• En mai dernier, je vous ai montré mes orchidées vandas, juste installées dans le jardin pour l'été, dont deux étaient en fleurs.

    Quatre mois plus tard, elles se portent bien, et l'une est en fleurs.

     

    Ces orchidées poussent sans terre ou substrat. Il faut les accrocher en l'air et plonger les racines dans de l'eau une fois par semaine  et pulvériser les racines chaque jour si possible.

    L'été il est recommandé de les sortir et les suspendre à l'ombre, la différence de température entre la nuit et le jour favorisant la floraison.

    Au fil des années, j'ai constitué une petite collection d'une dizaine de vandas, qui refleurissent régulièrement.

     

    De novembre à avril, je les accroche à un fil dans ma véranda et à la belle saison, de mai à octobre, je les suspends dans le jardin, à mi-ombre.

     

     

    Mes orchidées vandas - août 2020...
    Mes orchidées vandas - août 2020...
    Mes orchidées vandas - août 2020...
    Mes orchidées vandas - août 2020...
    Mes orchidées vandas - août 2020...
    Mes orchidées vandas - août 2020...
    Mes orchidées vandas - août 2020...

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  • Je vous ai déjà parlé de mon intérêt pour les grenades et l'arbre qui les porte, le grenadier.

    Les grenades me rappellent mon enfance, et ma mère qui nous en préparait de temps en temps, détachant patiemment les jolis grains rouges, ou rose nacré et les répartissant dans des coupelles.

     

    Je suis restée longtemps sans en acheter ni en manger, puis j"ai découvert sur des revues et sur le net les vertus de ce fruit, ce qui m'a incitée à en acheter. Et depuis j'en mange régulièrement, le matin mélangé à des céréales et souvent dans mes salades composées.

     

    En 2016 j'ai acheté un grenadier sur tige, en pot, puis un second. Ils ne m'ont donné aucune fleur, et le second a même dépéri. L'année suivante j'ai acheté un grenadier en bonsaï qui portait 6 ou 7 grenades, qui sont arrivées à maturité.

     

    En 2018 j'ai acheté un autre pied de grenadier sur tige, en pot. Il a porté de nombreuses fleurs, dont certaines se sont transformées en grenades, mais toutes sont tombées.  Je l'ai ensuite planté en terre mais depuis il dépérit.

    Fin 2018, j'ai effectué des recherches pour connaître les variétés les plus appropriées au climat et au sol de la région. J'ai commandé plusieurs plants dans une jardineries spécialisée, j'ai mis de l'engrais organique, arrosé. Certains ont porté des fleurs, se transformant parfois en promesse de grenade mais toutes sont tombées.

    En 2019, un seul (de la variété"Qirmiz Qabub", Turquie) a porté une belle grenade d'un joli rouge, et de belle taille.

     

    A l'automne 2019, j'ai planté plusieurs de mes grenadiers : j'en ai actuellement 9 en pleine terre, et une vingtaine en pots. La plupart ont porté des fleurs au printemps, mais presque toutes sont tombées malgré les soins apportés.

    Certains en portent encore :

    Suite de mes expériences avec les grenadiers - août 2020...
    Suite de mes expériences avec les grenadiers - août 2020...

    Mais seulement trois arbres (2 en pot et 1 en terre) portent une grenade en formation comme celle-ci :

    Suite de mes expériences avec les grenadiers - août 2020...

    Je continue à effectuer du bouturage,de pousses apparues au pied de mes pieds adultes, et de jeunes plants se développent peu à peu. 

    Je plante aussi planté des arilles (les petites graines que l'on mange). Elles germent bien, mais porteront-elles des fruits un jour ?

    Depuis le confinement il n'y a quasiment jamais de grenade au rayon fruits exotiques de mes supermarchés...


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  • En 2018, je vous ai parlé du tronçon de mon ancienne glycine que j'avais planté dans un pot et qui m'a offert une première grappe de fleurs en juillet 2018.

