• Dans le centre ville de Bordeaux, il y a une rue qui s'appelle "Rue du Palais Gallien", qui part de la rue Fondaudège vers la Place Gambetta.

    Dans cette rue en coupant la rue du Colisée, j'ai été intriguée par des lettres dorées en latin, inscrites sur les marches d'un escalier.

     

    Une plaque bleue donne des explications :

    "Vous êtes ici au centre de l'arène. Tour à tour mystérieuses, antiques, romantiques, les ruines du Palais Gallien ont traversé quinze siècles d'histoire en marge de la ville. Pourtant en 1793, devenues bien national, loties par la ville, Bordeaux décide de détruire les derniers vestiges de la cité Gallo-romaine. 

    Le Palais Gallien résiste.

    Aujourd'hui rendues invisibles à nos yeux, au fond des cours, dans les maisons, au-dessus des toits, de la rue du Docteur Albert Barraud à la rue du palis Gallien, de la rue Fondaudège à la rue Emile Fourcand, ses murs émergent, héroïques"

    Les ruines du Palais Gallien...

    Les ruines du Palais Gallien...

    Les ruines du Palais Gallien...

     

    Puis j'ai aperçu les ruines du Palais Gallien et me suis approchée.

     

    Selon wikipédia : Le Palais Gallien a subi de graves mutilations au fil des siècles. Il ne reste aujourd'hui que peu de choses du grand amphithéâtre d'origine dont la majeure partie de l'assiette est aujourd'hui recouverte de maisons d'habitation. Seules, quelques travées et arcades, enserrées dans le tissu urbain sont encore visibles. Une partie bien dégagée du monument apparaît depuis les rues du Docteur Albert-Barraud, Émile-Fourcand, du Colisée, ou du Palais Gallien. Elle montre l'arrondi du mur extérieur, avec une élévation en arcade sur trois niveaux et une belle technique de construction alternant briques et pierres. Les vues aériennes permettent de visualiser une bonne partie de l'ellipse originelle, encore épousée par certaines maisons actuelles.

    Pour en savoir plus, cliquez ICI

    Les ruines du Palais Gallien...

     

    Les ruines du Palais Gallien...

     

     

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  • J'ai aperçu des bateaux au loin, qui se détachaient sur un fond rose. Un chalutier finissait de remonter ses filets, entourés de mouettes et goëlands et près de lui naviguait un voilier, vent arrière. Le voilier a baissé les voiles pour entrer au port, et le chalutier a relevé ses filets... Un autre voilier est apparu...

    Je n'ai pas trouvé les pierres recherchées mais j'ai passé un bon moment à observer la mer et suivre ces bateaux des yeux...

    Promenade aux Sables d'Olonne le 23 décembre 2014 (2/2)...

    Promenade aux Sables d'Olonne le 23 décembre 2014 (2/2)...

    Promenade aux Sables d'Olonne le 23 décembre 2014 (2/2)...


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  • Avant de rejoindre mon fils Aurélien et sa famille en Vendée, j'ai eu envie de me balader sur la côte Vendéenne. A vrai dire j'aurais aimé trouver les pierres trouées dont avait parlé mon aminaute Martine sur son blog "La belle pironnière", pierres trouées par des coquillages. J'ai été facilement aux Sables d'Olonne, suis passée près du port, n'ai pas pu m'arrêter car il y avait du monde partout. J'ai cherché la plage sans la trouver.

     

    A force de tourner je me suis retrouvée à Olonne, puis sur la Côte sauvage. C'était très beau : le ciel était gris avec une frange rose orangé au-dessus de la mer qui se cassait sur les rochers.

    Promenade aux Sables d'Olonne le 23 décembre 2014 (1/2)...

     

    Promenade aux Sables d'Olonne le 23 décembre 2014 (1/2)...

    Promenade aux Sables d'Olonne le 23 décembre 2014 (1/2)...

    Promenade aux Sables d'Olonne le 23 décembre 2014 (1/2)...

    Au loin il y avait un phare ancien, ressemblant un peu au phare de Cordouan, et sur le bord de la côte un phare plus moderne...

    Promenade aux Sables d'Olonne le 23 décembre 2014 (1/2)...


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  • Comme souvent c'est en lisant la presse régionale, le journal Sud-Ouest, que j'ai découvert l'existence de "Whisperies, fabrique d'histoires pour enfants".

    Quatre jeunes parents vivant en Auvergne (Adeline fradet et Vincent Boyssou), en Normandie (Gregory Babonaux) et à Cenon, près de Bordeaux (David Cadusseau) viennent de lancer Whisperies, plateforme collaborative permettant :

    - aux parents de trouver des contes et récits inédits, leur permettant ainsi de renouveler leur stock d'histoires à raconter à leurs enfants

    - aux amateurs, écrivains et/ou illustrateurs, désireux de créer leur propre albumjeunesse en ligne.

