• Jeudi 9 mars, mon amie Cathycat du blog "La new cathzette" et moi-même sommes parties en balade dans l'Entre-Deux-Mers, entre Dordogne et Garonne. 

    Nous nous sommes d'abord dirigé vers le village de La Sauve, près de Créon, en Gironde pour visiter l'abbaye de la Sauve Majeure, classée au patrimoine mondial de l'UNESCO..

    L'abbaye tire son nom de la "Silva major", grande forêt.

    C'est un chef d'oeuvre de l'art roman, construit entre XIème et XIIIème siècle, entouré de superbes arbres.

    Il ne reste de l'abbaye qu'une tour, quelques salles, des chapiteaux et des sculptures...

    Nous avons apprécié la sérénité du lieu, les beaux platanes et le superbe chêne entourant l'abbaye.

     

    Balade dans l'Entre-Deux-Mers : l'abbaye de la Sauve Majeure...
    Balade dans l'Entre-Deux-Mers : l'abbaye de la Sauve Majeure...
    Balade dans l'Entre-Deux-Mers : l'abbaye de la Sauve Majeure...
    Balade dans l'Entre-Deux-Mers : l'abbaye de la Sauve Majeure...
    Balade dans l'Entre-Deux-Mers : l'abbaye de la Sauve Majeure...

     

    Balade dans l'Entre-Deux-Mers : l'abbaye de la Sauve Majeure...
    Balade dans l'Entre-Deux-Mers : l'abbaye de la Sauve Majeure...
    Balade dans l'Entre-Deux-Mers : l'abbaye de la Sauve Majeure...
    Balade dans l'Entre-Deux-Mers : l'abbaye de la Sauve Majeure...
    Balade dans l'Entre-Deux-Mers : l'abbaye de la Sauve Majeure...
    Balade dans l'Entre-Deux-Mers : l'abbaye de la Sauve Majeure...
    Balade dans l'Entre-Deux-Mers : l'abbaye de la Sauve Majeure...
     
     

    Nous avons grimpé les 150 marches d'un escalier en colimaçon dans la grande tour pour admirer la vue... 

    Balade dans l'Entre-Deux-Mers : l'abbaye de la Sauve Majeure...
    Balade dans l'Entre-Deux-Mers : l'abbaye de la Sauve Majeure...
    Balade dans l'Entre-Deux-Mers : l'abbaye de la Sauve Majeure...
    Balade dans l'Entre-Deux-Mers : l'abbaye de la Sauve Majeure...
     

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    Voici une photo prise hier. 

    Devinez de quoi il s'agit. C'est facile...

     

    Amusez vous bien...

    Réponse dimanche

     

     

     

    La petite énigme du vendredi...

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  • Une cigogne en peluche occupe un coin de mon canapé, comme autrefois elle occupait un coin de mon bureau.

    Cette adorable cigogne m'a été léguée par Sophie, une collègue qui quittait l'entreprise il y a quelques années. 

    Ecureuille, ma chatte, aime se coucher contre elle, pour une petite sieste. Elle pose ses pattes sur celles de la peluche qui semble veiller sur elle...

    Ecureuille et la cigogne...
    Ecureuille et la cigogne...
    Ecureuille et la cigogne...
    Ecureuille et la cigogne...

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  • Vous vous souvenez peut-être de cette fameuse phrase prononcée par le général Français lors de la bataille de Fontenoy en 1745.

    Michel Iturria, ancien dessinateur pour le journal Sud-Ouest, dont j'apprécie beaucoup les dessins humoristiques est aujourd'hui à la retraite. Il continue à publier un dessin par semaine dans le Mag de Sud-Ouest.

    Voici celui paru dans le Mag du 5 mars 2017, qui met en scène cette bataille et sa fameuse phrase.

    J'ai bien ri en regardant ce dessin et sa légende.

    Messieurs les Anglais, tirez les premiers !

    Sa légende : "Aujourd'hui on n'arrête pas de parler d'une COUPURE entre le PEUPLE et les ELITES. Il est pourtant évident qu'elle existe depuis des siècles..."

     

    Les tirailleurs français prêts à tirer, au premier plan, se sentent trahis tandis que les deux capitaines se font des courbettes

     

    Quelques informations sur la bataille de Fontenoy qui a eu lieu le 11 mai 1745, opposant les troupes franco-irlandaises conduites par le maréchal de Saxe aux troupes anglaises, hollandaises et autrichiennes, commandées par le duc de Cumberland. 130 000 hommes ont participé à ce combat.


