•  

    Ces derniers jours j'ai rangé ma bibliothèque, mis de côté les livres que je ne veux pas garder, pour faire de la place aux nouveaux arrivés, et je suis tombée sur les premiers romans de Mary Higgins Clark.

    J'ai choisi "Douce nuit", terrible conte de Noël (déjà lu) et me suis replongée avec délices dans ce suspense hautement mené.

    La 4ème de couverture :  Brian, sept ans, n'a plus qu'une seule idée, qu'un seul espoir : la médaille de Saint-Christophe,, donnée par sa grand-mère, pourrait sauver la vie à son papa, hospitalisé pour une grave maladie... C'est grand-mère qui l'affirme, elle ne peut pas se tromper.

    Aussi, lorsqu'une inconnue s'enfuit avec le portefeuille tombé du sac de sa mère, où se trouve la médaille, il n'hésite pas à se lancer à ses trousses, abandonnant la féerie du Rockefeller Center illuminé pour la nuit de Noël.

    Et le cauchemar commence, pour Brian, pour sa mère, tissé de main de maître par la reine du suspense, auteur de La Nuit du renard (Grand Prix de littérature policière 1980) et de La Clinique du docteur H. 

    Mon ressenti : Ce roman paru en 1995 est un de mes préférés de Mary Higgins Clark avec "La nuit du renard" et "La clinique du docteur H". J'ai lu en quelques heures ce roman haletant, tremblé pour le petit Brian qui ne pense qu'à sauver son papa, souffert avec sa maman, me suis inquiétée avec Cally, maman courageuse et soeur d'un criminel...

     

     

    Ces dernières semaines j'ai emprunté 3 livres à la médiathèque dont 2 que j'ai abandonnés et un 3ème que j'ai fini avec peine :

    - "Macadam" : un recueil de nouvelles de Jean-Paul Didierlaurent, dont j'ai adoré le roman 'Le liseur du 6h27". Je n'aime pas les nouvelles (sauf les bonnes) et les premières, même celle d'un prêtre qui joue à la game boy dans le confessionnal, ne m'ont pas emballée.

    - "Black bazar" d'Alain Mabanckou.  "Le héros de Black Bazar est un dandy africain de notre temps, amoureux des cols italiens et des chaussures Weston, qui découvre sa vocation d'écrivain au détour d'un chagrin d'amour.
    Naviguant entre complainte et dérision, il brosse avec truculence un tableau sans concession de la folie du monde qui l'entoure. 

    Tour à tour burlesque et pathétique, son récit va prêter sa voix à toute une galerie de personnages étonnants, illustrant chacun à leur manière la misère et la grandeur de la condition humaine." 

    - "Un petit boulot" de Iain Levison :  "Une petite ville américaine ravagée par la fermeture de l'unique usine. Un héros qui perd non seulement son travail, sa télé, son aspirateur, mais aussi sa petite amie. Pour ne pas perdre aussi sa propre estime, il est prêt à accepter n'importe quel « petit boulot », y compris celui qu'un bookmaker mafieux, lui propose. Un portrait au vitriol de l'Amérique des laissés-pour-compte."  Je n'ai pas aimé le héros ni trouvé ce livre "euphorisant" comme l'ont dit des critiques. J'ai apprécié la description des effets de la crise, mais le héros-qui-tue-n'importe qui pour de l'argent ou pas m'a paru plus amoral qu'attachant.


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  • Pour ce 82ème Café Thé, racontez nous quel a été votre plus grand bonheur en 2016 (ou avant si vous le souhaitez)...

     

    Les consignes : Ecrivez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

    Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant le résultat des votes (le 1er mars 2017)

     

     

    Que vous soyez blogueur ou pas, envoyez moi votre participation 

    avant le 31 janvier 2017 à ecureuilbleu33@live.fr...

    Au plaisir de vous lire...

     

     

    Amusez vous bien !

     


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  • Participez au Café Thé n° 81 - Voyage fabuleux en bus...
    Participez au Café Thé n° 81 - Voyage fabuleux en bus...Participez au Café Thé n° 81 - Voyage fabuleux en bus...

