• "Les Vingt-quatre Portes du jour et de la nuit" de Christophe Pradeau...

    Merci à Babelio et aux éditions Verdier qui m'ont envoyé ce livre dans le cadre de l'opération Masse Critique. C'était ma première participation. J'avais coché de nombreux livres susceptibles de m'intéresser dont celui-ci.
    Le premier envoi ce roman s'est perdu et ils m'en ont adressé un second.

     

    La 4ème de couverture :

    Les habitants de Constantinople l'appelaient les Vingt-quatre Portes du jour et de la nuit. Ils aimaient le spectacle des automates qui franchissaient là-haut, à l'heure dite, le seuil des niches ouvertes dans le clocher des Saints-Apôtres. L'homme qui lutte contre le sommeil, en ce lundi 18 juillet 2016, sur un banc du square Le Gall, dans le quartier des Gobelins à Paris, est l'une des très rares personnes qui conservent encore aujourd'hui le souvenir de cette horloge, qui fut pourtant l'une des merveilles du monde. Elle est mêlée à son existence plus encore qu'il ne le pense. Il nous invite ici à partager l'aventure d'une journée qui changera le cours de sa vie. Le roman évoque le temps qui nous traverse et les ruses que l'on invente pour domestiquer cette morsure intime, c'est aussi une histoire d'amour, la plus naïve et la plus subtile des ruses que l'homme a inventé d'opposer au temps qui passe.

     

    Mon ressenti :
    J'adore la lecture, mais je n'ai pas pu terminer ce livre. 
    Je viens de m'arrêter à la page 61 (sur 187).
    Dès les premières pages j'ai compris que ce livre n'était pas pour moi . Les phrases font en moyenne 20 lignes, parfois elles se déploient sur toute une page. Il n'y a aucun dialogue, ni histoire ni personnages.
    Ce n'est pas un roman mais un essai sur le temps. Les premiers chapitres parlent du jet-flag (décalage horaire) et de la bataille du méridien.
    J'aurais lu avec plaisir quelques phrases courtes et claires sur ces sujets mais pas 84 pages.
    Lire doit être un plaisir, et là, j'ai l'impression de perdre mon temps, mal à la tête et je me sens nauséeuse car terriblement inculte...

    « Omelette au cèpe ou cèpe à l'oeuf ?Scène de ménage chez les canards... »

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  • Commentaires

    1
    Dimanche 22 Octobre 2017 à 18:24

    ..je pense que j'en aurais fait autant! si dès les 1ères pages je dois faire un trop gros effort de concentration, j'abandonne!

    Bises du soir, Mireille du sablon

      • Mardi 24 Octobre 2017 à 20:47

        Bonsoir Mireille. J'ai fais des efforts mais je n'ai pas pu tenir. Bisous et bonne journée

    2
    Françoise
    Dimanche 22 Octobre 2017 à 22:47

    Bonsoir ,je suis du même avis ,j'aime lire ce qui me plait mais si pas de dialogue mais qu'elle horreur et si une phrase fait  lignes alors pas moi moi non plus 

    Bonne semaine 

      • Mardi 24 Octobre 2017 à 21:09

        Bonsoir Françoise. Pour moi ce n'est pas un roman. Bonne soirée

    3
    Lundi 23 Octobre 2017 à 11:23

    Pas pour moi non plus dans ces conditions , je n'aime pas me prendre la tête quand je lit , ce que j'adore faire en général mais un peu moins depuis que j'ai l'internet ha ha ha .

    Merci de ton passage , gros bisous marseillais sous le soleil et le vent .

    Renée (mamiekéké).

    P.S. Je prépare la suite de notre séjour lyonnais .

    4
    Lundi 23 Octobre 2017 à 16:01

    Salut

    Il y a des livres qui nous donnent l'envie de lire et d'autres.

    Tu es mal tombée cetet fois.

    Bpnne semaine

    5
    Lundi 23 Octobre 2017 à 18:54

    c'est difficile de lire une phrase de 20 lignes. On perd facilement le fil. Comme toi, au bout d'un certain nombre de pages, je lâche ... Bises 

      • Mardi 24 Octobre 2017 à 21:57

        C'est tout à fait ça, Andrée. Quand j'arrivais à la fin de la phrase, il fallait que je la relise. Bisous

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