• J'ai découvert ce quartier très coloré et sa belle histoire, sur le site positivr.fr. Puis j'ai trouvé d'autres informations sur le site lavieduriz.com.

    En 1949, Chiang Kaï Shek et son parti nationaliste chinois décidèrent de se retirer à Taïwan. Plusieurs villages militaires temporaires furent construits autour de « l’île Formose » pour pouvoir accueillir les milliers de soldats et leurs familles. Comme par la suite Chiang Kaï Shek n’a pas pu repartir en Chine, ces logements temporaires sont devenus, avec le temps, des petits quartiers résidentiels.
    Malheureusement, au fil des années, ces logements ayant été construits rapidement à l’époque, avec des matériaux de mauvaise qualité et les habitants y vivant vieillissants, ces petits villages se transformèrent petit à petit en bidonville.
    Le gouvernement y vit alors une opportunité de réaménager ces territoires pour y construire de nouveaux immeubles. C’est donc ainsi qu’une destruction massive des villages fut mise en place, en 2008, proposant aux anciens habitants un nouvel appartement décent ou une certaine somme d’argent pour vivre. 

     

    C'était compter sans un vieux monsieur de 84 ans, Huang Yung-Fu, ancien militaire, et seul habitant du village de Cailhongjuan, qui ne voulait pas partir, habitant là depuis 60 ans. Armé de pinceaux et de couleurs vives, il se mit à tout repeindre : murs, portes, sol, avec des dessins très colorés : chats, personnages, fleurs, oiseaux...

    Les étudiants d'une université voisine intervinrent auprès du gouvernement pour soutenir le vieux monsieur et sauver ce lieu devenu artistique.

    Sur les 1 200 maisons du départ il n'en reste plus que 11, toutes colorées, et le quartier attire aujourd'hui les touristes...

     

     

     

     

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  • En me baladant sur le net, à la recherche de bonnes nouvelles, j'ai découvert cette belle citation attribuée à Steve Mataboli (ou Steve Maraboli selon les sites) :

    "Je trouve que la meilleure façon d'aimer quelqu'un, n'est pas de le changer, mais plutôt de l'aider à révéler la plus belle version de lui-même".

     

    Cette jolie phrase correspond bien au métier que j'aurais aimé exercer : "puiseur de merveilles", et dont j'avais parlé ici en 2009 et 2010. 

     

    J'aimerais être "puiseur de merveilles", révéleur de talents cachés, celui ou celle qui sait trouver ce qu'il y a de mieux en chacun et l'aider à éclore.
    Pour un ce sera : écrire un poème, pour l'autre : faire rire ses amis, pour le 3ème : tailler un rosier ou jouer un morceau de musique, allumer un barbecue ou toiletter un chien, sculpter, dessiner, tricoter, réciter, sauter, danser, jouer au basket, distraire les enfants malades, assister des personnes âgées, commenter des événements sportifs, cuisiner, transmettre ses souvenirs ou des savoirs, écouter...

    Au temps de la photo noir et blanc, il y a 40 ans, développer et tirer ses photos soi-même, dans une pièce noire, avec une lampe infrarouge, était un moment magique. C'est mon père qui nous a initiés, mon frère et moi, quand nous avions 8-9 ans, dans un cagibi sous l'escalier. Le négatif était glissé dans un agrandisseur sur lequel on exposait le papier pendant quelques secondes, puis le papier était plongé dans un bain de révélateur (avant de l'être dans un bain de fixateur). Peu à peu la photo apparaissait sur le papier et ces moments étaient vraiment merveilleux. J'aimerais être ce révélateur...


    Le métier de "puiseur de merveilles" ne s'apprend ni à l'école, ni à l'université. Seules l'expérience et l'ouverture d'esprit que l'on peut acquérir en lisant et échangeant avec les autres, en écoutant (au lieu de simplement entendre), en prenant le temps de tendre la main et de remercier ceux qui vous ont aidés, devraient permettre d'acquérir les savoirs-faire et savoirs-être de ce métier.
     

    Même si c'est le métier que j'aimerais exercer (bien différent de mon métier réel), je suis bien loin du compte et n'ai pas réalisé beaucoup d'exploits dans ce domaine, même avec mes enfants ou ma famille.