    Les auteurs et illustrateurs disposent d'outils : décors de fond, objets, personnages,peuvent intégrer textes, images, sons (bientôt de la voix)et d'un espace d'échange pour trouver un co-auteur. 

    Avant d'être mis en ligne les livres créés sont validés, relus, corrigés par l'équipe de Whisperies.

    Si le livre est téléchargé plus de 10 fois sa consultation devient payante pour le lecteur et l'auteur reçoit des crédits (30 % des droits).

    Plus le livre est téléchargé, plus son prix monte et plus l'auteur reçoit de crédits. 

    Whisperies garde l'exclusivité des créations pendant 10 mois. Les meilleurs auteurs pourront ensuite être publiés en format papier...

    Je m'y suis inscrite : le site est très bien fait.

    Des auteurs cherchent des illustrateurs : avis aux amateurs !

    Le site : http://www.whisperies.com

    Leur présentation : Whisperies est une plate-forme collaborative permettant à ses utilisateurs de créer, de publier facilement et gratuitement des histoires numériques pour enfants sans aucune connaissance informatique. Avec le concepteur d’histoires, quelques minutes suffisent pour ajouter ses images, intégrer ses textes ou créer sa propre animation et enfin lire son histoire interactive sur tablette. 
    Quel que soit le style, il y a de la place pour tous les talents et toutes les fantaisies sur Whisperies. Les parents et les enfants lisent les histoires et donnent leur avis pour guider les autres lecteurs dans la découverte des histoires du site. Les meilleures histoires seront ensuite adaptées pour être imprimées.

    Leur objectif : Etre un tremplin pour de nouveaux talents dans l'édition jeunesse.


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  • Après ma mésaventure avec la télévision, la prise électrique et l'ascenseur , j'ai assisté le lendemain matin, à l'Athénée municipal à Bordeaux, au 1er Forum sur la Mixité, organisé par l'association LConnect.

    LConnect regroupe des femmes "souhaitant s'impliquer dans la vie économique" de la ville. Au travers de multiples conférences, rencontres et témoignages, le publica été invité à réfléchir sur la relation entre la mixité et la performance dans le monde du travail, avec le numérique comme nouveau centre d'intérêt. 

    Sa présidente, une des fondatrices Wanda Laurent annonçait le programme : "La co-création, la création d'entreprise, l'innovation énergétique et les outils collaboratifs seront autant de thèmes abordés lors de cette première édition, dans un but avoué de rendre les femmes plus conscientes de leurs atouts professionnels : "les femmes tendent à réussir la conciliation entre vie professionnelle et privée. Nous voulons que ce soit elles, parce qu'elles sont mobiles, maléables et moins figées dans des archétypes, qui soient porteuses du changement".

    J'ai assisté à la conférence du matin "La mixité dans tous ses états". Les interventions étaient de qualité et l'ambiance chaleureuse. Des femmes et des hommes ont parlé de la richesse apportée par la complémentarité hommes-femmes. Une femme, maman de 6 enfants, gardienne de prison à Gradignan et conseillère municipale au Bouscat, dans la banlieue Bordelaise nous a démontré que tous les métiers ont accessibles aux femmes, qu'il suffit d'oser.

    Divers ateliers gratuits étaient proposés après la conférence, mais le nombre de places était limité et quand je me suis inscrite je ne pouvais choisir qu'entre deux "Création d'entreprise" ou "pitch elevator".

    J'ai choisi le second dont le nom m'a interpellée. 

    Il s'agit en fait de "se lancer dans un ascenseur", de se présenter en quelques mots en prenant l'ascenseur avec un des dirigeants de son entreprise ou une personne influente, ou lors d'un cocktail, pour mettre en valeur ses compétences et susciter son intérêt.

    L'animatrice de cet atelier était une des co-fondatrices de Lconnect, Alexandra André-Nelken, jeune femme pétillante, directrice régionale de Booster Academy. En quelques secondes elle nous a présenté sa société et les services proposés. Puis nous avons chacun réfléchi et rédigé une présentation en quelques points clé. Quelques volontaires ont présenté leur "pitch elevator", transmettant enthousiasme et donnant envie de les contacter.

    J'ai préparé le mien, pour présenter mon blog mais l'atelier s'est terminé avant que je n'ai pu me lancer à mon tour.

    A vrai dire j'aurais aussi pu préparer un argumentaire sur mes capacités à couper les fils électriques...


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