    Pour ce 81ème Café Thé, je vous ai ptopsé de contempler ces photos d'un autobus du Pakistan enjolivé de décorations exubérantes (photographié au Musée des Civilisations à Ottawa) et de nous raconter ce que vous vouliez : un voyage fabuleux dans ce bus ou dans un autre...

     

    Les consignes étaient : Ecrivez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

    Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant le résultat des votes (le 1er février 2017)

     

     

    Vous êtes à avoir participé.

    Il s'agit maintenant de voter pour vos participations préférées en utilisant le module de vote en bas à gauche, jusqu'au 31 janvier 2017.

     

    Participation n° 1 :

    Mes bus

    Les bus qui nous emmenaient en voyages scolaires

    Pendant ces trajets, j’étais souvent patraque

    Comme quand je monte dans la voiture derrière.

    J’ai découvert ainsi à Douaumont, l’ossuaire

    Ce lieu que tout le monde devrait voir pour prendre

    La démesure des  horreurs de la guerre, ce silence

    Qu’on ne peut briser là-bas, Verdun, l’empreinte

    Des bombes sur le paysage  dans ce coin de France

    Un bus m’a aussi emmené sur les traces de Jeanne

    D’Arc  à Domrémy où est née la pucelle.

    On nous évoquait en histoire les grandes figures

    De notre pays qui avait fait la France grande.

    Nous étions ainsi fiers d’être français et non coupables.

    Le bus qui m’a emmené à Paris toujours avec l’école

    Nous étions montés sur la Tour Eiffel, prendre

    Notre repas, éblouis par notre chance de voir la capitale.

    J’étais gamine, enthousiaste et beaucoup étaient de même

    Là où je vois aujourd’hui de visages blasés et ternes.

    Un bus à Paris alors que le métro était en longue grève

    La longue avenue de la Nation à pied tout de même

    Avec le vendredi les lourds bagages pour rentrer en province.

    Le bus, avec beaucoup d’arrêts, pour aller d’une province à l’autre

    Le bus pour aller en cours de droit et retrouver mon abri d’étudiante

    Le bus pour aller au travail, donner mon sang au centre

    De transfusion, le bus pour retrouver un amoureux, une copine.

    Près de la vitre du bus, je regarde le paysage qui défile

    Les arrêts qui rallongent le voyage, comme des gares de campagne.

    J’ai gardé ce côté « patraque » dans le bus qui m’empêche de lire

    Comme je le fais en train alors j’écoute le vacarme, l’intime

    Qui s’étale par les portables, j’écoute la radio et je revois

    Les alentours de Lille lorsque je me rendais à la bibliothèque

    Universitaire, les contours de St Etienne en venant de la campagne

    Où je travaillais. Le bus qui me remonte chez moi sur la colline,

    Qui souffre à grimper mais moins que moi tout de même.

     

    Participation n° 2 :

     

    Votez pour déterminer le gagnant du Café Thé n° 81 - Voyage fabuleux en bus...

     

    Le plus fabuleux voyage que j'ai fait en bus remonte à 1972, alors que j'avais 8 ans. Je l'ai fait à bord d'un autobus à impériale en compagnie de 5 garçons : Cap'taine, Youpla, Prof, Glouton et Solo, et 2 filles : Belle et Tigrette. C'était mes meilleurs amis et en leur compagnie j'ai vécu de fantastiques aventures rocambolesques et drôles. Un vent de liberté soufflait sur ma vie quand j'étais en leur compagnie. Je me sentais grande, indépendante et le monde m'appartenait. Nous jouions, dansions et nous chantions, nous inventions de drôles de machines et nous faisions des tas de bêtises. C'était un merveilleux voyage bien que cet autobus à étage n'ait jamais quitté le hangar désaffecté dans lequel il avait été oublié. Il ne roulait pas mais nos jeux nous emmenaient parfois bien loin de la réalité dans laquelle nous vivions, bien loin de ma vie de petite fille sage dans la banlieue parisienne. C'était un prodigieux voyage bien que je n'ai jamais été réellement dans ce hangar londonien, devenu le quartier général de cette bande d'enfants. C'était un fantastique voyage bien que je n'ai jamais réellement connu ces enfants que je considérais quand même comme mes meilleurs amis et que je retrouvais régulièrement grâce à la magie du petit écran.