    Selon Voltaire, lors de l'avancée de l'infanterie anglaise, les officiers anglais saluèrent leurs homologues français et le capitaine Charles Hay cria : "Messieurs des Gardes françaises, tirez !". Ce à quoi le Comte d'Auteroche, lieutenant, aurait répondu : "Messieurs, nous ne tirons jamais les premiers, tirez vous-mêmes !".

    La tradition populaire ne devait retenir de cela qu'une citation : « Messieurs les Anglais, tirez les premiers ! »  

    Contrairement aux apparences, cet échange ne doit rien à la courtoisie ou à la politesse. Une règle du combat d'infanterie interdisait à une troupe de tirer la première dans un combat rapproché, afin de ne pas être désarmé ensuite devant le feu de l'ennemi, le rechargement des armes s'avérant très long. 

    L'attaque des Anglais fit de gros dégâts au sein des troupes françaises, mais celles-ci finirent par reprendre le dessus sous les yeux de Louis XV, qui assistait à la bataille. Les Français perdirent 7000 hommes, les coalisés 15000. Mais la Flandre allait bientôt tomber toute entière aux mains des Français.


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  • Il y a quelques semaines je vous avais parlé du roman "Les chaussures italiennes" que je venais de lire.

    J'ai emprunté la suite à la médiathèque "Les bottes suédoises" et l'ai dévorée en quelques jours. C'est le dernier roman de l'auteur suédois Henning Mankell, mort en 2015, à 67 ans et c'est dommage car j'aurais aimé lire la suite.

     

    La 4ème de couverture :

    Fredrik Welin, médecin à la retraite, vit reclus sur son île de la Baltique. Une nuit, une lumière aveuglante le tire du sommeil. Au matin, la maison héritée de ses grands-parents n’est plus qu’une ruine fumante. Réfugié dans la vieille caravane de son jardin, il s’interroge: à soixante-dix ans, seul, dépossédé de tout, a-t-il encore une raison de vivre ? Mais c’est compter sans les révélations de sa fille Louise et sans l’apparition de Lisa Modin, journaliste de la presse locale. Tandis que l’hiver prend possession de l’archipel, tout va basculer de façon insensible jusqu’à l’inimaginable dénouement. 
    Après l’immense succès des Chaussures italiennes, auquel il fait suite, Les Bottes suédoises brosse le portrait en clair- obscur d’un homme qui revisite son destin, tenaillé par le doute, le regret, la peur face à l’ombre grandissante de la mort, mais animé aussi par le désir et la soif d’amour.
    Tel est l’ultime roman de Henning Mankell : une œuvre d’une sobriété élégiaque et poignante, traversée et portée par la beauté crépusculaire des paysages.

     

    Mon ressenti :

    J'ai retrouvé avec plaisir Fredrik Welin, chirurgien à la retraite, et son archipel en mer Baltique, perdu au bout du monde, ravitaillé par Jansson, ancien facteur.

    4 ans ont passé. On retrouve le héros, 70 ans devant les ruines de sa maison qui vient de brûler. Il a tout perdu dans l'incendie, y compris ses chaussures italiennes, dont il ne retrouvera qu'une boucle en métal.

    Il va alors s'installer dans la vieille caravane laissée par sa fille, Louise, 40 ans. Assailli de doutes et de regrets, il s'interroge sur la vieillesse, l'amour et la mort.

    Peu à peu, il va reprendre goût à la vie, grâce à Louise et au bébé qu'elle porte, et à sa rencontre avec Lisa Modin, journaliste et seule comme lui.

    A la fois bourru et tendre, Fredrik est un personnage attachant et hors du commun.

    Je me suis sentie près de lui sur son île balayée par les vents, magnifique et sauvage.

     

     

    Quelques extraits :

    • "Vieillir, c'est s'aventurer sur une glace de moins en moins solide."
    • "La mer s’est ouverte. Les îlots étaient de plus en plus clairsemés et dénudés, avec leur végétation à peine visible accrochée aux anfractuosités de la roche – fougère, linaigrette, camarine noire, parfois un cornouiller. Plus loin encore on ne trouvait plus guère que la puccinellie, la spergulaire marine, la potentille et la pensée sauvage."

     


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