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    Il y a longtemps que je ne vous ai pas parlé de mes chers chats, Ecureuille et Squirel.

    Ils ont 8 ans 1/2 et sont très câlins.

     

    Ecureuille  aime s'installer sur mes genoux quand je blogue ou je tricote, et sur mes pieds lorsque je dors, ou juste à côté, sur le couvre-lit. Elle sort le matin dans le jardin, sans doute pour chasser car elle revient parfois avec un mulot.

     

    Elle utilise parfois ma main comme gant de toilette, me la léchant puis se frottant le cou ou le ventre dessus. Elle est très douce mais tient à son indépendance.

     

    Cherchez mes chers chats...
    Cherchez mes chers chats...

    Son frère, Squirel, a toujours des plaies autour du cou et sur le dos, en train de sécher.

    Je lui ai mis autour du cou une collerette en plastique rigide, puis un col roulé, des tronçons de chaussettes, une collerette en tissu pour l'empêcher de se gratter.

    Il y a 2 ou 3 mois, j'ai découvert chez Gifi un manteau pour chien, taille S, qui lui va très bien, se ferme par scratchs autour du ventre et autour du cou .

    Il se déplace sans problème, court et saute et a plus de mal à gratter ses plaies.

     

    Squirel aime aussi ronronner sur mes genoux, et surtout il adore être dans mes bras, comme un bébé. Il appuie sa tête sur mon épaule gauche, jamais la droite...

    Cherchez mes chers chats...
    Cherchez mes chers chats...

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  • J'ai découvert cette machine de rêve sur la page Facebook de mon aminaute Rebecca, auteur du "Fil d'argent" et créatrice du blog du même nom.

    Cette machine baptisée "Foldimate" devrait être commercialisée en 2019 pour un prix aux alentours de 1000 $ (880€). Elle a la taille d'un petit réfrigérateur

    Il faut positionner son linge individuellement entre deux pinces. Un système de bras plie le vêtement, il est ensuite parfumé avant d’être positionné dans un bac pour le récupérer. Le modèle présenté en démonstration est capable de gérer, des T-shirts, des chemises, des pantalons ou encore des serviettes, mais il ne fonctionne pas avec des draps ou des Sweartshirts. De même, il n'est pas encore capable de plier des vêtements de petite taille, oubliez les chaussettes, les caleçons ou les habits de bébé. 

    Source : CNETfrance

    La vidéo ne dure qu'une minute.

     

    Cette machine pourrait bien faciliter la vie des mères de famille, d'ici quelques années, lorsque son prix aura baissé et qu'elle pliera aussi les petits vêtements...


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  • J'ai découvert ce vélo électrique solaire sur le site positivr.fr.

    Cette bicyclette électrique solaire a été mise au point par Rool'in, une start-up française, installée à Montrouge (Hauts de Seine). Les cellules photo-voltaïques sont intégrées dans le cadre et la roue avant. Ainsi elle se recharge aussi bien à l'arrêt qu'en mouvement, permettant de parcourir de 15 à 40 kms par jour (selon la météo).

    La batterie du Sun-E se recharge aussi sur secteur, offrant une autonomie de 51 km.

    Les deux fondateurs de Rool'in ont voulu créer un vélo pratique, pour les trajets du quotidien. Leur Rool'in pèse 25 kg (comme un vélo électrique classique).

    Ce vélo sera testé cette année par des agents de la ville de Montrouge et par une filiale de la Poste.

    Il devrait être commercialisé à partir de 2020.

     

    Il existe déjà des vélos électriques solaires, souvent encombrants avec des panneaux solaires installés sur une remorque, sur le porte-bagage, ou sur un toit amovible.

    Pour la 3ème fois, un rallye, le Sun Trip a réuni cet été une quinzaine d'équipages sur 12 000 kms entre Lyon et Canton, en Chine.

     

     

     

    Un peu encombrants, mais quelle aventure !


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  • En 2012 j'ai découvert la jolie ville de Granville dans le Cotentin (Normandie).

     

    Il était 7h00 à Granville où j'étais pour quelques jours, dans un hôtel près du port.  Le ciel était gris presque noir et le soleil venait juste de se lever. J'ai pris mon appareil photo et je suis allée me balader sur le port. La Cathédrale de style Byzantin qui veille sur la ville se découpait sur les nuages, ourlée de fines zones dorées. Je suis restée plusieurs dizaines de minutes à l'admirer et la photographier, testant divers réglages sur mon appareil photo.

     

    J'aurais aimé visiter cette basilique, mais je n'ai pu l'admirer que de l'extérieur. Elle était fermée pour travaux.

    Je suis revenue à Granville l'année suivante et j'ai encore tenté de visiter cette imposante église. Elle était toujours fermée. J'ai quand même pris ces jolies photos :

    L'église Saint-Paul de Granville, à vendre pour 30 000 €...
    L'église Saint-Paul de Granville, à vendre pour 30 000 €...
    L'église Saint-Paul de Granville, à vendre pour 30 000 €...
    L'église Saint-Paul de Granville, à vendre pour 30 000 €...

    Il y a quelques mois j'ai été vraiment surprise d'apprendre que cette imposante et magnifique église de Saint-Paul de-Granville était mise en vente dans une agence immobilière parisienne pour 30 000 € (755 m² de bâtiment principal et 235 m² de dépendances).

     

    Vous pouvez voir l'annonce (toujours en ligne) en cliquant ICI.

    La mise à prix est fixée à 30 000 €, honoraires de négociation inclus, sous la forme d’un bail emphytéotique au profit de la commune.