    C'était un voyage fabuleux, merveilleux, prodigieux, fantastique. Les voyages imaginaires sont toujours les plus beaux.


    .

    Votez pour déterminer le gagnant du Café Thé n° 81 - Voyage fabuleux en bus...

    Participation n° 3 :

     

    Cap, Katmandou...

     

    Des restes

    De baba cool

    Dans l'sang...

    Retraités

    Il ont acheté

    Comme au bon vieux temps

    Un truc qui... « roule »

    A retaper sans conteste... !

     

    Cap, Katmandou

    Hip hip hippies...

     

    Ca blinque oh oui

    Ca en jette en ch'min,

    Pourvu qu'ils ne perdent rien

    Pardi !

     

    Tout y est

    Même leur look

    Pattes d'éléphant

    Le joint en poche

    La guitare,

    Ca jase dans l'quartier

    Ils s'en moquent, eux c'est rock

    Et en avant

    Puisque sont faites les valoches..

     

     

    Participation n° 4 :

     

    Moi -Dis tu as vu ce bus?

    Toi - Oui je le vois, il est bizarre ce bus

    Moi - Quelle date est on?

    Toi - le 4 décembre

    Moi - donc ce n'est pas carnaval

    ni le nouveau transport du père Noël

    il ne vient que dans 20 jours

    Toi - ????? peut être que cette année il est en avance

    Tu sais à son âge, onen est plus à 20 jours près


    Moi - A ton avis il a quel âge le Père Noël

    Toi - ?????? je pense comme Jésus

    Moi - c'est à dire 2016 ans

    donc ce n'est pas ça ce bus est en bon état 

    il ne peut être aussi vieux.

    Toi - Tu as certainement raison

    Moi - mais alors d'où il vient ce bus

    Toi - sais pas.

    Moi - Tu ne sais jamais rien

    regardes donc la plaque minéralogique

    moi j'ai oublié mes lunettes.

    Toi - C'est bizare sur la plaque il y a écrit Mars 02

    Moi - Ce serait donc des Martiens?

    Toi - ???? Je sais pas

    Moi - bien sur tu ne sais jamais rien

    En tout cas sur Mars ils ont de bons peintres et de belles couleurs

    et surtout une belle imagination.

    Toi - Je sais pas

    Moi - Tu te rends compte ils ont traversé tout l'Univers

    Quel voyage!

    Toi - tout ça est trop compliqué pour moi

    et les Martiens j'ai vu le film et ils me font peur

    on les reconnait aux doigts des mains.

     

    Moi - Mais que tu es nigaud

    ce sont des histoires les films, ça n'existe pas

    Toi - Alors ce bus n'existe pas?

    Ecoute il klaxonne comme la sonnerie du réveil.

    Moi - réveille toi il est l'heure le réveil a sonné.

    Ce bus était trop beau pour être vrai

     

     


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  • Participez au Café Thé n° 80 - Flamboiement d'automne...

    Pour ce 80ème Café Thé, je vous ai proposé de contempler la photo ci-dessus, prise à Montréal en octobre 2016, et de nous raconter ce que vous vouliez sur le thème des couleurs flamboyantes de l'automne. 

     

    Les consignes étaient : Ecrivez, rimez, dessinez,photographiez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

    Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant le résultat des votes (le 1er janvier 2017)

     

    Vous êtes 7 à avoir participé et 56 votes ont été exprimés.

     

    Vos votes ont désigné comme gagnantes ex-aequo avec 11 voix chacune : Laura du blog  "Le blog de Laura Vanel-Coytte : ce que j'écris, ce(ux) que j'aime..." et Josette du blog "La cachette à Josette", suivies de près par Maryse du blog "L'espigaou" (9 voix), Martine du blog "Les jeux du vendredi" (7 voix) et Jill Bill,  Petite Jeanne etLivia (avec 6 voix chacune).

