• Ma critique pour le concours de critiques littéraires de Price Minister : "Sous les couvertures"...

    Comme en 2013, je me suis inscrite au concours Price Minister de Critiques littéraires cette année.

    J'ai reçu mi-novembre le roman choisi "Sous les couvertures" de Bertrand Guillot. 

     

    La 4ème de couverture : Un samedi soir, une librairie de quartier. Comme toutes les nuits, sitôt le rideau tombé, les livres s’éveillent et se racontent leurs histoires… Mais ce soir, l’heure est grave : les nouveautés viennent d’arriver, et les romans du fond de la librairie n’ont plus que quelques jours pour trouver un lecteur !

    Pour sortir par la grande porte, il leur faudra s’unir et prendre la place des best-sellers solidement empilés près de la caisse. Autant dire qu’ils n’ont pratiquement aucune chance…

    Entre roman et conte iconoclaste, Sous les couvertures, quatrième livre de Bertrand Guillot, est une merveille d’humour et d’originalité. Où l'on découvrira, entre autres, à quoi servent les classiques, en quoi les livres ressemblent à leurs auteurs... et pourquoi, à l'habit des académiciens, on a jaouté une épée.

     

    Mon ressenti : Ce livre ne fait que 170 pages mais je me suis arrêtée à la page 96. Je l'ai repris plusieurs fois, je me suis forcée à continuer, d'autant plus que les autres critiques sont dithyrambiques.

    Mais à part la couverture du livre, très colorée, le titre "Sous les couvertures", et le prénom du fils du libraire, je n'ai rien aimé. Ni le style, ni l'histoire.

    Je reconnais l'originalité : des livres qui s'éveillent le week-end, se jalousent et se disputent, comme le feraient leurs auteurs.

    Le vieux libraire a du mal à s'en sortir : les clients désertent son magasin, n'achètent que les best-sellers. Même son fils trentenaire, Aurélien, qui voulait autrefois épouser Fantomette commande en ligne et lit sur sa liseuse. 

    Ces livres qui se disputent, cherchent à se débarrasser des best-sellers, me rappellent les discours des hommes politiques, certains débats télévisés et j'ai un haut-le-coeur à l'idée de reprendre la lecture.

    Une nouvelle sur ce thème aurait été amplement suffisante, 170 pages c'est beaucoup trop...

    Des débats fumeux, des querelles, un livre qui pratique l'onanisme quand il croit les autres endormis... Ce livre m'a enlevé toute envie de lire.

    Comme lorsque vous avez mangé quelque chose qui vous est resté sur l'estomac et que vous ne pouvez plus rien avaler... 

    Au moment de me coucher, je n'avais qu'une envie : me cacher sous les couvertures mais pas du tout envie de me plonger dans les pages de ce livre, ni d'un autre d'ailleurs...

    J'espère guérir bientôt de cette absence de fringale littéraire...

     

    Ma critique 2013 sur "La grâce des brigands" de Véronique Ovaldé.

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  • Commentaires

    1
    Samedi 3 Janvier 2015 à 18:51

    il y a comme cela des livres qu'on n'accroche pas

    2
    Samedi 3 Janvier 2015 à 19:04
    LADY MARIANNE

    ce doit -être vraiment moche car tu es une bonne lectrice !!
    un aspro pour digérer!!  bisous !!

    3
    Samedi 3 Janvier 2015 à 23:27

    bonsoir Brigitte,

    si ce livre ne vaut pas grand-chose,
    ta critique, elle, est géniale !
    unr chose est sûre, je n'ouvrirai pas ce bouquin !
    bonne soirée
    bon dimanche
    bisous

    4
    Dimanche 4 Janvier 2015 à 06:19

    Je te souhaite un bon Dimanche gros zou

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    5
    Dimanche 4 Janvier 2015 à 22:05

    @Lady Marianne et Jean-Marie : les autres blogueurs qui l'ont critiqué pour Price Minister ont été très élogieux...

     

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