J'ai lu cette information dans la rubrique Insolite du journal Sud-Ouest cet été.

Le zoo de la ville de Luohan, en chine a été obligé de fermer ses portes en août pour tromperie sur la marchandise. Ils présentaient un chien tibétain, gros chien roux,  comme un lion africain, un renard blanc comme un léopard, deux ragondins dans la cage aux serpents et un chien comme un loup.

C'est un garçonnet de 6 ans qui a alerté tout le monde en entendant aboyer le lion.

Un responsable du parc animalier a d'abord affirmé que le chien n'était qu'en "remplacement" pendant que le vrai lion était dans un centre de reproduction.

Les responsables du parc ont fini par décider de le fermer pour procéder aux rectificatifs nécessaires...

Ils vont avoir un sacré travail, s'ils confondent ces animaux...

Le zoo de Besançon pourrait peut-être leur envoyer les babouins qui gratouillent la citadelle ? Au mieux comme babouins, au  pire comme un autre animal qu'ils pourraient leur apprendre à singer...

J'ai terminé il y a quelques jours un nouveau châle en mohair, en dentelle au crochet.

D'un bleu très pâle, il est très léger et a été réalisé en une trentaine d'heures...

Ma collection de châles s'agrandit : châle au point d'ananas pour le mariage, châle en résille vert, premier châle en mohair, second chêle en mohair...

Jeudi soir 23h30, je suis au lit. Ecureuille, ma chatte, n'est pas rentrée. J'ouvre la fenêtre de ma chambre et l'appelle. J'entends miauler au loin.

Je sors en chemise de nuit et chaussons. Elle n'est pas dans le jardin.

Miaulement plaintif.

Je traverse la rue. Elle est perchée dans le chêne du voisin, coincée dans les branches et n'arrive plus à descendre. Le portail n'est pas fermé à clé et le voisin n'est plus là. J'entre et éclaire le chêne avec une torche électrique. Je lui tends les bras, tire sur la branche. Elle prend peur et grimpe plus haut.

Je repars chercher un carton et le temps que je revienne elle est descendue et rentrée dans le jardin mais elle ne veut pas rentrer dans la maison. Il est tard et le lendemain je vais me lever à 6h15 comme tous les matins.

Je finis par la faire entrer... Ouf ! Il est minuit...

Quelques photos de la polissonne, perchée sur al boite aux lettres, surveillant mon jardin et celui du voisin en face

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La petite vache qui lui tient compagnie surmonte une clochette à actionner en tirant une cordelette...

Mon aminaute Bernadette du blog "Mistigris 34 - La casa fleurie" connait bien Pézenas dans l'Hérault où j'avais photographié les trois jolies ombrelles qui servent d'avatar à la communauté "Embellissons nous la vie".  De temps en temps elle me donne des nouvelles ou m'envoie des photos de cette fenêtre. J'ai reçu hier une jolie carte postale avec le Pont du Diable :    

Mais elle m'a également envoyé une coupure de journal : une photo de la fenêtre, des ombrelles et de l'occupant des paniers en osier, photo parue dans le journal "Midi Libre".

Si vous ne connaissez pas Bernadette-Mistigris n'hésitez pas à aller lui rendre visite en cliquant ICI.

Ce sont les bonnes critiques lues et entendues sur sur les romans de Grégoire Delacourt qui m’ont incitée à acheter « La liste de mes envies » et «La première chose qu'on regarde" , ses deux derniers romans il y a quelques mois. Je les avais rangés avec mes autres livres à lire, et puis une collègue m’a reparlé de « La liste de mes envies ».

Je l’ai sorti de la pile et lu en deux soirées. Je suis entrée  tout de suite dans le personnage de Jocelyne la narratrice, mercière à Arras, blogueuse et amoureuse de son mari, Jocelyn.

La première soirée j’ai lu la partie « Amour » du livre et la seconde soirée la partie « Non amour ». J’ai adoré et eu plusieurs fois les larmes aux yeux.

Mon ressenti :

Jocelyne est une belle personne, un peu comme Joséphine dans « Les yeux jaunes des crocodiles ».

En devenant Jocelyne on découvre le monde qui l’entoure : son mari Jo , buveur invétéré de bières sans alcool, ses enfants : Nadine et Romain avec qui elle a du mal à communiquer, le petit ange  qu’elle a perdu à la naissance, ses amies, les jumelles. Une chance inouïe : gagner 18 millions au loto va  devenir une malchance pour elle. Elle dresse inlassablement la liste de ses envies qui n’en sont pas.

Des choses dont elle peut se passer sans problème. Elle a surtout envie d’amour, de tendresse, de « mots jolis, vous savez, ces idioties qui font chavirer le cœur des filles… », de ces caresses de l’âme (à moins que ce ne soit moi qui en ait envie…)

J’ai adoré sa relation avec son père, et les vies qu’elle lui invente sans se lasser, toutes les six minutes. J’espère qu’elle finira par aimer son Vittorio Gassman.

C'est une belle invitation à réfléchir sur les choses qui sont essentielles pour nous, la place de l'argent dans notre vie, ce que l'on est prêt à accepter par amour, comment l'on peut embellir la vie de ses proches...

Si Jocelyne pouvait m'expliquer aussi comment elle a réussi à avoir 11000 visites par jour sur son blog...

Un extrait : « Je possédais ce que l’argent ne pouvait pas acheter mais juste détruire. Le bonheur. Mon bonheur en tout cas, le mien. Avec ses défauts. Ses banalités . Ses petitesses.  Mais le mien. Immense. Flamboyant. Unique. »