     

    Bravo aux deux gagnantes, Laura et Livia, et aux autres participantes, et merci à tous ceux qui ont voté ! 

     

     

    1ère ex-aequo) Laura du blog "Le blog de Laura Vanel-Coytte : ce que j'écris, ce(ux) que j'aime..." 

     

    Décrire un jardin d'automne:
     
    Ecrire, décrire un jardin en automne
    N’est pas une tâche facile
    Après les grands poètes :
    La « langueur monotone » de Verlaine
    « Pareil à la  feuille morte »
    Le verre d’Apollinaire
    Qui se brise « comme un éclat de rire »
    Ce vers « comme un cœur que l’on brise »
    Le « rouge automne » de Théodore de Banville
    « Il automne » chante Barbara magique
    Vincent di Sanzo fait sa « cueillette automnale »
    L’ « automne de la vie » de Gabin l’inoubliable
    Les oiseaux et les arbres de Gilles Vigneault.
    Le vent triste d’Emile Nelligan.
    La saison qui décline
    De Victor Hugo.
    Comment rivaliser avec Baudelaire
    Et son chant d’automne ?
    Dire peut-être
    La douceur de l’automne Marocain,
    les jardins qui se vident
    A la rupture du jeûne
    Seuls les oiseaux animent
    Encore les fleurs –flammes
    Et les palmiers-perches
    Vers le ciel bleu rêve.
     
    1ère ex-aequo) Josette du blog "La cachette à Josette" :

     

    Votez pour déterminer le gagnant du Café Thé n° 80 - Flamboiement d'automne...

    Un mot

    Vous me donnez juste un mot

    Pour traduire l’automne

    Comment traduire avec un mot

    Les couleurs

    Comment traduire avec un mot

    Les sensations

    Pourquoi ne pas demandez

    De parler d’amour

    Avec un mot

    Un seul mot

    Tous ceux qui me viennent

    En tête

    N’y suffirait pas

    Chaque année

    Il y a une semaine

    Où les fées

    Enchantent les arbres

    Et vous voulez

    Que d’un seul mot

    Je raconte cette histoire

    Alors qu’il vous suffit

    De fermer les yeux

    Pour de vous rappeler

    Cette magie

    Qui revient chaque année

     

    Votez pour déterminer le gagnant du Café Thé n° 80 - Flamboiement d'automne...

     

     

     

     

    3ème) Maryse du blog "L'Espigaou" :

     

    Je vais vous parler d'une très grande peintre que j'aime beaucoup.
                                          Dame Automne.

                                             ========
     
    Au printemps les arbres se parent de leurs belles feuilles d'un vert très clair.
    Votez pour déterminer le gagnant du Café Thé n° 80 - Flamboiement d'automne...
    En été les feuilles deviennent un peu plus foncées.
    Votez pour déterminer le gagnant du Café Thé n° 80 - Flamboiement d'automne...
    Mais dès qu'arrive la fin de l'été, Dame Automne sort sa palette, ses pinceaux et ses tubes de couleur
    Votez pour déterminer le gagnant du Café Thé n° 80 - Flamboiement d'automne...
    Elle commence par donner sur les feuilles des petites couches d'or, de ci, de là,puis un peu plus, finalement les feuilles sont toutes colorées d'or.
    Votez pour déterminer le gagnant du Café Thé n° 80 - Flamboiement d'automne...
    Elle n'est pas satisfaite 
    C'est trop uniforme
    Elle prend son tube couleur grenat et comme avec l'or donne des petites couches de couleur,.
    Au fur et à mesure que le soleil vient les réchauffer, les couches de grenat s'accentuent.
    Votez pour déterminer le gagnant du Café Thé n° 80 - Flamboiement d'automne...
    Le matin je me lève et vois une nature flamboyante.
    Dame Automne avait étalé un tapis d'or et de grenat à mes pieds pour que me promenant j'ai l'impression de voler au dessus d'un feu de beauté.
     
