• Je vous ai déjà parlé de cette chapelle construite en 1850 pour la famille Lesca ("La chapelle de la villa Algérienne"), située à l'Herbe, sur la presqu'ile du Cap-Ferret.

    J'aime beaucoup cette chapelle dans laquelle je ne suis jamais entrée. Elle est à l'entrée du village de l'Herbe, face au Bassin, les parcs à huitres et la Dune du Pyla. Deux magnifiques pins parasol dont l'un, tortueux et soutenu par des étais, qui se penche dans le Bassin, la protègent du vent et offrent leur ombre délicieuse aux amoureux du Bassin.

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    Malgré son style mauresque elle est destinée au culte catholique et porte le nom de "Chapelle Sainte-Marie du Cap".

     

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    Cette année elle a été réhabilitée et arbore désormais des couleurs éclatantes (un peu trop à mon goût). Et désormais on peut la visiter plusieurs fois par semaine (mardi, jeudi et vendredi) et découvrir la délicatesse des ses céramiques.

     

     

    Si vous voulez en savoir plus ou la voir avant, cliquez ICI.


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    J'ai lu il y a quelques jours ce livre très émouvant.

    sarah.jpg La 4ème de couverture :

    Paris, juillet 1942 : Sarah, une fillette de dix ans qui porte l’étoile jaune, est arrêtée avec ses parents par la police française, au milieu de la nuit. Paniquée, elle met son petit frère à l’abri en lui promettant de revenir le libérer dès que possible. Paris, mai 2002 : Julia Jarmond, une journaliste américaine mariée à un Français, doit couvrir la commémoration de la rafle du Vél d’Hiv. Soixante ans après, son chemin va croiser celui de Sarah, et sa vie changer à jamais. Elle s’appelait Sarah, c’est l’histoire de deux familles que lie un terrible secret, c’est aussi l’évocation d’une des pages les plus sombres de l’Occupation. Un roman bouleversant sur la culpabilité et le devoir de mémoire, qui connaît un succès international, avec des traductions dans vingt pays.
    Ce livre a obtenu le prix Chronos 2008, catégorie Lycéens, vingt ans et plus.

     

    Mon ressenti :

    De Tatiana de Rosnay j'ai lu et apprécié "Boomerang" et "Le voisin", mais pas autant que celui-ci "Elle s'appelait Sarah", dont il a été tiré un film sorti en octobre 2010 et que je n'ai pas encore vu.

    Au début du livre les chapitres alternent entre le récit de Sarah en 1942 et celui de Julia, la journaliste d'origine Américaine 60 ans plus tard, jusqu'à ce que les deux histoires se rejoignent, sur le terrible secret. Julia n'a de cesse alors de découvrir ce qu'est devenue cette petite fille. Cette quête va la rapprocher de certains membres de sa famille et l'éloigner des autres.

    Les personnages sont bien campés et l'on ne s'ennuie jamais. C'est pour moi un bel hommage à tous les juifs qui ont été raflés chez eux et emmenés de force au Vel d'Hiv le 16 juillet 1942 puis déportés et exterminés à Aushwitz ou Drancy.

    Cette histoire dramatique est émouvante, et bien sûr j'ai pleuré avec Sarah. Mais il y a aussi de l'amour, de l'admiration, de la ténacité, de la tendresse...

     

     


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  • J'ai reçu il y a quelques mois cette jolie carte de mon aminaute Yolande du blog "Mémé Yoyo" représentant les marchés en Provence. 

     

    carteYol


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  • Pour avoir participé à quelques uns de ses jeux, Lady Marianne du blog "Chienne de vie" m'a envoyé des cartes postales il y a quelques mois et je ne les avais pas encore montrées.

     

    Il y a deux cartes présentant son département, l'Aude : 

     

    carte LM1

     

    carte LM5

     

    Deux cartes de Narbonne, sous-préfecture de l'Aude :

    carte LM3

     

    carteLM6

     

    Et une carte du village de La Palme où elle vit :

     carte LM7

    Merci Lady Marianne !


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  • Le vendredi 8 juillet, un requin peau bleue d'environ 1,50 m s'est pointé aux alentours de 18h dans la zone de baignade de la plage Pereire à Arcachon. Des gens ont venus voir les sauveteurs pour leur dire qu'ils avaient vu un requin. Les sauveteurs ne les croyaient pas mais sont allés vérifier et ont vite hissé le drapeau rouge et fait sortir tout le monde car il y avait bien un requin bleu gris qui trainait à 5 ou 6 m du bord, dans la zone de baignade, dans très peu d'eau.

    "Très bien, mais que faire ? Aller chercher le lieutenant Brody des "Dents de la mer" ? Non il fallait le repousser au large "(journal Sud-Ouest du 21 juillet 2011, et là j'adore).

    Le requin tournait en rond et butait contre le bord de la plage. Les sauveteurs l'ont repoussé avec leurs palmes, et le requin s'est éloigné et n'est pas revenu.

    "Et s'il a réapparu depuis, de toute façon personne ne l'a vu, parceque personne ne mettait les pieds à la plage. Personne à part le vent et la pluie bien sûr..."

    David Patsouris, l'auteur de l'article a dû se régaler en écrivant cela, et moi j'ai bien apprécié.

    Ce n'est pas la première fois qu'un requin s'avance dans le Bassin d'Arcachon : cela arrive tous les 5 ou 6 ans et ce sont des requins inoffensifs.

     

    J'imagine bien la scène : ce petit requin attiré par les cris et la foule, venu goûter l'eau du Bassin, "tonique" comme dit toujours mon père, ou peut-être perfectionner sa nage. Apeuré et ne retrouvant plus sa route, tournant en rond entre les bancs de sable, comme un poisson rouge dans son bocal. Repoussé à coups de palmes par les humains et reparti tête basse...

     

    En tous les cas il a bon goût, cette plage est une des plus belles du Bassin avec ses bancs de sable blond, découverts à marée basse, un paradis pour les baigneurs -quand il fait beau et qu'il n'ya a pas de requin- ! Elle est bordée d'une promenade longeant le front de mer, d'une esplanade de gazon et de verdure et de superbes pins.

     

      plage pereire  Source : www.bassindarcachon.com

     

     


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