    "L’église Saint-Paul et son parvis dominent le centre historique et le port de plaisance, offrant un large panorama sur la mer. Réciproquement, elle est visible de loin depuis la mer et la Haute Ville, sculptant la ligne d’horizon comme une sorte de proue de la ville neuve."

    C’est en ces termes que l’agence immobilière Patrice Besse, installée Rive gauche à Paris, décrit l’édifice, cependant très dégradé.

    Le diocèse Avranches-Coutances a émis ses conditions :

    • le transfert de la sépulture du chanoine Pinel enterré dans l’église,
    • le transfert du maître-autel financé par l’association diocésaine, du mobilier et de la statuaire.

    La commune de Granville a ensuite lancé un appel à projets avec l’obligation de répondre à trois objectifs :

    1. patrimonial,
    2. économique
    3. et sociétal.

    Les acheteurs ne devront pas modifier le dôme et rappeler la vocation initiale du site qui devra être accessible aux Granvillais. Il n'y a pas de contraintes liées aux Monuments Historiques.

     

    Si j'héritais d'un oncle d'Amérique ou si je gagnais au loto, j'achèterais avec plaisir cette basilique et la restaurerais.

    Puisqu'elle a été désaffectée par le Diocèse, je la transformerais en lieu de rencontres autour

    des arts (peinture, sculpture, musique, vitrail),

    de la transmission et l'apprentissage,

    pour qu'elle soit la fierté de tous ceux qui -main dans la main- participeraient à sa restauration et son embellissement.

    Les livres, la photographie, l'Histoire et les histoires, la mer, y auraient leurs chapelles.

    De son parvis la vue sur l'Océan est magnifique, illimitée et éternelle...

     

    Si...


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  • J'ai emprunté ce livre à la médiathèque.

    Informations pratiques :

     

    Roman d'Anna Hope, paru aux Editions Gallimard en 2017. 383 pages.Prix : 22 €

     

    La 4ème de couverture :

    Lors de l’hiver 1911, l’asile d’aliénés de Sharston, dans le Yorkshire, accueille une nouvelle pensionnaire : Ella, qui a brisé une vitre de la filature dans laquelle elle travaillait depuis l’enfance. Si elle espère d’abord être rapidement libérée, elle finit par s’habituer à la routine de l'institution. Hommes et femmes travaillent et vivent chacun de leur côté : les hommes cultivent la terre tandis que les femmes accomplissent leurs tâches à l’intérieur. Ils sont néanmoins réunis chaque vendredi dans une somptueuse salle de bal. Ella y retrouvera John, un "mélancolique irlandais". Tous deux danseront, toujours plus fébriles et plus épris. 
    À la tête de l’orchestre, le docteur Fuller observe ses patients valser. Séduit par l’eugénisme et par le projet de loi sur le Contrôle des faibles d’esprit, Fuller a de grands projets pour guérir les malades. Projets qui pourraient avoir des conséquences désastreuses pour Ella et John. 

    Après Le chagrin des vivants, Anna Hope parvient de nouveau à transformer une réalité historique méconnue en un roman subtil et puissant, entraînant le lecteur dans une ronde passionnée et dangereuse.

     

    Mon ressenti :

     

    Ce roman très émouvant, se déroule dans un asile d'aliénés, à Sharston,  dans le Yorkshire, en Angleterre, en 1911.

    Ella est internée pour avoir brisé une vitre dans la filature où elle travaillait depuis l'âge de 8 ans. Elle espère partir très vite de cet endroit sinistre où hommes et femmes vivent dans des bâtiments austères et travaillent durement, sous la houlette de surveillants implacables. Ella est affectée à la buanderie où elle va rencontrer Clem, passionnée de littérature.

    Du côté des hommes, nous suivons John Mulligan et son ami Dan qui travaillent durement dans les champs,comme les pensionnaires valides de l'asile.

    A Sharston, c'est Charles Fuller, pas tout à fait docteur, qui accueille les arrivants et s'occupe de leur admission. Passionné de musique, il croit pouvoir améliorer l'état des patients grâce à son violon, et aux bals organisés une fois par semaine. Ces séances réunissent hommes et femmes, triés sur le volet.

    Charles Fuller souhaite intervenir au Premier Congrès eugéniste international, à Londres pour défendre sa thèse sur la musique et la ségrégation, préférables à la stérilisation préconisée par les organisateurs et soutenue par Winston Churchill.

    Mais peu à peu, des déconvenues personnelles et professionnelles vont l'amener à modifier sa position et soutenir le projet de Loi sur le Contrôle des faibles d'esprit.

    Anna Hope nous emporte dans cette période effarante avec ses personnages cabossés et attachants, dont certains sont internés simplement parce qu'ils sont indigents ou se sont énervés.

     

    J'ai été effarée de découvrir que ce mouvement d'eugénisme des aliénés avait commencé en Angleterre, en 1911 et était soutenu par Winston Chrurchill, quelques dizaines d'années avant d'être repris et mis en application en Allemagne.

    Ce livre est bien écrit, bien documenté, passionnant, avec une fin particulièrement réussie.

    J'ai pleuré en lisant les dernières pages...

     

    Un extrait :

    - Lors de leur rencontre suivante, ils continuèrent à se mouvoir en silence, sans presque se regarder, mais c'était un homme différent avec lequel elle dansait, désormais. quelqu'un dont l'intérieur, elle le savait, se déployait sur des kilomètres, même si son extérieur était aussi fermé et barricadé qu'avant.


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