    Votez pour déterminer le gagnant du Café Thé n° 80 - Flamboiement d'automne...

    Bien des grands peintres tel que Cézanne, Van Gogh l'ont copiée.
    Ils peignaient des natures mortes.
    Dame nature peint des natures vivantes.

     

    4ème) Martine du blog "Les jeux du vendredi" :

     
    Après avoir tout l'été jalousé
    De la jachère fleurie, la beauté
    Les feuilles, en parure mordorée
    S'offrent une dernière sarabande endiablée
    Balancées, chahutées, olé!
    Emportées, envoyagées, hop hé!
    L'automne s'en est passé

    5ème ex-aequo) Jill Bill du blog "Melting-pot" :

     

     

    Voyage de noce à l'or...

     

    Les rêves font miroiter

    Des voyages impossibles

    Mais les rêveurs incorrigibles

    !S'y accrochent, emportés...

     

     

    On ne roule pas sur l'or

    Mais après maints efforts

    D'épargne

    De hargne

    On gagna cette guerre

    L'autre bout de la terre

    Encore debout encore vivant

    Encore deux toujours amants...

     

     

    Dieu que l'automne ma mie

    Y est beau, y est joli

    Dans ses jupons lie de vin

    Ocre, orangé, carmin

    Qu'on dirait pour sûr

    Un tableau, une peinture...

     

    On se prit par la main

    Nos vieux coeurs éprit

    Par le charme des lieux

    Sous d'autres cieux

    Qu'on désira soudain

    Que nos cendres un matin

    Puissent y reposer ma foi

    A même la mousse des bois...

     

     

    5ème ex-aequo) Petite Jeanne du blog "Petite Jeanne, une histoire vraie" :

     

    J’adore ces couleurs flamboyantes quoiqu’elles me rappellent  les peurs de mon enfance :

    J’allais à l’école à pieds et je devais traverser un bois qui,  chaque année, se paraît de merveilleuses couleurs.  Mais il y avait de nombreuses salamandres  sur le sentier, cachées sous les feuilles de même couleur. J’en avais une peur bleue, au même titre que les couleuvres. Alors je prenais  des branchages que je poussais devant moi sur le sentier pour éloigner les importunes et pour me donner du courage, je me récitais le poème d’Alphonse de Lamartine que j’adorais et je connais encore par cœur:

             Salut! Bois couronnés d'un reste de verdure!

             Feuillages jaunissants sur les gazons épars!

             Salut! Derniers beaux jours! Le deuil de la nature

             Convient à la douleur et plait à mes regards!.......

     

     

     

    5ème ex-aequo) Livia du blog "Livia augustae"

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Là-bas, l'automne...

     

    Prends ma main, viens, suis-moi.

    Je t'emmène par delà les mers

    Dans ma cabane au Canada,

    Nichée sous les grands arbres.

    L'automne y est déjà,

     

    En habits d'or et de rubis emmêlés,

    La forêt embrasée, rutile à l'infini.

     

    Un ruisseau chante tout près de là,

    Et les biches, le matin, viennent s'y désaltérer.

    Tu verras se lever les aurores glacés,

    Le soleil filtrer entre les feuilles dorées,

    Et le temps bon enfant, s'arrêtera.

    Devant l'âtre chaud, lovés l'un contre l'autre,

    Nous regarderons les flammes danser.


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  • 2016 est finie, place à 2017 !

    Voici un petit bilan de l'année 2017, avec ses roses et ses épines.

     

    Vous pouvez reprendre l'idée si elle vous plait en mettant un lien vers mon blog.

     

    Commençons par les roses...

     

     

     

     

    Et les épines :

    • l'attentat à Nice du 14 juillet
    • la guerre et le terrorisme : tueries et destruction du patrimoine
    • les batailles pour le pouvoir
    • les aminautes qui nous ont quittés : Marie du blog "le jardin de Marie" et Witney du blog "Au présent"...
    Les roses et les épines de 2016...
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