'amour !
Pauvre m'dame Fossey
Là voilà hurlant comme la mère Michel
En quête de son gorille...
Dans le village c'est sauve qui peut !!!!!
Surtout le juge, il a déjà eu affaire à lui dit m'sieur Brassens...
Eh eh, qu'il retire sa robe ou change de métier, hi hi hi...
"La fuite" de Renée du blog : "Envie de"
Pendue derrière la porte je regarde la robe somptueuse, devenue inutile.Tout avait pourtant commencé comme un conte de fée, une rencontre improbable avec cet homme au charme discret à l'élégance folle. D'une famille pourtant respectée depuis aussi loin que je me souvienne dans notre ville.Même si, nous n'étions pas du même milieu, quand il m'a par hasard heurtée en sortant de son pub ma vie a changé.La sienne aussi, il faut croire puisque il m'a, inlassablement poursuivie de long mois avant que, je ne succombe.Folle.... qui y ait cru.J'ai dit oui, les invitations sont parties, tous fut réglé très vite dans les moindres détails. Mes parents se sont *saignés aux quatre veines* bien, qu'il ne voyaient pas cette union d'un bon oeil, ils pensaient *on ne mélange pas les torchons avec les serviettes* Avaient ils tort?Non, nul doute aujourd'hui....Alors que je dormais encore dans la chambre de cette auberge réputée, la Cave des vignobles Corporandy, où devait avoir lieu la réception après, mairie et église, Monsieur a pris peur. Lâchement il s'est enfui comme un voleur sans un mot, sans explications si ce n'est,cet espèce de cœur façonné dans la grille, comme un ultime message.Mais, qui ne veut rien dire....."Le ou la pirate" de Jean-Luc du blog : "LindeparSylvieJL2" :
Le ou la pirate qui à façonné cela, j’espère que ce n’est pas la chanteuse Québécoise « Cœur de pirate »,il faut une sacrée force pour venir déguster les vins locaux, pouvait pas attendre les heures d’ouvertures normales, bon maintenant cela va être plus facile pour stationner devant la sortie du garage."Ce coeur" de Colette du blog : "En toute simplicité" :
ACCIDENT-GRABUGE-CONSTATPhase cachée de L’INCIDENT-ACCIDENT :ROGNURES-ÉCLABOUSSURESQu’a-t-on fait à la grille ?Le bien, le mal se côtoient.Dans la vie, nous tendons à « un idéal »COMPRÉHENSION-COMPASSIONDans la grille, ce cœur nous y convient."Tout est bien qui finit bien" de Livia
du blog : "Livia augustae" :
Il n’avait plus de domicile, il avait tout perdu, sa boîte avait fermé ses portes, il avait perdu son boulot, il avait bien essayé de surnager, il avait cherché et avait frappé à plusieurs portes, chez des personnes qu’il pensait être de ses amis, mais...rien, ils ne l’avaient pas aidé, sa maison était en vente et sa femme exaspérée l’avait quitté, il errait maintenant dans son costume Hugo Boss, sale et fripé, avec pour tout viatique son petit sac à dos et n’avait plus en poche que quelques pièces, son estomac faisait de drôles de gargouillis tant la faim le tenaillait, mais il ne savait pas faire la manche, il faudra qu’il ravale sa fierté s’il ne voulait pas crever comme un rat dans la rue.
Il passa devant le restaurant où jadis il avait sa table et dans lequel les garçons lui faisaient des courbettes, il lorgna les tables aux nappes blanches impeccables et chargées de plats fins et délicats et s’en alla l’échine courbée.
La nuit était tombée, fatigué par sa journée d’errance dans les rues, il s’installa dans un renfoncement et s’endormit, il rêvât qu’il s’attablait devant un foie gras, suivit d’un tournedos Rossini, quand un grand bruit le fit sursauter, c’était les grilles des Caves des vignobles en face qui avaient été complètement démolies, il entendit des voix qui chuchotaient. En se penchant il vit trois hommes cagoulés entrer par les grilles des caves des vignobles qu’ils avaient enfoncées, il rasaient les murs et s’attaquèrent à la porte dont ils firent sauter la serrure et s’infiltrèrent à l’intérieur, il trouva que les grilles défoncées ressemblaient à un coeur...
Il connaissait le propriétaire, mais que faire ? Son téléphone était HS, n’ayant pas pu payer son abonnement, il se glissa hors de son trou et se dirigea vers la place ou il avait repéré une cabine téléphonique, une des rares qui restait en espérant qu’elle fonctionne, il décida de sacrifier une de ses précieuses pièces et appela la police en signalant le vol qui était en train de se perpétrer dans la rue X.
Il retourna dans son renfoncement et attendit que la maréchaussée arrive en priant le ciel que les voleurs ne sachent pas qui les avait dénoncés.
Ce fut très rapide, ils arrivèrent en force cernèrent le bâtiment et quelques uns armés jusqu’aux dents se glissèrent à l’intérieur, après un long moment il vit les policiers sortir avec les trois hommes menottés qu’ils firent monter dans un panier à salade qui démarra en trombe, tandis qu’une Mercedes, s’arrêtait devant les grilles défoncées, et Monsieur X en descendit et alla parlement avec les policiers, il l’entendit demander qui les avait prévenu, les policiers lui répondirent que c’était un SDF, il voulut le voir pour le remercier, mais quand il se retourna, il resta stupéfait…
«Comment c’est vous Bernard ? Je ne rêve pas ! »
«Oui c’est bien moi, Monsieur X, je suis SDF depuis 1 mois, depuis que ma boîte a fermé car je n’ai pas retrouvé de boulot. »
Monsieur X, lui tendit la main, il passa un coup de fil et lui dit : « Venez avec moi Bernard, on va arranger cela.
