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Je vous ai montré l'extérieur de la cathédrale Notre-Damr=e de l'Assomption de Rodez, dans l'Aveyron, ses gargouilles et l'intérieur.
Voici les vitraux, de différents maîtres d'oeuvres, et différentes époques .
Des vitraux classiques, dont les premiers datent de 1460 :
Des vitraux plus récents :
Des vitraux contemporains commandés en 2002 à l'artiste Stéphane Belzère :
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La chaire du choeur :
L'orgue est superbe :
J'ai bien apprécié la tribune du choeur de la paroisse, derrière le maître-autel, surmontée par une rose occidentale :
Les vitraux sont superbes et feront l'objet d'un autre article.
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Je vous ai montré l'extérieur en grès rose, assez massif.
J'ai admiré de nombreuses gargouilles.
Plusieurs de ces gargouilles tirent la langue, comme mes petits-enfants lorsqu'ils font un concours de grimaces...
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Nous nous étions arrêtés à Rodez, Préfecture de l'Aveyron, pour visiter la cathédrale.
Après avoir visité l'église du Sacré-Coeur, nous avons donc continué vers la cathédrale.
Notre-Dame de l'Assomption a été construite entre le XIIIème et le XVIème siècle.
De style gothique, elle a été bâtie en grès rose et a des allures de forteresse, gardée par de nombreuses gargouilles.
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Planté il y a au moins 35 ans, le grand chêne du jardin était très beau, malgré quelques branches attaquées par des capricornes, et je vous en parlais souvent...
Le voici, un soir de janvier 2018 :
Photo prise un soir de janvier 2018...Certains soirs plus ensoleillés que d'autres
Le chêne se découpe sur l'horizon.
Majestueux, il occupe l'espace
Se déploie, se déplie,
Se prépare en silence
A l'arrivée du printemps.
Il prend tout son temps...
Le jardinier professionnel venu tailler ma haie m'a conseillé de faire élaguer les branches mortes et m'a envoyé un élagueur qui a coupé beaucoup de branches, en février 2018.
Quelques branchettes sont apparues au printemps suivant mais ont séché. Des "soi-disant jardiniers" en camionnette blanche ont commencé à sonner à ma porte pour me proposer d'abattre mon chêne mort. J'ai refusé mais pris conscience qu'il y avait un problème.
En janvier 2019, le même jardinier professionnel est revenu tailler ma haie, "Le chêne a souffert mais n'est peut-être pas mort. Il faut attendre encore quelques mois pour voir s'il va repartir ou pas", m'a-t'il dit...
En avril dernier, je m'interrogeais ici pour savoir si mon chêne était mort.
Hélas, le printemps et l'été sont passés et aucune pousse n'est apparue, l'écorce a commencé à se détacher. J'ai contacté un élagueur professionnel pour le faire abattre craignant qu'une forte bourrasque de vent le précipite un jour sur la toiture de la maison.
Voilà comment il était vendredi 25, avant :
Et après :
Les élagueurs l'ont tronçonné avant de l'abattre avec une corde. Ils ont empli entièrement la remorque de leur camionnette avec branches et tronçons.
Ensuite ils l'ont dessouché avec une machine spéciale et ont replanté juste à côté, à ma demande, l'un de mes grenadiers, le plus gros, celui que j'avais ramené d'une pépinière dans ma clio...
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