    Quand je me suis installée dans la maison où je vis actuellement, il y avait dans le jardin une superbe glycine. Elle a fleuri les premières années et puis s'est desséchée... J'ai été obligée de l'arracher en 2015... Mais avant, lorsqu'elle était au mieux de sa forme des lianes se faufilaient partout et je les avais tronçonnées. Et puis -comme souvent- j'avais planté des tronçons dans des pots emplis de terre et l'un d'eux a poussé.

     

    En mars 2019 j'ai été ravie de voir apparaître sur ce "tronçon" 9 bourgeons-promesses. 

     

    Et cette année, en mars 2020, ce sont une vingtaine de grappes qu'elle m'a offertes.

    Depuis le début de l'année, elle porte des gousses contenant des graines que je récolterai et planterai.

    J'ai été très heureuse, hier, en tondant la pelouse, d'apercevoir 3 nouvelles grappes pas encore ouvertes qui embaument déjà...

     

    Un amour de glycine : seconde floraison août 2020...
    Un amour de glycine : seconde floraison août 2020...
    Un amour de glycine : seconde floraison août 2020...
    Un amour de glycine : seconde floraison août 2020...
    Un amour de glycine : seconde floraison août 2020...
    Un amour de glycine : seconde floraison août 2020...

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  • Quand Squirel est parti au paradis des chats, j'ai décidé de planter un arbre ou un arbuste pour perpétuer son souvenir.

    J'ai choisi un hibiscus, dont les fleurs me rappelleront sa beauté et sa douceur, mais je le garderai en pot, dehors l'été et dans la véranda l'hiver.

    Voici quelques photos de sa première fleur :

    Jolie fleur d'hibiscus, ou rose de Chine...
    Jolie fleur d'hibiscus, ou rose de Chine...
    Jolie fleur d'hibiscus, ou rose de Chine...
    Jolie fleur d'hibiscus, ou rose de Chine...
    Jolie fleur d'hibiscus, ou rose de Chine...
    Jolie fleur d'hibiscus, ou rose de Chine...
    Jolie fleur d'hibiscus, ou rose de Chine...
    Jolie fleur d'hibiscus, ou rose de Chine...

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  • Le botaniste Japonais, Akira Miyawaki, considère que les forêts sont essentielles à la survie de l'humanité.

    Pour lui, multiplier les mini forêts urbaines permettrait d'emprisonner le carbone, lutter contre le réchauffement climatique et régènérer la biodiversité

    Ces petites forêts peuvent être implantées un peu partout. Dans les parcs, les cours d’école ou le long des routes, peu importe. Pourvu qu’elles soient constituées d’arbres autochtones et non d’espèces importées d’ailleurs.

    En privilégiant les arbres dits indigènes, ces forêts pousseraient dix fois plus vite que les forêts conventionnelles (notamment celles qui servent à produire du bois) et, mieux, la biodiversité s’y développerait dix fois plus.

    Il faut donc disposer d'un terrain d'au minimum 100 m², choisir plusieurs espèces qui poussent  dans un rayon de 20 kms et préparer de jeunes plants, amender le terrain, respecter à la plantation une densité de 3 à 5 arbres par m², appliquer un paillage de protection pour imiter l'humus de la forêt, ne pas planter les arbres en alignement ou même en quinconce, mais de manière aléatoire.

    Au bout de 3 ans la mini forêt ne demande plus aucun entretien.

    Sur 6 places de parking on peut ainsi planter jusqu'à 300 arbres.

    De nombreuses expériences sont en cours, un peu partout dans le monde.

     

    Mini forêt urbaine - photo du net

     

    J'adore les arbres depuis toujours, en terre, mais aussi en pot ou en bonsaï. Et je plante des graines, des pépins, je bouture pour les multiplier.

    Dans mon jardin j'ai planté 2 cerisiers, 9 grenadiers... J'hésite encore à planter un citronnier : pour le moment,tous mes agrumes sont en pots plus ou moins grands.


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