    J'ai juste réussi au début de ma carrière professionnelle à faire reconnaître par nos pairs deux jeunes hommes qui passaient jusque-là pour des "petites mains" (reconnaître mais ils ne sont pas devenus non plus directeurs ou présidents), et puis il y cinq ans réussi à remotiver un ami de mon fils qui passait le bac et pensait avoir raté l'épreuve principale pour aller jusqu'au bout (il a eu le bac sans repêchage, et par la suite continué ses études et obtenu un BTS)... C'est bien peu...
    C'est sans doute aussi égoïste car si un maximum de gens se sentaient bien dans leur tête, bien à leur place, par ricochet je m'y sentirais mieux aussi...
    P.S. : s'il y a parmi vous un(e) "puiseur de merveilles" en puissance : qu'il vienne me repêcher dans le bain de révélateur...

    P.P.S. : et s'il y en a un sur La Rochelle : qu'il aide mon fils aîné, papa de deux jeunes enfants, à se reconvertir dans un métier correspondant à ses envies et ses compétences, pour ne plus travailler la nuit et les jours fériés 

    Hamster ninja pris sur le net


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  • Cette belle histoire s'est déroulée en janvier, à Pessac dans la banlieue Bordelaise.

    Claude Moreau, boucher avenue Jean-Jaurès, servait une cliente lorsqu'il a été alerté par la vue d'un type avec un casque sur la tête, sans scooter ni moto à proximité. Il s'est dit : "Il prépare un mauvais coup".

    Il l'a vu mettre des coups de tête avec son casque à quelqu'un qui déposait des espèces à la banque. Il a alors abandonné sa boucherie et ses clients, traversé la rue et fondu sur l'agresseur. Il a immobilisé au sol le truand de 1,94m permettant ainsi à la victime, boulanger pessacais, de se relever.

    Les policiers municipaux et les policiers, alertés par des témoins n'ont plus eu qu'à arrêter le malfaiteur.

    Le boucher courageux a été chaleureusement félicité par ses clientes et par le maire de Pessac.


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  •  

    Mercredi 19 novembre j'ai décidé de basculer sur la nouvelle plateforme d'Overblog, Kiwi, sur mon blog principal :

         

    www.unebonnenouvelleparjour.com

    avant que cette bascule ne soit automatique ce qui ne saurait tarder.

    J'ai reçu un message me disant que ma demande avait été prise en compte et que je retrouverai sous la nouvelle version tous mes articles et commentaires. Un mail doit me prévenir lorsque tout sera fait.

    Mais voilà : c'était il y a deux jours maintenant et depuis je n'ai plus accès à l'administration du blog.

    Depuis l'ouverture de mon blog en avril 2009, j'ai publié tous les jours une bonne nouvelle, souvent en programmant mes articles à l'avance... C'est la première fois que je suis ainsi bloquée...

    Je ne veux pas perdre l'ancienneté du blog, ni son référencement et encore moins mes 2 300 articles ou les 58 000 commentaires. C'est pour cela que j'ai choisi de rester sur Overblog malgré les changements qui me déplaisent, notamment la disparition des communautés...

    D'après Kinou, modérateur sur le forum qui va bientôt disparaître lui aussi, cette lenteur de transfert provient d'une panne de serveurs (qui a empêché l'accès aux blogs OB mardi dernier). Il me faut donc patienter...

    Mon blog flotte entre les deux versions, et je ne peux rien faire...


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  • Depuis plusieurs années j'ai dans ma boite mails professionnelle ce que j'appelle une "boite à bravos", un répertoire où je stocke les félicitations ou remerciements reçus. 

    Travaillant dans une fonction support, au marketing, je suis en contact avec le réseau commercial de mon entreprise. Je sers de hot-line sur des dossiers un peu compliqués et j'effectue pour mes "clients" des recherches. Parfois certains me remercient généreusement.

    Quand l'article sur la messagère anticrise est paru dans le journal Sud-Ouest, j'ai également reçu quelques félicitations que j'ai stockées dans ma boite à bravos.

    Quand ça ne va pas au bureau, que la pression devient trop forte, que je me sens nulle, que je doute de mes capacités ou compétences, que je me demande ce que je fais encore là j'ouvre ma boite à bravos et je lis quelques mails.

    Cela me permet en général de relativiser, retrouver la motivation et repartir d'un bon pied...

    Je vous invite à vous créer aussi ce genre de boite à petits bonheurs...


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