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J'ai fini le livre "Le second souffle" qui a inspiré "Les Intouchables" le même jour où j'ai vu le film.
Le livre écrit par Philippe Pozzo di Borgo raconte sa vie d'homme riche, cultivé, amoureux éperdu de sa femme Béatrice, gravement malade, insouciant, "vibrionnant", sémillant jusqu'à son accident de parapente qui le laisse tétraplégique.
Passé, présent sont mélangés. C'est très prenant et émouvant. L'auteur décrit ses hauts et ses bas, ses hospitalisations, son envie d'en finir, ses douleurs et ses crises, les attaques de la maladie de sa femme comme s'il écrivait son journal.
Puis il rencontre Abdel, jeune beur de banlieue, qui va lui servir de chauffeur, accompagnateur, soignant. Il l'appelle son "diable gardien" et dit de lui : "Il est insupportable, vaniteux, orgueilleux, brutal, inconstant, humain. Sans lui, je serais mort de décomposition. Abdel m'a soigné sans discontinuité, comme si j'étais un nourrisson. Attentif au moindre signe, présent pendant toutes mes absences, il m'a délivré quand j'étais prisonnier, protégé quand j'étais faible. Il m'a fait rire quand je craquais. Il est mon diable gardien".
A la lecture du livre j'ai partagé les souffrances physiques et morales de Philippe et Béatrice. Le personnage d'Abdel toujours là pour sauver son patron ne m'a pas emballée.
Pourquoi "le second souffle" ? Béatrice qui va se battre pendant 15 ans contre sa maladie lui a inoculé le virus de l'espérance. "Le handicap, la maladie sont fracture et dégradation. Danc ces instants où l'on perçoit l'échéance de la vie, l'espérance est un souffle vital qui s'amplifie ; sa juste respiration en est le second souffle". Tétraplégique, il est "Intouchable" car insensible du cou jusqu'aux orteils il souffre pourtant de douleurs immenses dès qu'on le touche.
Pour parler du film, je l'ai également apprécié mais pas pour les mêmes raisons. Omar Sy qui joue Driss (alias Abdel dans le livre) est grandiose. Je n'ai vu que lui, son humanité qui déborde, pour sa famille, Philippe, sa séduction. François Cluzet joue bien et juste comme toujours, mais disparait derrière Omar.
Ce que j'ai adoré : le vol en parapente et l'anniversaire de Philippe à la mode Driss.
Ce que j'ai le moins aimé : les cascades en voiture, dangereuses et inutiles, et les pétards fumés... Je n'ai pas pleuré, le livre étant beaucoup plus dur.
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Laure du blog "Le monde magique de Laure, Jean-Michel et Téo" m'a envoyé cet écureuil frileux, photographié dans une vitrine à l'occasion de Noël. Regardez bien son écharpe car je vous montrerai bientôt toutes celles que je viens de tricoter.
Si vous ne connaissez pas encore Laure n'hésitez pas à aller visiter son blog "Le monde magique de Laure, Jean-Michel et Téo"...
Mes autres écureuils : "A Béziers, les écureuils ne sont pas bleus", "Nestor, l'écureuil de Claouey" et "Les écureuils noir et brun du Canada" et "L'écureuil-girouette des Pays de la Loire", "Les écureuils de Jean-Marie", "L'écureuil en bois de Marie La Joconde", "L'écureuil de Geny", "l'écureuil de Mahabalipuram", "L'écureuil curieux de Martine", "L'écureuil corse de Fanfan",
"l'écureuil timbré de Mary, "L'écureuil timbré de Tex Avery","L'écureuil frileux de Lilas", "Les écureuils et leur panache" de Bernard","L'écureuil bleu" de Maminou et "Ecureuil gris Américain et écureuil roux de Laure", "L'écureuil en chocolat d'Hugues", "L'écureuil en art topiaire", "L'écureuil équilibriste de Joëlle", "L'écureuil de Colette", "L'écureuil Audois de Mistigris", "L'écureuil en quilt", "L'écureuil en pièces détachées", "L'écureuil en tricot de Danaou", "L'écureuil girouette de Virjaja", "Les écureuils amoureux", "L'écureuil bleu et les Tipois" , "L'écureuil de Katara", "L'écureuil qui voulait devenir photographe", "L'écureuil Berrichon qui aimait les fleurs", "Les bébés écureuils envoyés par Nicole", "L'écureuil de Cologne qui jouait à cache-cache", "Mon écureuil en bois flotté", "L'écureuil photographe de Renée", "L'écureuil Ecossais en céramique", "L'écureuil en carte postale de Violette", "L'écureuil de Courchevel" de Laure, "Les écureuils décoratifs de Phypa", "L'écureuil du Kenya, "L'écureuil Boule de Flammes" de Sonia, "Les écureuils de Charléa", "A table, les écureuils !", "L'écureuil gourmand de Marie", "L'écureuil girouette de Virjaja" et "L'écureuil au rayon de Noël de Chris"...
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J'envie parfois leurs moments de tendresse, leurs enlacements :
Squirel : Encore des bisous ! Je ne m'en lasse pas ...
Ecureuille : Eh, la mamarazzi, fiche nous la paix avec ton appareil photo !
Squirel : C'est du voyeurisme ! Passe ton chemin !
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Fin novembre, une balade au Grand-Crohot m'a permis d'admirer un sportif aux prises avec les vagues. Pour moi il faisait du kayak de mer et pour mon frère du surf. Nous avions tort et raison tous les deux. Il était assis sur une planche de surf, les pieds coincés dans des straps et pagayait énergiquement. C'est du wave-ski...
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Sur la boite il s'appelle "Solar power n° 22971", rien de très romantique.
Il est né en Chine et agite sa main pour vous saluer dès qu'un peu de lumière touche son capteur solaire. Il a rejoint ma plante "Flip-flap" dont je vous ai déjà parlé.
J'apprécie son côté "solaire", mais ma Flip-flap est plus évoluée : ses deux pétales bougent et de trois façons différentes...
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