J'ai lu cette information alarmante et plutôt écoeurante dans la rubrique "Insolite'" du journal Sud-Ouest, sous le titre "banquise de gras".

Entre Noël et le premier de l'an, l'équivalent de deux piscines olympiques de graisse de dinde est déversé dans les égoûts londoniens. Les égoutiers plongent chaque jour dans ce magma d'immondices qui leur arrive à la taille et brisent avec des pelles les blocs de graisse qui forment une banquise au-dessus des eaux usées. Figée par le froid, la graisse se mélange aux autres déchets : couches, serviettes hygiéniques, canettes, et s'agglomère en blocs solides dont le plus gros, un monstre de 15 tonnes découvert en 2013 avait la taille d'un bus !

Je suis quand même surprise que les Britanniques n'aient pas encore mis en place dans leur capitale le tri sélectif et jettent dans les égoûts leurs ordures ménagères. Cette histoire de bus et de banquise a des relents de naufrage du Titanic, avec l'odeur en plus...

L'histoire ne dit pas comment sont les égoûts de Paris, de Berlin ou de Madrid après les fêtes...

Je vais éviter la dinde et le chapon, même en rêve, pour ces prochains jours.

Après avoir fini sa journée de travail, Tom rentre chez lui et commence son second boulot : dragueur en ligne professionnel pour autrui. Il emprunte le nom de ses clients -qui le paient pour cela- pour envoyer des messages à des femmes qui se sont inscrites sur des sites de rencontres.

Ce sont bien les photos des clients qui s'affichent mais c'est Tom qui dialogue à leur place, dans le but d'obtenir un rendez-vous.

Il est payé à la rencontre, par le site qui l'emploie netdatingassistant.com, Les clients sont des CSP+ (catégories socio-professionnelles élevées), cadres dirigeants, qui ne savent pas comment s'y prendre ou n'ont pas le temps de séduire en ligne. Tom manie l'humour et sait titiller la curiosité pour discuter et obtenir un rendez-vous.

Avant le rendez-vous, leclient relit plusieurs fois la conversation qui a eu lieu auparavant sur le net...

J'ai découvert ce métier dans un article du journal Sud-Ouest. Les temps sont durs et je comprends qu'un jeune homme, marié et père de famille puisse vouloir arrondir ses fins de mois.

Par contre à la place des femmes qui se font ainsi berner je serais furieuse, et ne laisserais aucune chance au malotru qui a payé pour obtenir un rendez-vous (à condition de m'en apercevoir bien sûr...)

Le sites de rencontres me faisaient pleurer pendant les quelques semaines où je les ai fréquentés. Les hommes qui s'y inscrivent cherchent en majorité des femmes plus jeunes qu'eux, gentilles et jolies, attentionnées... Je n'ai pas vu le côté des hommes. Peut-être que des femmes cherchent aussi des rencontres d'un jour...

Mercredi matin 14 mai j'ai découvert dans ma boite à mails ce surprenant mail d'une dénommée "Laetizia" qui me prédit  : "Brigitte quelque chose de positif va vous arriver"

Vous pouvez imaginer mon large sourire en lisant cette bonne nouvelle...

Mais Laetizia continue : "Brigitte, le 13 mai c'est-à-dire demain, il va se produire quelque chose de très étonnant et vous êtes personnellement concerné"...

C'est dommage parce que le 13 mai c'était hier. A moins qu'elle ne me prédise un retour en arrière, un voyage dans le temps...

Autre problème : ou elle me prend pour un homme ou elle ne connait pas les règles d'accords au féminin car je suis "concernéE" et non "concerné"...

Je sens que d'ici peu elle va me demander mon numéro de carte bancaire, mon cryptogramme et mon code secret... En échange de quoi elle va m'annoncer qu'elle ne sait pas plus que moi ce qui se passera demain, qu'elle ignore ce que j'ai fait de bien hier et qu'il vaut mieux profiter du présent...

Je n'aime pas trop sa dernière proposition : "...je vous offre vos prédictions personnelles, vous n'en reviendrez pas !".

Mais je ne veux pas partir sans retour, ni dans le passé, ni sur Mars.

Désolée, Laetizia, mais votre mail est parti à la corbeille...

Les spams, arnaques, pishings, piratages de boites mails se multiplient sur le net. N'ouvrez pas les mails suspects, ne suivez pas les liens, ne donnez jamais vos codes secrets ou mots de passe, surveillez vos comptes bancaires...

e voudrais bien savoir qui a inventé les phares de la Modus ? Avant de les installer sur cette voiture, cet ingénieur aurait dû essayer de changer -lui-même- l'ampoule.

Depuis que j'ai cette Modus bleu menthe -bien pratique au demeurant- j'ai dû faire changer quatre fois les ampoules de phare qui étaient grillées.

La 1ère fois il a fallu deux heures à un mécanicien Renault. Je suis restée avec lui car je le connaissais et il a réellement passé ce temps-là car il lui a fallu enlever le capot et le pare-chocs, sortir la batterie et tout remettre. Bilan : 99 €

La seconde fois, dans un autre garage, ils ont monté ma voiture sur un banc pour réussir à changer l'ampoule : bilan 1 heure et 75 €.

Jeudi dernier je me suis aperçue que j'avais un phare de grillé et j'ai emmené la voiture dans mon garage. Je suis restée à l'intérieur à discuter avec la femme du garagiste et la comptable, tout en assistant au spectacle qui se déroulait, de l'autre côté de la vitre. Le mécanicien aidé du patron a dû sortir le pare-chocs, sortir le module de phare et a passé une bonne heure pour tout remettre en place. Bilan : 63 €.

Chaque fois je fais changer les deux ampoules (par précaution) et le mécanicien me rend celle qui n'était pas grillée dans sa petite boite. J'en ai donc déjà 3 + la boite de rechange que j'avais achetée... Et je défie quiconque, même un bricoleur, d'arriver à la changer lui-même...

Autre article "Pour changer une ampoule de phare sur une Modus..."

Lundi dernier, à midi j'ai décidé d'aller en voiture, de Bordeaux Lac à la zone commerciale de Mérignac. Lorsque je me suis engagée sur la bretelle d'accès (4b), je me suis rendue compte que la rocade était bouchée. Juste devant moi, une jeune femme a engagé une manoeuvre très dangereuse en faisant demi tour sur cette bretelle, pour reprendre la direction Bordeaux Centre.

J'ai eu beau la klaxonner quand j'ai compris ce qu'elle voulait faire, elle a fait son demi-tour et a pris la bretelle en sens interdit. Une chance qu'elle n'ait causé aucun accident !

Ce genre de comportement me met de mauvaise humeur.

Cet embouteillage était inattendu entre midi et deux. Habituellement la circulation est fluide à cette heure-là. J'ai pensé d'abord à me dégager du bouchon à la sortie suivante et retourner au bureau déjeuner avec les copines. mais très vite la circulation est redevenue fluide et je suis allée jusqu'à Mérignac.

Tous les jours je parcours 110 kms entre mon domicile et mon bureau puis mon bureau et mon domicile. Beaucoup de conducteurs ne respectent pas la vitesse, doublent plusieurs voitures sans visibilité, chevauchant parfois les lignes blanches... La plupart du temps ce sont des hommes, jeunes, dans des grosses voitures...