Il le fit monter dans sa Mercedes et l’emmena à l’hôtel, ou il lui avait retenu une chambre, il lui commanda un dîner et lui promit de revenir le lendemain.
Il se dit qu’il rêvait, car Noël était passé depuis longtemps, il se pinça très fort, mais non il ne rêvait pas, il pourrait se laver et pour une nuit il dormirait dans un bon lit et mangerait à sa faim.
Mais le lendemain, Monsieur X revint comme il l’avait promis avec un costume et lui dit qu’il était engagé dans les Caves vinicoles, il avait besoin d’un directeur, l’ancien allait partir en retraite bientôt et malgré tous les CV qu’il avait reçu, il n’avait encore trouvé personne et comme il connaissait le CV de Bernard, il voulait l’engager et lui dit : «Vous pouvez rester encore ici ce soir, ils sont prévenus, je vous dis, à demain aux Caves !
Son calvaire allait prendre fin !
Quand Monsieur X s’en alla, il se laissa tomber sur le lit et pleura longuement…
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En décembre 2020 j'avais bien apprécié "Avenue des mystères" de John Irving. J'ai d'autres romans de cet auteur dans ma Pile A Lire et je viens d'en sortir un, acheté en 1993.
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Informations pratiques : Premier roman de John Irving, paru aux Editions du "Seuil", en 1991 et en Points en 1993. 411 pages.
La 4ème de couverture :
Siggy et Graff, les deux narrateurs farfelus de ce roman, sont une version moderne de Don Quichotte et Sancho Pança. Seule différence : c?est une énorme moto Royal Enfield 700 cm³ qu'ils sillonnent la campagne autrichienne avec ses jeunes filles aux tresses soyeuses, ses fermières opulentes et riches en souvenirs.
Quant au moulin à vent, c'est le projet exorbitant, qui germe dans leurs cerveaux inventifs, de libérer tous les animaux du zoo de Vienne. Mais derrière les facéties de nos deux loustics se cache une intrigue plus grave, celle qui explore les complexités et bizarreries de l'histoire de l'Europe centrale de ces cinq dernières décennies.
Avec sa richesse, sa vitalité, sa fraîcheur, Liberté pour les ours !, premier roman de John Irving, marque les débuts d'un talent important et éminent original. Il nous livre aussi le regard émerveillé, attendri et déconcerté que posait alors un jeune Américain de vingt-cinq ans sur un coin de la vieille Europe et son destin tour à tour tragique et grotesque.Mon ressenti :
Ce roman est découpé en 3 parties et se déroule en Autriche.
Deux jeunes étudiants, Graff et Siggy, se rencontrent dans un garage autour d'une mto, sur laquelle ils vont partir à l'aventure. Dans la 1ère partie, le narrateur est Graff qui nous raconte leur périple dans le zoo, puis sur la route, en juin 1967. En chemin, ils rencontrent une jeune autrichienne, Gallen, sur laquelle veille une vieille tante, Frau Tratt.
Dans une seconde partie, nous découvrons les carnets de Siggy qui alternent deux périodes ; en juin 1967 et 20 à 30 ans auparavant, pendant la seconde guerre mondiale. Siggy raconte comment il est né, nous parle de sa famille, d'Hilke, sa mère, amoureuse de Zahn Glanz, d'Ernst Watzek-Trummer, éleveur de poulets, ami de son grand-père, qui se déguisera en aigle, de Wut et sa moto de course, moto du Grand Prix, de Vratno, son père. Et il alterne avec son introduction dans le zoo, ses observations et son idée folle de délivrer les animaux,
Dans la troisième partie, Graff est au centre de l'action, partagé entre son désir pour Gallen et son envie de réaliser le rêve de son ami Siggy, découvert dans ses carnets, en libérant les animaux du zoo.
J'ai apprécié les aventures de Graff et Siggy, surtout au zoo, mais la partie historique,des caenets dans le second tiers m'a paru par moment ennuyeuse.
Certains passages sont amusants, d'autres moins.
J'ai mis 3,5 sur 5, sur Babelio (note moyenne sur 475 notes : 3,3/5).
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La Dune du Pilat, plus haute dune d'Europe, se situe en Gironde, sur la commune de La Teste de Buch, au bord du Bassin d'Arcachon. Elle mesure 2,9 km de long, 616 m de large et jusqu'à 110,90 m de haut.
Elle est souvent appelée "Dune du Pyla", du fait de sa proximité avec la station balnéaire "Pyla sur Mer", créée en 1920,, qui la jouxte au nord.
Pilat est dérivé du mot gascon "pilàt" qui signifie "tas".
Mercredi dernier, mon frère et moi avons emmené mes petits-enfants, Alban (9 ans) et Victoire (6 ans) sur ce site.
Il y avait foule pour gravir la Dune. Philippe et les enfants ont grimpé la Dune dans le sable. J'ai choisi d'utiliser l'escalier (160 marches). Il y a du sable sur les marches et j'ai glissé à l'arrivée, me retrouvant assise sur la dernière marche, essoufflée. En haut de la Dune, j'ai retrouvé mon trio. Pas fatigués, les enfants ont voulu descendre jusqu'à l'eau et ont entraîné mon frère.
Je suis restée assise sur la Dune.
Du haut de la Dune, on aperçoit le Banc d'Arguin eu 1er plan et en face, au loin la presqu'île du Cap-Ferret, avec La Pointe et le Phare :
Le Banc d'Arguin :
La Pointe du Cap-Ferret :
Le Phare et l'Océan au loin, avec les dunes océanes :
En se retournant vers l'intérieur, l'on aperçoit la forêt calcinée par les incendies à l'été 2022 :
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