• Ecureuille, ma chatte, est née le 22 août 2010. Elle aura donc 11 ans dans deux mois, mais 11 ans pour un chat, cela équivaut à 60 ans pour un humain.

    En 2022, elle aura 12 ans, ce qui équivaut à mes 64 ans.

    En février 2023, elle aura 65 ans-homme , tout comme moi... 

    Quand elle dort, elle met sa patte sur ses yeux, et elle dort beaucoup, mais dès qu'il fait jour, vers 5h30 le matin, elle veut sortir, miaule, me touche pour voir si je dors...

     

    Mon chat a presque le même âge que moi...
    Mon chat a presque le même âge que moi...
    Mon chat a presque le même âge que moi...
    Mon chat a presque le même âge que moi...

    Source : Futura-sciences


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  • Hier, j'ai regardé sur France 5 une pièce de théâtre, interprétée par Patrick Timsit, d'après le livre d'Albert Cohen, sur une mise en scène de Dominique Pitoiset.

    Le synopsis, résumé du livre :

    Ce livre bouleversant est l'évocation d'une femme à la fois "quotidienne" et sublime, une mère, aujourd'hui morte, qui n'a vécu que pour son fils et par son fils.
    Ce livre d'un fils est aussi le livre de tous les fils. Chacun de nous y reconnaîtra sa propre mère, sainte sentinelle, courage et bonté, chaleur et regard d'amour.
    Et tout fils pleurant sa mère disparue y retrouvera les reproches qu'il s'adresse à lui-même lorsqu'il pense à telle circonstance où il s'est montré ingrat, indifférent ou incompréhensif. Regrets ou remords toujours tardifs. "Aucun fils ne sait vraiment que sa mère mourra et tous les fils se fâchent et s'impatientent contre leurs mères, les fous si tôt punis."

    Mon ressenti :

    Le comédien surprend en oubliant son côté humoriste, pour nous parler d'amour d'un fils pour sa mère, décédée.

    Les mots douloureux d’Albert Cohen deviennent une ode à toutes les mères du monde, et c'est bienvenu à quelques jours de la Fête des Mères..

    Comment exprimer le manque, l'absence de celle qui a veillé nuit et jour sur nous, qui parfois nous a insupporté, à qui l'on a fait de la peine et pas forcément dit tout l'amour qu'on avait pour elle ?

    C'est émouvant et touchant parce qu'il y a un peu de nous, dans cette mère et dans son enfant.

    Patrick Timsit m'a fait frissonner et émue jusqu'aux larmes avec les mots d'Albert Cohen, qui pourraient être aussi les siens, ou les miens, ou ceux de mes fils (plus tard, après ma mort).

     

    Merci Patrick Timsit et Albert Cohen pour ce bel hommage à toutes les mères !

    Je vais acheter le livre.

    Quelques extraits :

    - Mais les fils ne savent pas que leurs mères sont mortelles...

    Fils des mères encore vivantes, n’oubliez plus que vos mères sont mortelles. Je n’aurai pas écrit en vain, si l’un de vous,après avoir lu mon chant de mort, est plus doux avec sa mère, un soir, à cause de moi et de ma mère. Soyez doux chaque jour avec votre mère. Aimez-la mieux que je n’ai su aimer ma mère. Que chaque jour vous lui apportiez une joie, c’est ce que je vous dis du droit de mon regret, gravement du haut de mon deuil.

    - Mères, vous vous laissez embobiner par vos fils adolescents.."

    - Fini, fini, plus de Maman, jamais. Nous sommes bien seuls tous les deux, toi dans ta terre, moi dans ma chambre. Moi, un peu mort parmi les vivants, toi, un peu vivante parmi les morts.

    Edentés ou non, forts ou faibles, jeunes ou vieux, nos mères nous aiment. Et plus nous sommes faibles et plus elles nous aiment. Amour de nos mères, à nul autre pareil

    - Combien nous pouvons faire souffrir ceux qui nous aiment et quel affreux pouvoir de mal nous avons sur eux.


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  • Des nouvelles d'Ecureuille - octobre 2020...

    Ecureuille, ma chatte, a apprécié les caresses prodiguées par Alban, pendant son séjour ici.

    Ayant lui aussi une chatte, baptisée Cerise, il sait comment la caresser, sous le menton ou derrière les oreilles.

    Cerise, en 2015

    Cerise, en 2015


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  • Il y a tout juste deux mois, Squirel est parti au paradis des chats, après s'être trop gratté au cou. Depuis, sa soeur, Ecureuille, ne me quitte pas beaucoup. Nous nous auto-consolons mutuellement.

    Elle fait la sieste à côté de moi lorsque je blogue, sur le canapé, et dès que je me lève, elle se ;love à ma place :

    Des nouvelles d'Ecureuille _ août 2020...
    Des nouvelles d'Ecureuille _ août 2020...

    Elle est très câline, grimpe souvent sur mes genoux, mais déteste que je la prenne dans les bras, contrairement à Squirel qui adorait ça.

    Des nouvelles d'Ecureuille _ août 2020...
    Des nouvelles d'Ecureuille _ août 2020...
    Des nouvelles d'Ecureuille _ août 2020...
    Des nouvelles d'Ecureuille _ août 2020...
    Des nouvelles d'Ecureuille _ août 2020...
    Des nouvelles d'Ecureuille _ août 2020...
    Des nouvelles d'Ecureuille _ août 2020...

    Sur la dernière photo, vous pouvez voir le livre que je lis : "Sa majesté des chats" de Bernard Werber.

    Et un selfie :

    Des nouvelles d'Ecureuille _ août 2020...

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  • Il y a tout juste un mois, Squirel est parti au paradis des chats, après s'être trop gratté au cou. Depuis, sa soeur, Ecureuille, ne me quitte pas beaucoup. Nous nous auto-consolons mutuellement.

    Plusieurs aminautes ont rendu un gentil hommage à mon gentil Doudou (son diminutif) : Dani du blog "Les chats de bocage", Chat des îles, et Gisèle du blog "Autobiographie". Merci à elles !

    Voici quelques bons moments avec Squirel, pendant les presque 10 ans passés ensemble...

    Squirel était un "chat volant" entre l'horloge comtoise et la mezzanine :

     

    Parfois c'était un chat-pardeur :

     

    C'était un chat-câlin :

     

    Quelque fois, c'était un chat-dort :

     

    C'était un chat rêveur :

     

    Et aussi un chat joueur :

     

    C'était un amour de chat...


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