• De la presqu'île de La fumée à Fouras (Charente-Maritime), nous avions aperçu au loin Fort-Boyard, avec Aurélien et Céline.

    Avec Julien et Célia, nous sommes allés à Boyardville, sur l'île d'Oléron. La mer offrait des rayures de différents bleus : de prusse, turquoise, émeraude...

    La présence d'un plateau à côté du Fort m'a fait penser à un tournage, peut-être d'une des émissions que je suivais avec les enfants il y a quelques années... 

    Pas de père Fouras en vue...

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  • En arrivant sur l'île d'Oléron, nous avons fait un premier arrêt au village du Château d'Oléron que j'avais déjà visité et dont je gardais un bon souvenir...

    Cette commune de 4000 habitants est située sur la côte sud-est de l'île. C'est un important port ostréïcole du bassin de Marennes-Oléron. Son village de pêcheurs au pied de la citadelle achevée par Vauban est composé de maisons en bois colorées.

     

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    Ici on aime bien le rose bonbon :

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    Certaines de ces maisons de pêcheurs ont été rénovées et abritent désormais des artisans...


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  • Lors de mon séjour à La Rochelle, chez mon fils ainé, nous avons passé une journée sur l'île d'Oléron (Charente-Maritime). Nous souhaitions voir le phare, mais pas le visiter, nos mollets étant encore fatigués par la montée en hat du phare des Baleines sur l'île de Ré.

    Le phare de Chassiron est noir et blanc. Il est entouré d'un très joli jardin.

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    Julien m'a fait découvrir la fonction "panoramique" sur mon appareil photo. Je ne l'avais encore jamais utilisée bien que ce soit très simple et que le résultat soit étonnant (vous pouvez cliquer sur la photo pour l'agrandir).

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    Cette fonction permet d'obtenir uen vision du paysage à 180° et même 360° sur certains appareils : il suffit de sélectionner la fonction et de déplacer l'appareil.

    Seul bémol : pas possible d'utiliser le zoom et la qualité de l'image est réduite.


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  • Lundi j'ai quitté la Vendée pour rejoindre mon fils aîné, Julien, et Céline près de La Rochelle. Nous sommes partis direction l'Ile de Ré. Julien voulait monter au phare des Baleines.

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    L'escalier en colimaçon comporte plus de 200 marches et il y a ensuite un autre escalieren métal pour accéder à la plateforme.

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    Je suis arrivée en haut toute essoufflée et il y avait beaucoup de vent. Le temps était gris, c'est un peu dommage.

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  • Entre 1948 et 1951, en période de pénurie de logements, sous la houlette d'un jeune prêtre ouvrier bordelais (Etienne Damoran), 150 jeunes ouvriers et leurs familles  ont construit 150 maisons individuelles et leurs équipements collectifs (une bibliothèque, une salle de réunion, un atelier, un château d’eau) en trois ans, à Pessac, dans la banlieue Bordelaise. C'était la première cité de castors en France.

    Leur histoire est une belle histoire de lutte pour accéder à un logement tout confort à une époque où tout le monde en manquait : les ouvriers n’avaient pas les moyens d’obtenir un prêt pour financer leurs logements  les banques demandaient d’avancer 25% du capital (cad du terrain et du logement).

    Le collectif d’ouvriers à la tête du mouvement rassemblait les compétences pour mettre en œuvre un tel projet de construction : un maçon, un électricien, un comptable, un dessinateur industriel, un spécialiste des réseaux d’eau, … c’est à dire toutes les compétences nécessaires pour s’autogérer et décider de la façon de traiter les problèmes rencontrés.

    Ce collectif a pris la forme d'un Comité Ouvrier du Logement (COL) avec le statut de coopérative.

    Ce type de société a un capital, mais un capital variable. Il fut donc constitué par des actions que chaque membre devait verser un quart à la souscription. Au début cela correspondait au prix du terrain qui devait être payé dans un delai d’un an. Ce sont ces statuts qui ont permis au collectif des 150 ouvriers et leurs familles d’obtenir un prêt garanti sur leur « apport travail ». C’est à dire que pendant trois ans, les 150 ont consacré 24h de travail par mois (soit tous leurs dimanches) et deux semaines de congés par an à bâtir les 150 maisons et leurs équipements. Une organisation collective a été mise en place pour que chacun participe bien à hauteur des engagements.

    Techniquement, les maisons « autoconstruites » de la cité Castor de Pessac sont « horizontales ». Compte tenu de la surface disponible, il n’était pas nécessaire d’élever les maisons, ce qui aurait induit plus de risques (échafaudages…risques de chantier) et aurait nécessité des compétences plus pointues en construction. Les matériaux utilisés sont aussi importants pour obtenir un logement pas trop cher : ce sont ainsi des maisons avec blocs sans mortier, on utilise du placoplâtre et le linoléum est souvent utilisés.

    La municipalité de l’époque ne voulant pas alimenter le futur quartier en eau courante, les ouvriers ont construit un château d’eau autogéré, encore en fonctionnement aujourd’hui.

    Cette cité des Castors perdure de nos jours et se visite notamment lors des Journées du Patrimoine...

    Source : http://blogs.mediapart.fr/blog/aurelienpere/170412/utopie-et-logements-les-castors-de-pessac

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